Catégories
Santé / Médecine

Chine : kit « FIV / Ovocyte / Sperme » pour concevoir un vrai bébé chez soi, sans relation sexuelle ni grossesse !

CHINE / KIT « BÉBÉ A DOMICILE » – Des chercheurs Chinois viennent de mettre au point un kit « Bébé à domicile » complet avec sperme, ovule et kit de Fecondation In Vitro (FIV). Ce kit permet de concevoir un vrai bébé à domicile, sans relation sexuelle ni grossesse !

Concevoir son propre enfant à domicile, sans relation sexuelle ni grossesse, c’est désormais possible grâce au kit IVF-O/S (FIV / Ovocyte / Sperme), ou kit « Bébé à domicile »

Vous voulez concevoir un enfant sans avoir à supporter une grossesse ou avoir de relation sexuelle ? Ou alors vous ne pouvez pas avoir d’enfant mais en désirez absolument ?

Et vous souhaitez également concevoir rapidement un enfant sur-mesure, par vous-mêmes, en choisissant toutes ses caractéristiques physiques et sans avoir à subir tout l’aspect négatif de la conception d’un enfant ?

Ce rêve est désormais une réalité !

Une équipe de chercheurs Chinois du laboratoire Q9 de Wuhan a mis au point le kit « IVF-O/S : IVF / Oocyte / Sperm » (qui signifie « FIV / Ovocyte / Spermatozoïdes »). Ce kit, surnommé Kit « Bébé à domicile », vous permet de devenir des scientifiques en concevant votre propre bébé dans un véritable (mini) laboratoire à domicile.

Ce kit se compose de tout le matériel de laboratoire nécessaire pour réaliser une Fecondation In Vitro (FIV). Vous recevez également un ovocyte et le sperme (dans des colis « Haute Congélation » sécurisés) d’individus que vous avez préalablement sélectionnés sur catalogue. Un tutoriel vidéo vous guide ensuite pas à pas pour réaliser la fécondation in vitro de manière efficace, dans le respect des normes sanitaires. Une fois la FIV effectuée, vous renvoyez l’embryon dans un colis Haute Congélation afin de le faire réimplanter dans l’utérus de la mère porteuse que vous aurez choisie.

L’avantage du kit IVF-O/S est qu’il permet aux futurs parents qui ne veulent ou peuvent avoir d’enfants de manière naturelle, de concevoir quand même leur propre enfant de manière scientifique, sans intermédiaire, ce qui leur permet de se sentir pleinement parents :

Au lieu de passer par une relation sexuelle et une grossesse, les parents créent biologiquement, par eux-mêmes, leur enfant, dans un véritable laboratoire qui leur est envoyé à domicile. Ainsi, ils se sentent comme tout autre parent « naturel » : ils ont conçu seuls leur propre enfant.

Cette méthode présente en outre d’autres avantages :

– Les parents peuvent choisir l’ovule de la femme et le sperme de l’homme de leurs choix, sur catalogue.

– Les parents peuvent choisir leur mère porteuse chez qui sera réimplantée l’embryon qu’ils auront conçu.

Equipe de chercheurs du laboratoire Q9 de Wuhan

L’équipe de chercheurs veut aller encore plus loin :

Nous souhaiterions que les parents utilisant le kit IVF-O/S aient la main sur 100% de la procédure, c’est-à-dire que ce soient eux qui implantent l’embryon dans le ventre de la mère porteuse sans qu’ils n’aient à nous le renvoyer.

Toutefois, cela nécessite un matériel et une expertise médicale qu’ils n’ont pas … Mais nous réfléchissons à une procédure simplifiant la démarche.

Le kit « bébé à domicile » est un kit clé en main en vente libre sur les sites e-commerce Chinois au prix de 400 000 ¥ (soit environ 49 000 €) tout compris. Il est déjà en rupture de stocks.

Catégories
Europe

Modèle nordique : la Finlande met en place des refuges pour abandonner et adopter des enfants rapidement

MODÈLE NORDIQUE / ABANDON ADOPTION ENFANTS – La Finlande, pays modèle dans l’éducation des enfants notamment, vient de mettre en place un tout nouveau système de refuges pour abandonner et adopter des enfants simplement et rapidement, à l’instar de ce qui existe déjà pour les animaux.

La Finlande vient de mettre en place des refuges pour abandonner ou adopter ses enfants en 15 min. chrono !

Le modèle scandinave, ou plus précisément le modèle nordique, s’enrichit d’un nouveau système de gestion de l’enfant. Il s’agit d’une gestion optimisée des abandons et adoptions, avec des refuges pour abandonner ou adopter des enfants en un temps record :

Abandonner son enfant n’est jamais chose aisée ; les parents culpabilisent souvent et surtout ils ne savent jamais comment bien abandonner leur enfant. Alors, nous avons décidé de faire comme pour les animaux, créer des refuges pour abandonner ses enfants de manière simple et rapide.

Onni Korhonen, directeur du premier refuge d’adoption pour enfants

L’objectif de ces refuges pour abandons d’enfants consiste à déculpabiliser les parents qui en ont marre de leur enfant, en leur proposant une procédure simple et ultra-rapide :

Il suffit que les parents viennent avec leur enfant, complètent un dossier de 2-3 pages donnant des informations-clés sur l’enfant et expliquant les raisons de l’abandon, et en 1/4h ils peuvent laisser leur enfant au refuge ; il sera considéré comme officiellement abandonné.

L’avantage de ces refuges pour enfants est double :

D’une part, cela permet aux parents d’abandonner leur enfant dans de bonnes conditions. D’autre part, cela permet à d’autres parents potentiels d’adopter tout aussi facilement un enfant qui leur plaît.

Comme pour les animaux, un historique de l’enfant est dressé, avec des conseils pour sa bonne intégration dans la nouvelle famille :

Un enfant, c’est comme un animal. Il a une histoire. Et l’adopter, c’est accepter son histoire et savoir faire avec. De plus, nous ne confions pas les adoptions à n’importe qui. Les adoptants doivent faire preuve d’un intérêt sérieux pour l’enfant et montrer qu’ils sont aptes à s’en occuper.

L’adoption est tout aussi rapide que l’abandon : un bref entretien de 1/4h suffit pour pouvoir adopter l’enfant :

Nous souhaitions une procédure légère et rapide, aussi bien pour l’abandon que l’adoption de l’enfant. 1/4h suffit pour l’une ou l’autre de ces actions.

Une période d’essai de 15 jours est laissée aux adoptants. Si ça ne fonctionne pas avec l’enfant, ils peuvent le redéposer au refuge.

Le bien-être de l’enfant est notre priorité. C’est pourquoi nous nous assurons que les adoptants sont aptes à s’en occuper ; ils peuvent toujours faire machine arrière. De même, nous allons contrôler que tout se passe bien dans les familles régulièrement.

Cerise sur le gâteau : l’abandon ou l’adoption sont totalement gratuits

Enfant et argent ne font jamais bon ménage. C’est pourquoi nous proposons un abandon gratuit et une adoption gratuite. Toutefois, les dons sont les bienvenus afin d’assurer la bonne gestion de nos refuges pour enfants.

Que vous souhaitiez abandonner ou adopter un enfant, le modèle finlandais est à suivre : 1/4h suffit pour accomplir toutes les formalités !

Catégories
Education

Confinement : 92% des parents se rendent compte que ce ne sont pas les profs le problème !

CONFINEMENT / ETUDE SOCIOLOGIQUE / COMPORTEMENT ENFANTS – Avec le confinement, les parents se retrouvent tout le temps avec leurs enfants. L’occasion de découvrir qui ils sont vraiment …

Avec le confinement, les parents découvrent qui est réellement leur enfant …

Le confinement est une période inédite où parents et enfants se retrouvent ensemble 100% du temps ou presque. Il est l’occasion pour chacun de se redécouvrir. Il est surtout l’occasion pour les parents de découvrir qui est réellement leur enfant au quotidien, et non celui qu’il feint être lorsqu’il rentre chez lui le soir, ou le week-end et durant les vacances.

Ainsi, une étude de l’Institut d’Etudes Sociologiques (IES) de Paris montre que grâce au confinement, 92% des parents ont découvert qui était réellement leur enfant. Voici notamment quelques témoignages recueillis dans le cadre de cette enquête :

En passant 100% du temps avec Kevin et en l’aidant dans les cours à la maison, je me suis rendu compte que non seulement il était fainéant mais en plus qu’il ne cessait de répondre avec insolence, à moi son propre père ! (Patrick, père de Kevin en classe de 5ème)

Je croyais toujours Malaury lorsqu’elle me disait que le prof ne l’aimait pas et que c’était pour cela qu’il l’avait sanctionnée. Mais en fait, je me suis rendu compte que ma gosse était une vraie « petite conne » ! (sic) (Natacha, mère de Malaury en classe de 2nde)

J’ai remarqué, en l’aidant à faire ses devoirs sur l’ENT et sur « Ma Classe à la Maison » du CNED, que Ulysse ne comprenait vraiment rien. Et que même en lui expliquant à de multiples reprises, il n’arrivait pas à comprendre. Moi qui croyait que c’étaient les profs qui étaient mauvais, je remets désormais grandement en question les capacités mentales de Ulysse ! (Liza, mère de Ulysse en classe de 3ème)

Nous avons présenté les résultats de cette étude sur un célèbre forum d’enseignants. Unanimement, selon eux, cette prise de conscience est salvatrice :

Il aura fallu attendre le confinement pour que les parents se rendent compte que c’était leur enfant le problème ! Si enfin on pouvait nous laisser en paix et ne pas toujours contester ce qu’on fait ou défendre corps et âme leur enfant. (Sonia, professeure d’anglais)

Enfin notre profession ne va plus être dévalorisée ! Enfin, peut-être, bénéficiera-t-on d’un peu de reconnaissance ? (Romain, professeur agrégé d’Histoire-Géographie-EMC)

Certains parents se rendent enfin compte que leur enfant a un comportement insupportable. Et encore, non seulement c’est leur enfant mais en plus il est tout seul à la maison. Imaginez lorsqu’on en a 30 comme ça ! J’espère que cela éveille pleinement leur conscience ! (David, professeur d’EPS)

Les enfants au comportement le plus déplorable ont des parents les plus contestataires. Je pense que le confinement les aura bien calmés, à moins qu’ils ne se soient déjà entre-tués ! (Corinne,professeure d’arts plastiques)

92%. Une prise de conscience massive que le problème dans l’Education Nationale, ce ne sont pas les profs. Mais bien l’éducation de base prodiguée par certains parents …

Catégories
Education

Réforme de l’Education Nationale : « C’est à l’Ecole d’éduquer les enfants, plus aux parents ! »

EDUCATION NATIONALE / REFORME – Une importante réforme systémique de l’Education Nationale est en cours. Objectif : que l’Ecole puisse s’occuper des enfants 24h/24, 7j/7, y compris durant les vacances scolaires.

Petra Godji, chef de projet de la Réforme systémique de l’Education Nationale : « Quelle que soit l’heure du jour ou de la nuit, les parents doivent pouvoir nous déposer leur enfant afin qu’on s’en occupe. Ils ont le droit de nous demander ce qu’ils veulent pour leur enfant. »

La rentrée 2019 marque de nombreux changements dans l’Education Nationale. En plus de la réforme du bac et de la baisse des effectifs de CP/CE1 en REP/REP+ notamment, on constate une prise en charge accrue des élèves avec l’instruction obligatoire dès 3 ans et des petits-déjeuners offerts aux enfants les plus défavorisés de France.

A terme, la réforme de l’Education Nationale veut tendre vers une prise en charge des enfants de 3 à 16 ans (durée de la scolarité obligatoire), à la demande des parents, 24h/24 et 7j/7. Charge sera donnée à l’Ecole de gérer jusqu’à l’intégralité de l’éducation de l’enfant, bien au-delà de la simple instruction : « On ne s’appelle pas Education Nationale pour rien ! » s’exclame Petra Godji, chef de projet de la Réforme systémique de l’Education Nationale.

L’Education Nationale prend de plus en plus en charge l’éducation des enfants, ce qui était jusqu’à maintenant le rôle des parents.

Il nous semble indispensable de poursuivre dans cette voie et que l’éducation globale de l’enfant soit désormais confiée à l’Etat, par le biais des enseignants. C’est à l’Ecole d’éduquer les enfants, plus aux parents !

De plus, l’Education Nationale est un service public. Il faut donc être au service des parents. Ainsi, quelle que soit l’heure du jour ou de la nuit, les parents doivent pouvoir nous déposer leur enfant afin qu’on s’en occupe. Ils ont le droit de nous demander ce qu’ils veulent pour leur enfant. Charge aux enseignants de répondre à cette demande, faute de quoi ils seront sanctionnés.

P. Godji

Concrètement, de nombreux changements sont envisagés pour tous les acteurs du système éducatif :

  • Les enseignants seront obligés de travailler au choix, en plus de leur temps actuel de travail :
    • 10 nuits (ou 4 nuits le week-end) hors vacances scolaires ;
    • ou 10 jours (ou 4 jours de week-end) durant les vacances scolaires ;
    • ou 5 nuits (ou 2 nuits de week-end) durant les vacances scolaires ;
    • cela dans le but de s’occuper des enfants dont les parents ne voudront/pourront pas s’occuper. Ainsi, les écoles et collèges seront tous ouverts 24h/24, 7j/7.
  • Les établissements scolaires devront pouvoir assurer tous les repas nécessaires aux enfants : petit-déjeuner, déjeuner, goûter, dîner. Ils devront également assurer le meilleur accueil (confort, bien-être, jeux, etc.) pour le bon épanouissement des enfants.
  • L’Education Nationale se chargera d’assurer toute l’éducation de l’enfant. Les parents apporteront une éducation complémentaire, s’ils le souhaitent.
  • Les parents pourront donner une lettre de mission aux enseignants en charge de s’occuper de leur enfant.

Grâce à cette réforme, les parents n’auront plus à s’occuper de leurs enfants, mais ils auront bien évidemment leur mot à dire :

Nous envisageons un système de notation des professeurs par les parents et les enfants, afin de déterminer qui sont les enseignants les moins performants pour les sanctionner mais aussi féliciter les meilleurs d’entre eux.

Nous savons depuis très longtemps que si un enfant a un mauvais comportement, c’est de la faute des enseignants. D’où l’intérêt d’identifier les mauvais enseignants et de les sanctionner.

P. Godji

La réforme, qui se met en place progressivement, devrait être pleinement effective en 2029. Chaque enfant de 3 à 16 ans pourra ainsi être pris en charge autant de temps et quand les parents le souhaitent, et ce, 24h/24 et 7j/7.

Les enseignants, en tant que prestataires, devront quant à eux répondre aux exigences des parents.

Catégories
Psycho / Sexo

Vous n’aimez pas vos enfants ? C’est normal ! 77% des parents ne les supportent pas !

PSYCHOLOGIE – La fin d’un tabou vient enfin de tomber grâce à une étude de chercheurs de la fameuse université américaine d’Harvard : 77% des parents n’aiment pas leur enfant. « Assumez de ne plus les aimer, dites-leur ! » conseillent les psychologues.

77% (86% en France !) des parents n’aiment pas leur enfant.

Plus besoin de culpabiliser ! Si vous n’aimez pas vos enfants, vous êtes tout à fait normaux ! C’est la fin d’une hypocrisie et d’un tabou : vous avez le droit de ne pas aimer vos enfants. D’autant plus que vous n’êtes pas seuls à ressentir cela, puisque 77% des parents sont dans ce cas ! Et cela est d’autant plus marqué dans les pays développés à économie de marché (PDEM).

L’étude menée par un collège de 275 chercheurs en psychologie de la fameuse Université d’Harvard, a été réalisée durant 5 ans sur un échantillon très représentatif :

Nous avons sondé 350.000 personnes dans 68 pays, y compris des familles monoparentales, des parents de toutes sexualités, des parents d’enfants unique comme multiples, à la ville comme à la campagne, pauvres comme riches, etc.

Selon cette étude, ce sont donc 77% des parents qui n’aimeraient pas leur enfant :

D’après nos sondages, analyses et enquêtes de terrain, nous sommes parvenus à la conclusion que ne pas aimer ses enfants est normal. 77% des parents étudiés n’aiment pas leurs enfants, à partir de 11 ans.

En effet, selon l’étude, plus les enfants vieillissent, moins les parents les aiment :

Jusqu’à 2 ans, la très grande majorité des parents (94%) aiment leur enfant, même si la charge de s’en occuper est lourde. Cela est dû au plaisir de la nouveauté, de l’enfant tant attendu qui est enfin là.

A partir de l’acquisition de la parole de l’enfant, les parents sont déjà moins nombreux à l’aimer (78%).

De 5 à 10 ans commence le désamour de l’enfant : seulement 50% des parents aiment leur enfant.

C’est à 11 ans que le divorce entre parents et enfants est le plus marqué. Avec le début de l’adolescence, les parents n’aiment plus leur enfant. Il n’y a plus que 33% des parents qui aiment leur enfant. Cela est dû à leur comportement et leurs réflexions stupides ainsi que leur violence vraisemblablement.

Et cela ne s’arrange pas avec le temps, sauf à moins voir ses enfants.

Ce désamour est beaucoup plus marqué dans les pays développés à économie de marché (PDEM) :

On constate que dans les pays développés comme les Etats-Unis, la Russie, l’Australie ou la France, donc des pays avec des cultures très différentes, les parents aiment beaucoup moins leurs enfants. Ils sont 86% à ne pas aimer leur enfant.

L’économie d’un pays a donc une influence directe sur l’amour qu’on peut porter à un enfant.

Outre les données de cette étude, les psychologues de l’étude prodiguent quelques conseils aux parents :

Assumez de ne pas aimer vos enfants. Soyez francs avec eux et dites-leur ! Rien ne sert de se voiler la face. Le fait d’être honnête est aussi bon psychologiquement pour vous que pour eux.

En conclusion, avoir des enfants est loin d’être un plaisir. Mais chut ! N’en parlons pas aux futurs parents …

Catégories
Education

53% des enfants Français sont des hyperactifs surdoués

HYPERACTIVITÉ / DOUANCE / VIOLENCE SCOLAIRE – Les diagnostics d’hyperactivité et de douance à l’école et au collège ne cessent d’augmenter en France. On estime ainsi qu’aujourd’hui, 53% des élèves sont hyperactifs et surdoués. L’inadaptation du système scolaire à ces élèves expliquerait 88% des actes de violence à l’école et au collège.

53% des enfants Français sont des hyperactifs surdoués. L’inadaptation du système scolaire expliquerait 88% des actes de violence scolaire.

Les diagnostics d’enfants hyperactifs et intellectuellement précoces (surdoués), réalisés dans le cadre scolaire (seul endroit où peuvent être vus 99% des enfants de 6 à 16 ans) sont toujours plus nombreux. Pourtant, tout le monde ne partage pas cet avis :

« Les enfants sont irrespectueux et ne travaillent pas », se plaignent de nombreux professeurs.

Or, leur hiérarchie ne cesse de leur rappeler que :

« Il n’y a pas de mauvais élève, mais seulement des enseignants qui ne savent pas s’y prendre »

Tandis que les parents estiment eux que leurs enfants :

 » ne sont pas perturbateurs : ils sont hyperactifs ; ils ne sont pas stupides : s’ils ne travaillent pas bien, c’est parce qu’ils sont surdoués ».

L’Education Nationale quantifie ainsi à 53% le nombre d’enfants hyperactifs surdoués :

« Ces données sont des remontées officielles de tous les établissements scolaires (écoles élémentaires et collèges) de France, sans aucune exception, en juillet 2018. Les chiffres sont donc incontestables et totalement fiables. Ce sont donc 53% d’élèves hyperactifs surdoués que compte la France, au 1er juillet 2018, d’après ces remontées d’informations du terrain. » explique Yves Gelesse de la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP).

Conséquemment, si le nombre d’incivilités et violences sont en hausse constante à l’Ecole, il ne faut pas en tirer un constat de violence généralisée selon Marlène Sivelet, chargée de mission « Climat scolaire et prévention des violences » à l’Education Nationale :

« Certes il y a de nombreux actes d’incivilités et de violence à l’Ecole et au collège notamment. Mais 88% de ces actes sont perpétrés par des enfants hyperactifs surdoués. Cela signifie que s’ils sont violents, ce n’est pas méchamment, c’est juste pour faire passer un message ; celui que l’Education Nationale ne sait pas les gérer selon leurs besoins spécifiques. Ces élèves violents ne sont donc pas des coupables, mais bel et bien des victimes. C’est la raison pour laquelle il ne faut pas les sanctionner ».

En résumé, si les élèves ont un comportement perturbateur, c’est parce qu’ils sont hyperactifs. S’ils n’apprennent rien, c’est parce qu’ils sont surdoués. Et s’ils semblent ne rien comprendre, c’est parce que les enseignants ne savent pas s’y prendre avec eux. 53% des élèves, diagnostiqués hyperactifs et surdoués, souffrent ainsi d’un système scolaire qui leur est inadapté et qui ne parvient pas à répondre à leurs besoins. En effet, ces élèves répondent à cette inadaptation du système scolaire par des actes d’incivilité et de violence (88% des actes sont commis par ces élèves hyperactifs et surdoués).

Catégories
Education

Des parents ne parvenant plus à gérer leur enfant l’ont fait reconnaître « hyperactif »

EDUCATION PARENTALE – Micheline et Dan Lopez sont des parents qui ont longtemps été dépassés par leur enfant qu’ils ne parvenaient plus à gérer. Ils ont adressé une demande à la MDPH afin que leur enfant soit reconnu hyperactif « afin de bénéficier de tous les avantages que ce statut accorde ».

La famille Lopez
La famille Lopez de nouveau heureuse depuis que Brandon a été reconnu comme souffrant d’un trouble de déficit de l’attention / hyperactivité (TDAH)

L’éducation de leur enfant, Micheline et Dan Lopez l’ont longtemps exercée avec difficulté. En effet, leur enfant Brandon, 11 ans, est tellement turbulent qu’il a déjà été arrêté 5 fois pour trafic de cannabis et exclu de 3 établissements scolaires en seulement 2 ans.

« Au début, on voulait faire appel à Pascal le Grand Frère. Mais la maison de production (NDLR : La Concepteria de Julien Courbet) nous a indiqué que cela ne suffisait pas : il fallait que notre enfant ait suivi des cours de théâtre afin que la scénarisation de l’émission paraisse réelle. » nous explique Micheline Lopez.

Alors, Dan Lopez, sur les conseils du Conseiller Principal d’Education (CPE) du collège Jacques Prévert, où étudie Brandon, a constitué un dossier afin que son enfant soit reconnu comme souffrant de « troubles de déficit de l’attention / hyperactivité » :

« M. Heurter, le CPE du collège de mon fils, m’a intimé l’ordre de trouver une solution pour Brandon, faute de quoi, il serait à nouveau exclu du collège. Face à mon désarroi, il m’a proposé de constituer un dossier de handicap de type ‘TDAH’ afin que mon fils puisse bénéficier d’un suivi particulier avec de nombreuses aides.

D’ailleurs, le CPE m’a rassuré en me confiant que de nombreux collégiens étaient reconnus comme ‘dys-‘ alors qu’ils sont simplement fainéants, agités, ou tout simplement stupides. » nous raconte Dan Lopez.

En effet, un enfant reconnu comme hyperactif peut bénéficier de nombreuses aides, comme toute autre forme de handicap.

« Même si ce n’est pas vrai, que mon enfant est tout simplement un ‘petit con’ pour parler vulgairement, tout le monde m’a aidé à le faire reconnaître comme enfant à ‘troubles de l’attention’ : l’infirmière du collège a établi une attestation médicale comme quoi mon enfant souffrait de troubles de l’attention, le CPE a joint de nombreux rapports faisant état de l’agitation de mon enfant, les professeurs m’ont encouragé dans cette démarche, et bien d’autres choses encore. » ajoute Dan Lopez.

Il faudra très peu de temps pour que Micheline et Dan Lopez reçoivent une réponse :

« La MDPH (NDLR : structure départementale reconnaissant les situations de handicap), à qui nous avons envoyé le dossier, nous a répondu en à peine 24H. C’était tellement rapide venant d’une administration qu’on a cru que la réponse était négative. Hé bien non ! Ce courrier reconnaissait le handicap de mon fils. Et immédiatement a été mis en place un arsenal d’aides pour mon enfant : PPS avec des aménagements aux examens, AEEH pour bénéficier de la prise en charge financière de frais de psychologues, un suivi personnalisé et des conseils gratuits fournis par l’association TDA/H France, etc. » se réjouissent Micheline et Dan Lopez.

Ils peuvent d’autant plus se réjouir que maintenant tout est excusé à leur fils :

« Grâce à cette reconnaissance de handicap, notre enfant n’est pas gardé plus de 1 heure à la gendarmerie quand il se fait arrêter. Si notre enfant a de mauvaises notes ou est absent de cours, tout lui est excusé au motif de son handicap. De notre côté, quand on en a marre de notre enfant, un coup de fil et hop! une association vient s’occuper de notre enfant. Bref, c’est du bonheur en barre pour nous tous ! »

Alors si votre enfant est un ‘petit con’, pour paraphraser Dan Lopez, n’hésitez pas à le faire reconnaître comme enfant à « trouble de déficit de l’attention / hyperactivité (TDAH) »  auprès de la MDPH de votre département.

 

Catégories
Faits divers

Matéo, 10 ans, apprenti terroriste et braqueur de boulangerie

DELINQUANCE – Matéo, 10 ans, a été interpellé par les forces de l’ordre alors qu’il venait de commettre une tentative de « braquage » dans une boulangerie de Marseille, à la manière d’un terroriste, c’est-à-dire armé d’une ceinture d’ « explosifs », d’un vêtement musulman et d’un foulard qui lui masquait le visage.

Matéo, 10 ans, braqueur apprenti djihadiste. (Image d'illustration)
Matéo, 10 ans, braqueur apprenti djihadiste.

(Image d’illustration)

 

Matéo est un enfant de 10 ans qui vit dans un quartier sensible du 14ème arrondissement de Marseille. Mercredi 24 août au matin, il décide d’aller braquer une boulangerie, plus précisément de voler des bonbons et de prendre un peu d’argent. Ce qui est d’autant plus surprenant malgré son jeune âge, c’est que son projet a été mûrement réfléchi.

En effet, Matéo a mis en place un scénario digne de braqueurs avertis. Il s’est tout d’abord déguisé en parfait « djihadiste », c’est-à-dire qu’il s’est emmitouflé la tête dans un foulard et qu’il a revêtu un kamis (longue robe couvrant épaules, torse, et jambes jusqu’à la cheville). En outre, il s’est entouré la taille d’une ceinture d’ « explosifs » élaborée avec les moyens du bord : à défaut d’explosifs, il a pris des pétards de type « Mammouth 6 » qu’il a reliés les uns avec les autres.

En entrant dans la boulangerie, il a hurlé « Allahu Akbar » et a demandé à ce qu’on lui remette 72 bonbons et l’argent de la caisse sans quoi il allait se faire exploser.

Malheureusement, la voix du jeune enfant était trop faible et trop aigüe pour qu’on puisse l’entendre. De plus, sa petite taille ne lui permettait pas de dépasser le comptoir !

Face à cet échec, Matéo ressort bredouille de la boulangerie. Mais à sa sortie, un chien se met à le renifler, suscitant l’intérêt des policiers qui patrouillaient. Le jeune enfant leur avouera alors tout son projet.

Durant l’interrogatoire, outre le récit détaillé de son histoire, le jeune enfant a avoué s’être converti à l’islam en regardant un épisode des « Teletubbies » puisqu’il n’arrivait pas à concevoir que des personnages aussi stupides et effrayants puissent passer à la télé. Il fallait donc selon lui mener la « Guerre Sainte » contre ces créatures « mécréantes » selon ses propres termes.

Matéo est en train de suivre le fameux test de détection de radicalisation pour vérifier s’il est effectivement radicalisé ou non. Il est le premier enfant en France à expérimenter ce test.

Catégories
Amérique

Ouragan Earl : un enfant projeté à plusieurs milliers de kilomètres !

INSOLITE – Un enfant happé à la Barbade par l’ouragan Earl a été retrouvé 3 jours plus tard sain et sauf au Belize, soit à 2700 km !

Les ravages de l'ouragan Earl en 2016
Les ravages de l’ouragan Earl, en août 2016

L’ouragan Earl s’est déplacé des Petites Antilles à l’Amérique centrale en ce début août 2016. Malgré l’alerte, un enfant de 12 ans, Carl Stuart, jouait dans les rues de Speightstown (La Barbade), lorsque les vents violents de la tempête Earl le happent.

Terrifiés, les parents qui ne cessaient de rappeler leur enfant pour qu’il rentre, ne peuvent qu’assister à la disparition de leur enfant dans les airs à une vitesse vertigineuse :

« C’était terrifiant de voir ce petit corps aspiré ainsi dans les airs ! On n’avait aucun espoir de le revoir en vie » témoignent-ils, très émus.

Pourtant, 3 jours plus tard, juste après que l’ouragan a sévi au Bélize, des habitants de San Ignacio (district de Cayo) découvrent un enfant étendu contre le pilier d’une maison partiellement détruite. Emmené à l’hôpital on ne lui diagnostiquera que de légères contusions et une commotion cérébrale sans gravité. Choqué, l’enfant ne peut pas parler. C’est donc via les réseaux sociaux que les autorités du Bélize tenteront de retrouver les parents de l’enfant. Et ce sera chose faite en à peine 5 heures : les parents de Carl Stuart contacteront immédiatement les autorités de San Ignacio.

« Transporté par les vents à plus de 2700km d’où il vit : c’est exceptionnel ! Et qu’il soit en vie et en bonne santé, c’est un miracle ! Et ensuite qu’on parvienne à retrouver ses parents aussi vite … Wah ! » s’est exclamée la policière qui l’a recueilli, Iva Macal.

Comme quoi, partir au ciel, ne signifie pas systématiquement mourir !

Catégories
Archives

Radicalisé, un enfant de 8 ans décapite la poupée de sa soeur !

TERRORISME – Un enfant de 8 ans, Dimitri, a été radicalisé par un dessin animé. Il décide alors de décapiter la poupée de sa sœur Camille et de prendre ses parents en otage.

Dimitri, 8 ans, terroriste
Qui aurait cru que le petit Dimitri, 8 ans, devienne terroriste ?

Dimitri est un enfant de 8 ans très calme et joueur. Aussi, quand ses parents partent faire les courses, ils laissent Dimitri seul à la maison avec sa petite soeur de 5 ans, en lui mettant des dessins animés sur Internet.

En fait, ces animations étaient des dessins animés de propagande jihadiste. Le petit Dimitri, durant 30 minutes, regarde le dessin animé et s’en trouve radicalisé. Il décide alors de décapiter la poupée de sa soeur, sous ses yeux, en criant « Allahou Akbar » (Dieu est plus grand).

Lorsque les parents de Dimitri reviennent, ils trouvent la petite soeur terrifiée, en position fœtale sous la table du salon. Et un peu plus loin, Dimitri est en train d’écrire partout sur les murs « Allahou Akbar », un couteau de cuisine dans la poche. Les parents, terrorisés, témoignent :

« Dès notre arrivée dans la maison, tout était sens dessus dessous : les murs étaient maculés d’inscription ‘Allahou Akbar’ et notre petite Camille terrorisée sous la table du salon. Et quand on a vu notre petit Dimitri en train d’écrire ces inscriptions sur les murs, un couteau de cuisine dans la poche, on a tout de suite appelé la police. »

Pour leur intervention, les policiers font appel au GIPN avec un pédopsychiatre. Ils essaient de négocier avec le petit Dimitri, mais celui-ci retient en otage ses parents. Ces derniers ne parviennent pas à agir :

« On était terrorisé. On aurait cru qu’il était possédé. On s’est dit qu’il était prêt à tout donc on n’a pas osé intervenir ».

Le petit Dimitri va alors chercher ses Légo et Playmobile pour former une barricade empêchant l’intervention du GIPN. Le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, prévenu, se rend sur les lieux de la prise d’otage en région parisienne. Il décide de donner l’assaut 1 heure après son arrivée sur les lieux.

Dès que l’assaut est donné, le petit Dimitri se précipite sur une poupée trouvée par terre, menaçant de la décapiter elle aussi. Mais le GIPN parvient à s’emparer du forcené. L’un des membres de la brigade d’intervention explique :

« Le petit Dimitri était très déterminé. Même armé d’un simple couteau, il était un véritable terroriste et il ne fallait pas ignorer son potentiel de dangerosité, d’où la mise en place d’un tel dispositif ».

Les parents, terrorisés, sont actuellement en repos dans un hôpital psychiatrique. Le petit Dimitri est quant à lui entendu par les enquêteurs.

DERNIERE MINUTE : Une vidéo de revendication du petit Dimitri a été retrouvée sur Youtube. Il annonce avoir piégé la maison de l’un de ses voisins avec des Lego Technique. Une équipe de déminage est sur les lieux.