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Elle découvre par un auto-diagnostic médical sur Internet qu’elle souffre d’un cancer de la prostate

MÉDECINE / INTERNET – Deborah, 36 ans, a découvert, par un auto-diagnostic médical grâce à Internet, les raisons de ses douleurs au niveau de l’aine : elle est atteinte d’un cancer de la prostate.

Deborah C., 36 ans, vient de découvrir par un auto-diagnostic médical établi grâce à Internet, qu’elle souffrait d’un cancer de la prostate.

Deborah C. a 36 ans. Elle ne compte que sur Internet : recettes de cuisine, gestion de ses comptes, contacts avec ses amis, faire ses courses, connaître le programme TV, etc. Aussi, c’est tout naturellement qu’elle consulte Internet lorsqu’elle a mal quelque part, afin d’établir son auto-diagnostic médical :

Internet est très pratique pour tout trouver. Aussi, pour ne pas déranger mon médecin et faire des économies à la Sécurité Sociale, j’établis mon propre diagnostic médical en consultant les sites de santé. Il suffit d’étudier ses symptômes pour déterminer de quel mal on souffre. C’est simple, rapide, pratique et économique !

Pour établir ses auto-diagnostics médicaux, Deborah consulte tout type de sites médicaux, dont des forums de discussion :

Il est exceptionnel de voir qu’on peut compter sur les autres internautes pour aider à établir son diagnostic. Eux n’ont pas peur de nous dire directement que c’est probablement très grave.

Suite à ses douleurs récentes et persistantes à l’aine, Deborah a donc décidé de consulter Internet pour déterminer les raisons de son mal :

Après avoir consulté plusieurs sites médicaux réputés, et après avoir échangé avec de nombreux internautes qui ont tous connu un ami souffrant des mêmes symptômes, j’en suis arrivée à la conclusion irrévocable que j’avais un cancer de la prostate.

Deborah a eu des difficultés à supporter ce diagnostic seule à la maison, mais se réjouit du temps gagné :

Il est vrai qu’il est difficile d’assumer seule chez soi cet auto-diagnostic, même si j’ai mon mari qui me soutient depuis que je lui annoncé cette douloureuse découverte. Mais au moins, j’ai gagné énormément de temps puisque je n’ai pas eu à attendre mes rendez-vous chez des spécialistes !

Deborah va donc se rendre directement à l’hôpital avec le dossier médical qu’elle s’est elle-même constituée afin de pouvoir bénéficier du traitement pour son cancer de la prostate.

Nous souhaitons à Deborah un prompt rétablissement.

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Les dentistes exigent de leurs patients le port permanent du masque, y compris durant l’intervention

DENTISTE / CORONAVIRUS / MASQUE – Les dentistes, en première ligne face au coronavirus, exigent de leurs patients un port du masque systématique et permanent, y compris durant l’intervention.

Le port du masque est obligatoire pour tous les patients des cabinets dentaires.
Les patients doivent porter leur masque en permanence, y compris durant l’intervention” (A. Delhaye, Président de l’Association des Chirurgiens-Dentistes)

Face au coronavirus, les dentistes sont en première ligne puisqu’ils interviennent directement dans la bouche des patients, principal vecteur de transmission du virus.

C’est pourquoi ils ont décidé d’exiger le port du masque de leurs patients, notamment durant l’intervention :

Que ce soit pour un bilan bucco-dentaire, un détartrage ou une intervention de chirurgie, nous exigeons que nos patients n’enlèvent pas leur masque, de leur entrée à leur sortie du cabinet. Même durant l’intervention, le patient ne doit surtout pas enlever son masque. Ceci permet d’éviter toute contamination au coronavirus.

Adam Delhaye, Président de l’Association des Chirurgiens-Dentistes

En effet, en gardant leur masque, les patients des cabinets dentaires ne peuvent pas contaminer le chirurgien-dentiste et/ou son assistant(e) :

Le masque du patient, couplé à notre masque, nous assure une protection optimale. C’est le seul moyen pour ne pas contracter le virus ou tout au moins limiter au maximum ce risque.

A. Delhaye

Cette solution, ultra-sécurisante pour les chirurgiens-dentistes, a toutes les chances d’être pérennisée :

Le port du masque permanent par le patient est une solution idéale pour éviter qu’il ne nous contamine. Aujourd’hui c’est le coronavirus, mais qui sait de quel virus il s’agira demain. Cette solution est ainsi amenée à être pérennisée si les résultats sont concluants.

A. Delhaye

Ainsi, lorsque vous irez chez le dentiste, n’oubliez pas votre masque et surtout, gardez-le tout le temps, y compris lorsque vous passerez sur le fauteuil de soins.

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L’OMS recommande de ne faire l’amour qu’en cas d’absolue nécessité, et sans utiliser ni sa bouche, ni ses mains

CORONAVIRUS / SEXUALITÉ – Pour éviter la propagation du coronavirus, l’OMS recommande d’avoir des relations sexuelles “uniquement en cas d’absolue nécessité” et en n’utilisant ni sa bouche, ni ses mains “vecteurs les plus importants du coronavirus”. L’organisation recommande également de porter un masque durant ses rapports sexuels.

L’OMS recommande d’avoir le minimum de relations sexuelles possibles et de ne surtout pas utiliser ni sa bouche ni ses mains.

Alors que l’Agence Européenne de Santé recommande de faire l’amour dans du cellophane avec un masque de snorkeling, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) se veut quant à elle plus souple dans les pratiques sexuelles protégées conseillées contre le coronavirus.

L’OMS rappelle que les mains et la bouche sont les principaux vecteurs du coronavirus :

La bouche est le vecteur principal de la transmission du coronavirus, à cause des postillons. Les mains sont également un vecteur très important de propagation du Covid-19 puisque ce sont elles qui sont en contact avec toutes les surfaces qui peuvent être contaminées.

OMS. Health advice report : Coronavirus disease 2019 (COVID-19). 5 May 2020.

L’OMS recommande ainsi que les relations sexuelles, pour des conditions de sécurité sanitaire optimales, se fassent sans que les partenaires ne se touchent avec les mains ni n’utilisent leur bouche :

Les relations sexuelles sont des activités qui assurent à 100% la transmission de toutes sortes de virus si elles ne sont pas protégées. Dans le cas du coronavirus, les voies de transmission sont nombreuses : bouche, mains contaminées, etc. C’est pourquoi il faut impérativement avoir des relations sexuelles sans utiliser ni ses mains ni sa bouche.

Cela est valable même si vous vous lavez les mains avec une solution hydroalcoolique et que vous portez des gants et/ou un masque. La proximité est beaucoup trop importante et le risque de contamination demeurerait extrême.

Enfin l’OMS recommande d’éviter autant que possible d’avoir des relations sexuelles :

Nous conseillons de n’avoir des relations sexuelles qu’en cas d’absolue nécessité, c’est-à-dire uniquement pour apaiser les besoins sexuels impérieux.

Les relations sexuelles garantissent quasiment à 100% la transmission du coronavirus. Limitez vos relations sexuelles et surtout, protégez-vous en n’utilisant ni vos mains ni votre bouche.

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Sexe/Covid-19 : l’Agence Européenne de Santé recommande le sexe dans du cellophane, avec un masque de snorkeling

SEXE / PROTECTION COVID-19 – Pour se protéger du coronavirus durant ses relations sexuelles, l’Agence Européenne de Santé recommande d’avoir des relations sexuelles en s’enroulant préalablement dans du cellophane et en portant un masque de snorkeling pour ne pas s’étouffer.

L’Agence Européenne de Santé recommande de faire l’amour dans du cellophane (avec un masque de snorkeling) pour se protéger du Covid-19.
(Photo d’illustration : Pierre Joël CC BY-NC)

Avec le déconfinement, les relations sexuelles vont reprendre de plus belle. Le risque que le coronavirus connaisse une deuxième vague est d’autant plus prégnant que les individus fraîchement déconfinés vont multiplier les contacts. Les relations sexuelles, relations d’ultra-proximité, sont un vecteur de transmission du coronavirus très important.

Ainsi, pour se protéger de tout risque de contamination au coronavirus durant les relations sexuelles, l’Agence Européenne de Santé conseille de faire l’amour en s’enroulant préalablement dans du cellophane :

Si les personnes qui ont des relations sexuelles, qu’elles soient deux ou davantage, sont toutes enroulées dans du cellophane, cela représente des barrières protectrices. En effet, aucune gouttelette pouvant transmettre le coronavirus ne pourra passer à travers le cellophane.

Dans la cadre de la lutte contre le coronavirus, le cellophane agit comme le préservatif face au SIDA et aux autres Infections Sexuellement Transmissibles.

Marcel Hoffmann, directeur de l’Agence Européenne de Santé

Pour des raisons évidentes de sécurité, il faut également s’équiper d’un masque de snorkeling, tels ceux donnés par Décathlon aux personnels soignants et de secours lors de la vague épidémique :

Le risque de s’enrouler dans du cellophane est bien évidemment l’étouffement. C’est pour cela que le masque de snorkeling est indispensable à mettre avant de s’enrouler dans le cellophane. Ainsi, on peut respirer en toute sécurité.

Après le port du préservatif pour lutter contre les IST, c’est donc au tour du port du cellophane d’être vivement recommandé pour éviter tout risque de contamination au coronavirus.

Désormais, pour des rapports sexuels pleinement protégés, il faut coupler préservatif, cellophane et masque de snorkeling !

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Réussir le test de déconfinement sera obligatoire pour pouvoir sortir de confinement le 11 mai

TEST DE DÉCONFINEMENT OFFICIEL – Pour pouvoir sortir le 11 mai, tout le monde devra passer un test de déconfinement obligatoire. Les individus qui échoueront au test officiel devront demeurer en confinement jusqu’à ce qu’ils le réussissent.

Modèle de test de déconfinement. 0 faute obligatoire pour pouvoir être déconfiné le 11 mai !

Emmanuel Macron a déclaré que le déconfinement débuterait lundi 11 mai. Toutefois, ce déconfinement est soumis à condition nous rappelle la Direction Santé France :

Le déconfinement ne doit pas se faire n’importe comment si on veut éviter une deuxième vague épidémique. C’est pour cela que nous allons faire passer un test de déconfinement obligatoire à tout le monde, pour déterminer s’ils connaissent les gestes barrières.

Direction Santé France. 14 avril 2020.

Concrètement, tout le monde devra passer un test sur lequel ils doivent identifier quels sont les gestes barrières à adopter :

Si les Français répondent bien au test, alors cela signifie qu’ils ne représenteront aucun risque pour la société et qu’ils sauront aussi bien se protéger que protéger les autres ; ils permettront ainsi d’éviter une nouvelle propagation du coronavirus, la tant redoutée “deuxième vague”.

Pour réussir ce test, il faut impérativement faire un 0 faute. A défaut, vous ne pourrez pas être déconfiné et devrez attendre 7 jours avant de pouvoir passer à nouveau le test.

Le test est individuel. Nous conseillons aux Français de s’entraîner ensemble et de réviser pour réussir le test car il n’est pas évident.

Les tests seront accessibles en téléchargement libre sur le site du Ministère de la Santé et sur le site du Ministère de l’Intérieur. Ils seront à remettre au médecin traitant qui assurera la correction et vous dira si vous pouvez être déconfiné (0 faute) ou non (au moins 1 faute).

Révisez bien et bon courage pour réussir ce test de déconfinement !

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Pénurie de masques et surblouses : les personnels de santé seront équipés de tenues anti-émeutes

PÉNURIE DE MASQUES ET SURBLOUSES – Le Ministère de la Santé et le Ministère de l’Intérieur ont trouvé un accord : le manque de masques et de surblouses de protection sera comblé grâce aux tenues anti-émeutes des CRS

Face à la pénurie de masques et de surblouses, les personnels de santé seront équipés de tenues anti-émeutes.

Les masques et les blouses comptent parmi les équipements indispensables pour les personnels hospitaliers et médico-sociaux afin de se protéger du coronavirus et d’éviter non seulement leur contamination mais aussi sa propagation. Or, depuis le début de l’épidémie, la pénurie de masques et de surblouses demeure un problème résiduel. Malgré les dons des particuliers et entreprises, malgré les réquisitions et les commandes qui mettent trop de temps à arriver, il n’y a toujours pas assez de masques et surblouses pour faire face aux besoins des personnels soignants.

Devant l’urgence, le Ministère de l’Intérieur et le Ministère de la Santé ont décidé de sceller un accord : les personnels de santé seront équipés de tenues anti-émeutes.

La France a énormément investi dans les forces de sécurité grâce aux économies réalisées avec la Santé. Elle dispose ainsi d’un stock de 500.000 tenues anti-émeutes. Actuellement, elles ne sont plus utilisées. C’est pourquoi nous avons décidé de les prêter gracieusement aux personnels soignants les plus exposés.

L’avantage de ces tenues anti-émeutes est qu’elles sont 100% imperméables à tous les virus et réutilisables à l’infini après décontamination. Le poids représente toutefois un “léger” inconvénient :

Le poids de ces tenues est de 10kg, mais les personnels soignants sont des costauds, ils s’y habitueront vite.

Face à cette pénurie, la France a décidé d’annuler toutes ses commandes de masques et surblouses en cours pour les remplacer par une commande de 500.000 tenues émeutes supplémentaires :

On se rend compte que les tenues anti-émeutes conviennent parfaitement pour les personnels hospitaliers. Autant faire d’une pierre deux coups et acquérir des équipements utiles à nos forces de sécurité, qui sont notre priorité, et qui peuvent servir dans un second temps aux personnels de santé, quand nos forces de sécurité n’en ont pas besoin.

Un très bon équilibre vient donc d’être trouvé entre le Ministère de l’Intérieur et le Ministère de la Santé.

Ce n’est pas pour rien que le Ministère de l’Intérieur est un ministère régalien et pas le ministère de la Santé !

La solution au manque de masques et surblouses était donc à trouver tout simplement du côté du Ministère de l’Intérieur, le ministère suprême de la France.

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Recommandation sanitaire après déconfinement : dénoncez tous ceux qui toussent !

DECONFINEMENT / RECOMMANDATION SANITAIRE – Dès le déconfinement effectif, tous les Français sont invités à dénoncer toutes les personnes qui tousseraient, afin de les placer à nouveau en confinement et ainsi protéger le reste de la population.

Recommandation sanitaire déconfinement : la Délégation Centrale de Santé (D.C.S) recommande de dénoncer toutes les personnes qui tousseront pour les faire confiner à nouveau.

Le déconfinement est actuellement en cours de préparation par le Gouvernement. La Délégation Centrale de Santé (D.C.S), expert désigné pour l’aspect sanitaire du déconfinement, anticipe pour éviter toute nouvelle épidémie :

Le grand risque du déconfinement, c’est qu’une nouvelle vague de contamination émerge.

Pour éviter autant que faire se peut un nouveau drame sanitaire, la D.C.S communique déjà des recommandations sanitaires de déconfinement :

Dès le déconfinement décrété, les gens vont à nouveau se croiser, se rencontrer, échanger. Parmi elles, il y aura probablement des personnes encore contagieuses. Or, il convient absolument de mettre hors circuit ces personnes contaminantes, qui seraient à l’origine de la nouvelle vague épidémique.

C’est pour cette raison que nous émettons une recommandation absolue dès les premières minutes du déconfinement effectif : que toute personne qui tousse soit immédiatement dénoncée afin qu’elle retourne en confinement, de gré ou de force.

Cette recommandation se veut avant tout préventive :

Une personne qui tousse est potentiellement atteinte du Covid-19. Par principe de précaution, il faut que cette personne soit placée en confinement pour une durée de 14 jours minimum.

La recommandation de dénoncer une personne qui tousse est radicale :

Il ne faut pas perdre de temps à faire des tests : quelqu’un qui tousse doit être placé en confinement. Point. C’est notre recommandation principale pour éviter une nouvelle vague épidémique.

Ainsi, dès le déconfinement effectif, tous les Français sont invités à dénoncer tout personne qui tousserait pour protéger le reste de la population en évitant une nouvelle contamination massive.

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Confinement : des coiffeurs-urgentistes réquisitionnés par les Préfectures

CONFINEMENT / URGENCE CAPILLAIRE – Les salons de coiffure fermés à cause du confinement, nombreux sont celles et ceux qui se coupent ou se font couper les cheveux à la maison. Face à des drames qui peuvent avoir des conséquences psychologiques graves, des coiffeurs-urgentistes ont été réquisitionnés par les Préfectures.

Pour réparer les accidents capillaires intervenus durant le confinement, des coiffeurs-urgentistes ont été réquisitionnés par les Préfectures de chaque département.

Le confinement ne permet de se déplacer que pour des motifs légitimes, précisés par décret. Aussi, face à l’impossibilité de se rendre dans un salon de coiffure, de nombreuses personnes décident de se couper les cheveux elles-mêmes ou de se les faire couper par des personnes avec qui elles partagent le confinement.

Mais se couper les cheveux seuls ou se les faire couper par quelqu’un de la famille a souvent des conséquences dramatiques :

La coiffure ne s’improvise pas. Dans 75% des cas, les personnes qui se coupent ou se font couper les cheveux à la maison par des non-professionnels ont une coiffure ratée voire désastreuse.

Syndicat des Coiffeurs-Urgentistes de France

On constate qu’à cause du confinement le nombre d’urgences capillaires ne cesse de croître :

Depuis le début du confinement, le 15 est saturé d’appels pour des désastres capillaires. Alors, pour désengorger le 15, les Préfectures ont décidé d’ouvrir un service spécial d’urgence capillaire, un par département, pour réparer les dégâts des coiffures à domicile.

Des coiffeurs-urgentistes ont ainsi été réquisitionnés par la Préfecture pour répondre aux urgences capillaires :

Une dizaine de coiffeurs en moyenne ont été réquisitionnés par département pour intervenir sur des cas d’urgence capillaire

Ces interventions pour urgences capillaires doivent se faire très rapidement :

Si le coiffeur urgentiste n’intervient pas dans les 5 heures, le risque de suicide de la personne victime du désastre capillaire augmente de +50% par heure.

Il ne faut pas négliger les troubles psychologiques graves que peut causer une coupe de cheveux ratée.

Ainsi, en cas de drame capillaire, n’hésitez pas à contacter le service d’urgence capillaire de votre département, disponible 24h/24.

Les coiffeurs-urgentistes contribuent eux aussi à sauver des vies.

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Confinement / épidémie mystérieuse : +459% de dermatoses de la main chez les hommes célibataires

CONFINEMENT / ÉPIDÉMIE MYSTÉRIEUSE – Depuis le début du confinement, une épidémie étrange frappe les hommes célibataires : on constate +459% de téléconsultations pour des dermatoses de la main. La raison en demeure mystérieuse.

Confinement : une mystérieuse épidémie de dermatose de la main frappe essentiellement les hommes célibataires

Le confinement a pour objectif de protéger les autres et de se protéger du coronavirus. Mais ce confinement voit émerger une épidémie mystérieuse :

Depuis le début du confinement, on constate une hausse exponentielle du nombre de dermatoses de la main chez l’homme. Cela représente une hausse de +459% de téléconsultations pour cette pathologie par rapport à habituellement. Et cela ne cesse de s’aggraver.

Professeur Yann Dalck, médecin-chercheur en psycho-dermatologie à Orléans

Ce problème de la dermatose de la main est généralisé dans tous les pays où le confinement est de mise. Aucun expert ne parvient pour l’heure à expliquer les raisons de cette étrange épidémie :

Nous enquêtons afin de déterminer quelle est la cause de ces dermatoses généralisées. Cela est d’autant plus étrange qu’elle frappe exclusivement des célibataires, essentiellement des hommes (96%), et quelques femmes (4%).

Autre fait notoire, cette dermatose ne touche dans la grande majorité qu’une main :

89% des patients ont la main droite touchée contre 10% pour la main gauche. On dénombre toutefois 1% des patients qui ont les 2 mains touchées.

Ce qui est d’autant plus mystérieux est que cette épidémie semble avoir émergé en plusieurs endroits simultanément. De plus, le nombre de cas est proportionnel à celui des cas Covid+.

Mais le Professeur Dalck se veut rassurant :

La dermatose est une affection bénigne de la peau. Un peu de pommade et le problème est vite résolu !

Plusieurs laboratoires mènent actuellement des enquêtes pour savoir d’où provient cette étrange épidémie de dermatose de la main.

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Les alcooliques sollicités pour donner leur sang afin de fabriquer davantage de gel hydroalcoolique

CORONAVIRUS / GEL HYDROALCOOLIQUE – Dans la lutte contre le coronavirus et pour faire face à la pénurie de gel hydroalcoolique, les personnes alcooliques sont sollicitées pour donner leur sang.

Manque de gel hydroalcoolique : les personnes alcooliques sont sollicitées pour donner leur sang

La production de gel hydroalcoolique demeure toujours insuffisante pour faire face à la demande aussi bien des professionnels de santé que des particuliers soucieux de se protéger du coronavirus.

Pour contrer ce manque, les personnes alcooliques sont fortement sollicitées pour donner leur sang, l'”or rouge” ainsi que l’appelle certains médecins, à l’instar du Professeur Chauzon :

Le sang des alcooliques, riche en alcool, est un véritable “or rouge”. Grâce à ce sang, on peut pallier le manque de solutions hydroalcooliques en produisant du gel hydroalcoolique à partir de l’alcool contenu dans leur sang.

Pr. Gerard Chauzon, Hôpital Saint André (Paris).

Le sang des alcooliques présente un double avantage ainsi que l’explique le professeur :

Nous prélevons l’alcool du sang des alcooliques pour, une fois mélangé à l’eau, produire une solution hydroalcoolique (eau + alcool).

Ensuite, dès l’alcool extrait du sang, nous récupérons le sang pour assurer des transfusions sanguines. C’est donc doublement gagnant !

Le don de sang d’une personne alcoolique permet ainsi de servir 2 causes à la fois : la lutte contre le coronavirus (en produisant du gel hydroalcoolique) et contribuer aux soins des patients qui ont besoin d’une transfusion sanguine.

Contre le coronavirus, tout le monde peut agir !