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Internet

“Je suis contre la violence”, un message de paix énormément partagé sur les réseaux sociaux a dissuadé des délinquants d’être violents

RÉSEAUX SOCIAUX / PAIX – Cynthia, jeune femme de 28 ans, a eu l’idée de partager un message contre la violence. Son post, publié sur Facebook, Twitter et Instagram a connu un succès fulgurant. Des délinquants ont d’ailleurs décidé de ne plus être violents grâce à ce message.

Il suffisait d’y penser … Cynthia a lancé début août un appel sur les réseaux sociaux intitulé “Je suis contre la violence. Partage si tu en as le courage !”. Ce message a été “liké” près de 1 million de fois et partagé près de 600 000 fois sur les trois réseaux sociaux (FB, Twitter, Instagram) confondus.

J’avais décidé de publier un message de paix car si on fait la publicité de la paix, il y aura moins de violence je me suis dit. J’ai été surprise qu’il y ait en fait tant de gens gentils dans le monde parce que mon message a été liké plus de 970 000 fois et partagé plus de 583 000 fois en tout juste une semaine !

Cynthia, instigatrice du message “Contre la violence”
Illustration utilisée par Cynthia sur les réseaux sociaux “Je suis contre la violence” likée près de 1 million de fois et partagée près de 600 000 fois en 1 semaine.

Ce message contre la violence a d’ailleurs porté ses fruits puisque des dizaines de milliers de délinquants ont répondu que, grâce à son message, ils allaient cesser d’être violents. Extraits :

  • Merci Cynthia pour ton message. Grâce à toi, j’ai compris que la violence n’était pas la bonne solution. (Charles-Henri, sur Facebook)
  • Grâce à ton message Cynthia, je vais arrêter de taper les gens, de voler. Tu as été ma révélation. Pourquoi n’y avais-je pas pensé avant ? (Mylène, sur Instagram)
  • Mes parents m’avaient toujours dit d’être gentils et je ne les ai jamais écoutés. Mais depuis ton message, je me suis dit : sois gentil, arrête la violence ! (Fabrizio, sur Twitter)

Grâce à son message sur les réseaux sociaux, Cynthia a contribué à ce qu’il y ait moins de violence dans le monde. Sa prochaine étape : traduire son message en anglais pour toucher plus de personnes :

Grâce au succès de mon message en français, j’ai décidé de le traduire en anglais pour toucher plus de monde. J’ai payé une agence de traduction pour que mon message soit écrit en bon anglais puis je le diffuserai de la même manière.

Cette fois, j’espère toucher non seulement des délinquants, mais aussi des terroristes, pour qu’ils comprennent que la violence ce n’est pas bien, ce n’est pas une solution. S’asseoir autour d’un thé ou d’un café, ça arrange bien plus de choses que de faire exploser des bombes.

Si vous souhaitez aider Cynthia dans sa démarche, n’hésitez pas à partager son message de paix !


Actubis s’engage également contre la violence. N’hésitez pas à signer notre pétition (lancée le 23 août 2019) pour la paix dans le monde :

Pétition pour la paix dans le monde : http://chng.it/2kVhNHbNgC

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Loi / Justice

“Interpellation consentie” : les policiers doivent demander l’autorisation à l’interpellé avant toute arrestation

“INTERPELLATION CONSENTIE” – Suite aux nombreuses critiques et plaintes pour violences policières, le Ministre de l’Intérieur a décidé de réformer les arrestations en créant les “interpellations consenties”.

Les interpellations consenties sont désormais obligatoires : il s’agit de demander l’autorisation à l’interpellé pour l’emmener au commissariat.

Apaiser la colère, tel est le leitmotiv du Gouvernement face à la crise qui touche le pays depuis plusieurs mois. Le Ministère de l’Intérieur, premier ministère touché par cette colère, propose donc une meilleure gestion des interpellations policières, qui sont critiquées comme étant pour certaines trop violentes.

Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a décidé d’écouter ces voix qui s’élevaient contre les violences policières en proposant une réforme des arrestations et en instaurant les “interpellations consenties” :

Ce qu’on reproche aux forces de l’ordre, ce sont leurs arrestations parfois musclées. Devant à la fois être à l’écoute de la population et garant du maintien de l’ordre, j’ai décidé de réformer quelque peu les arrestations. J’ai donc décidé qu’à compter d’aujourd’hui toutes les arrestations doivent être des “interpellations consenties”.

Christophe Castaner, Ministre de l’Intérieur.

Comme son nom l’indique, une interpellation consentie consiste en une arrestation avec laquelle l’interpellé est d’accord. Le Ministère explique dans sa note aux Préfectures de Police ce dont il s’agit :

L’interpellation consentie est une composante essentielle de notre défi “L’Ordre total dans la Paix absolue”, dont vous avez déjà eu note. Je vous prie de développer cet esprit de bienveillance et de gentillesse envers les interpellés, quel que soit le délit ou le crime commis, à chacune des étapes de procédure.

Une interpellation consentie consiste en une interpellation non violente, où l’interpellé est partie prenante de son arrestation. Il s’agit que l’interpellé comprenne et soit d’accord avec son arrestation. A défaut, des décisions alternatives devront être prises, comme cela est indiqué dans la note jointe.

Ceci permet d’entamer une relation sereine entre l’interpellé et les forces de l’ordre. La violence ne fait en effet qu’exacerber les conflits. Pour que la bonté humaine triomphe en toute circonstance.

Courrier du Ministère de l’Intérieur aux Préfectures de Police

En annexe de ce courrier, une note du Ministère de l’Intérieur explique comment devra se dérouler une “interpellation consentie” :

  • Désigner clairement et en toute courtoisie l’individu susceptible d’être interpellé (ex : “Bonjour M.-Mme, nous vous désignons pour une éventuelle interpellation. Merci de bien vouloir vous approcher”)
  • Lui demander poliment s’il accepte son arrestation, en lui expliquant le motif de celle-ci (ex : “Excusez-moi M.-Mme Untel, nous souhaiterions, si vous l’acceptez, procéder à votre interpellation, au motif que vous avez [motif de l’arrestation] “)
    • Si la personne accepte : la remercier pour cette sage décision et procéder à l’interpellation en prenant tout le temps nécessaire, en ne la brusquant pas et en ne serrant pas trop fort les menottes ;
    • Si la personne refuse : lui passer les menottes en expliquant la légalité de la démarche. Puis amorcer un dialogue jusqu’à faire entendre raison à l’interpellé. Si la personne persiste, faire venir son avocat sur place pour débuter l’audition in situ.
    • Si la personne s’enfuit : la rattraper. Excusez-vous de l’avoir quelque peu bousculé lors de son arrestation. Si la personne ne consent pas à son interpellation, faire venir son avocat sur place pour débuter l’audition in situ.
    • A NOTER : en cas de tensions sur le site d’interpellation (mouvement de groupes, jets d’objets, etc.), il faudra obtenir l’autorisation de l’interpellé pour changer de lieu d’interpellation. A défaut, une convocation au commissariat lui sera remise.
  • Une fois ramené au commissariat, proposez obligatoirement à l’interpellé une boisson chaude ou une boisson froide ainsi que quelque chose à manger. Dédramatisez la situation et soyez gentil, poli et courtois.
  • A noter : si vous constatez la moindre écorchure causée par votre intervention, obligation vous sera faite de conduire l’interpellé à l’hôpital et de consigner l’incident dans le rapport. De même, tout vêtement ou accessoire abîmé à cause de votre intervention devra être consignée dans le rapport afin que cela soit remboursé à l’interpellé.

Grâce aux “interpellations consenties”, aucune arrestation ne pourra plus être qualifiée d’ambiguë ou pis encore, violente.

En proposant la paix, la Police va générer la paix. Cela marquera-t-il la fin de la violence ?

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Politique

L’association France Sado-Maso conseille LREM

ASSOCIATION / POLITIQUE – Le parti politique LREM est touché par de nombreuses critiques et actions plus ou moins violentes. L’Association France Sado-Maso conseille donc les élus LREM pour parvenir à trouver du plaisir dans toute cette douleur.

L’Association France Sado-Maso conseille les élus LREM afin qu’ils tirent du plaisir des affronts, menaces et violences qu’ils subissent.

Depuis le début du conflit des Gilets Jaunes, les élus LREM essuient nombre de critiques et d’actes de malveillance voire de violence. Et cela ne semble pas s’arranger. Aussi, il est de plus en plus difficile pour ces élus de supporter ces actes et menaces. Heureusement, une association leur vient en aide, l’association France Sado-Maso :

L’association France Sado-Maso soutient de tout cœur le parti politique LREM, avec lequel elle partage ces valeurs de douleur, d’humiliation et de soumission.

Bien qu’un bon pourcentage de ces élus aient déjà rejoint nos rangs, ce qui explique qu’ils tiennent aussi bien le bateau malgré la violente tempête qu’ils affrontent, tous ne sont pas sado-maso et ne savent donc pas gérer ce qu’ils subissent, ce déferlement de haine voire de violence. C’est pourquoi nous leur délivrons quelques conseils afin que toutes ces apparentes violences physiques et morales se transforment en un plaisir certain.

Communiqué officiel de l’association France Sado-Maso, jeudi 8 août 2019.

Ainsi, à défaut que LREM résolve les causes du conflit, l’association délivre des conseils pour apprendre aux adhérents LREM à tirer du plaisir de ces critiques et violences :

Les conseils que nous donnons aux élus LREM sont les mêmes que pour tous les débutants en BDSM bondage, domination et sado-masoschisme. On commence par supporter des petites actions puis on pousse progressivement vers quelque chose de plus hard, jusqu’à atteindre ses limites.

Le détail des conseils délivrés par l’association ne sont pas publics :

Nous réservons nos conseils aux élus LREM qui souhaitent s’initier sérieusement dans le sado-masoschisme, et donc durer dans le parti. Nous ne les rendons donc pas publics. Mais si cela vous intéresse, on peut s’arranger …

L’association avoue que ses conseils ne sont utiles que pour les élus LREM n’ayant pas de fonctions d’importance :

Les membres du Gouvernement et les députés LREM les plus exposés sont déjà très avancés dans le sado-masoschisme, sans quoi ils auraient déjà sauté. D’ailleurs, ceux qui n’ont pas tenu au Gouvernement sont ceux qui n’étaient pas faits pour ça !

En conclusion, plus les élus LREM sont critiqués, plus ils prennent du plaisir. Ceci explique probablement ce bras de fer perpétuel !

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Education

#pasdevague : les enseignants dans des établissements classés en “zone sensible” (ZSP) autorisés à faire cours en visioconférence

EDUCATION / VIOLENCE – Suite au hashtag #pasdevague et à son triste succès, le Ministère de l’Education Nationale a pris des mesures. Il a notamment décidé d’autoriser les enseignants de collèges et de lycées situés en “zone de sécurité prioritaire” à faire cours en visioconférence, afin d’éviter les violences physiques de certains élèves et de mettre fin aux nombreux postes non pourvus dans ces établissements. Le dispositif entrera en vigueur à la rentrée 2019.

Les enseignants d’établissements sensibles situés dans les Zones de Sécurité Prioritaire (ZSP) pourront assurer leurs cours par visioconférence s’ils le souhaitent, à partir de la rentrée 2019.

Le ministère de l’Education Nationale a fait savoir qu’il autorisait les enseignants qui le veulent à assurer leur cours en visioconférence dans les collèges et lycées situés en zones de sécurité prioritaire (ZSP), ceci afin d’éviter les violences physiques et/ou verbales dont certains sont victimes. Pour cela, les enseignants doivent faire connaître leur choix d’assurer tout ou partie de leurs cours en visioconférence auprès du chef d’établissement qui doit prendre les dispositions nécessaires à la mise en oeuvre effective des cours en visioconférence, sous 15 jours :

“Tout enseignant exerçant dans un établissement de l’enseignement secondaire situé dans une Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP), dont la liste est maintenue à jour par le Ministère de l’Intérieur, peut demander librement son intention d’assurer une partie ou l’intégralité de ses enseignements par visioconférence. Le chef d’établissement dispose de 15 jours pour mettre en oeuvre la situation.” peut-on lire dans le communiqué.

Il faudra toutefois attendre la rentrée du lundi 2 septembre 2019 pour voir le dispositif entrer en vigueur.

Concrètement, grâce à ce dispositif, l’enseignant assure son cours depuis où il veut, à distance. Les élèves vont quant à eux en cours normalement, dans les salles traditionnelles. Ces derniers sont surveillés par un personnel de vie scolaire ; l’enseignant n’a donc plus de mission de discipline à assurer dans la classe. Il se contente d’assurer son cours :

“Grâce à ce dispositif, les enseignants n’auront plus l’angoisse d’aller enseigner. Ils le feront tranquillement depuis chez eux. De plus, ils n’auront plus à gérer la discipline dans ces classes difficiles. Ainsi 100% du temps sera consacré à l’enseignement, contre seulement 30 à 50% actuellement.” nous explique Jean-Marc Québlot, délégué syndical dans un collège de Trappes (Yvelines).

Toutefois, cela contraint 1 personnel de vie scolaire à surveiller le cours qui a lieu en visioconférence. Cela pourra nécessiter d’embaucher jusqu’à 30 assistants d’éducation par établissement scolaire :

“L’idée est bonne. Mais le Ministère devra nous donner les moyens d’embaucher davantage d’assistants d’éducation afin d’assurer la surveillance des salles de classe pendant les cours en visioconférence” prévient Henry Langot, principal du collège de Trappes.

Tous les enseignements pourront être concernés par ce dispositif, y compris ceux d’éducation physique et sportive (EPS) :

“Ce dispositif de cours par visioconférence est ouvert à tous les enseignants, titulaires comme contractuels, quelle que soit leur discipline d’enseignement, y compris l’EPS, et quelle que soit l’activité (travaux pratiques ou dirigés, devoir sur table, ateliers, exercices, etc.)” lit-on dans le communiqué.

Grâce à ce dispositif, l’enseignant n’a plus à faire face à des jeunes violents physiquement et/ou verbalement. Le Ministère de l’Education Nationale espère ainsi que les postes non pourvus dans les établissements les plus sensibles le seront désormais, car ils deviendront beaucoup plus attrayants qu’auparavant.

Le ministère a d’ores et déjà débloqué 1 million d’euros pour couvrir les frais liés à la mise en place et au fonctionnement de ce dispositif. Il envisage de lui consacrer 500.000€ par an.

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Politique

Pour lutter contre les bandes, des tournois E-Gaming de combat avec Street Fighter V

VIOLENCE – Pour lutter contre les violences des bandes de jeunes adolescents, Christophe Castaner, Ministre de l’Intérieur, a annoncé jeudi 25 octobre son intention d’organiser fréquemment, dans les zones sensibles, des tournois E-Gaming de jeux de combats tels que Street-Fighter V.

Pour lutter contre la violence des jeunes adolescents, Christophe Castaner, Ministre de l’Intérieur, préconise d’organiser des tournois e-gaming de jeux vidéos de combat tels que Street Fighter V.

Les bandes rivales de jeunes adolescents (de 11 à 15 ans) qui s’affrontent sont de plus en plus nombreuses avec des rixes toujours plus violentes qui vont jusqu’à entraîner la mort de certains d’entre eux (on dénombre plus de 250 rixes et 8 morts en 2 ans à Paris). Pour faire face à ces actions violentes qui touchent un public très jeune, le Ministre de l’Intérieur Christophe Castaner envisage d’agir sur 2 fronts :

  • Changer le plan d’action en identifiant non plus les bandes mais les individus et en octroyant des moyens supplémentaires aux forces de l’ordre ;
  • Trouver des occupations aux jeunes de ces quartiers, désoeuvrés, telles que l’organisation de tournois E-Gaming de jeux vidéos de combat.

En effet, selon Christophe Castaner il faut agir à la fois en aval du problème (durant les affrontements) et aussi en amont en prévenant ces rixes et en évitant qu’elles ne se produisent.

Aussi, le Ministre de l’Intérieur a bien compris que c’est sur ce dernier point qu’il fallait agir prioritairement :

“Il faut trouver des activités à ces jeunes adolescents, désoeuvrés, des quartiers. Pour cela, je pense qu’il faut leur proposer des choses qu’ils aiment. Et il me semble que les jeux vidéos et la violence sont 2 domaines qu’ils plébiscitent. C’est pour cela que je propose d’organiser des tournois de E-Gaming sur des jeux de combats tels que Street Fighter V. Ainsi, les jeunes pourront libérer toute leur violence dans ce jeu et se battront virtuellement, avec pour défi d’anéantir l’équipe adverse comme ils le faisaient actuellement dans la vraie vie. En clair, il s’agit de transposer la violence réelle de ces jeunes en une violence virtuelle.”

Si ce projet est concluant, le Ministre envisage d’opérer de même en prison :

“Les détenus violents seront invités à jouer contre les gardiens de prison à des jeux de combat sur console. Je suis convaincu que toutes ces personnes ont besoin de libérer leur haine. Plutôt qu’elle soit physique et réelle, autant qu’elle soit mentale et virtuelle !”

Quant à savoir si cela permettra de “guérir” les jeunes (et les détenus) de leur violence :

“Je ne suis pas psychiatre, je suis Ministre de l’Intérieur. Mon seul but est de limiter les actes de violence. Quant à ce qui se passe dans la tête de ces individus, c’est aux médecins de gérer.

[…]

Ce qu’attend la population, ce n’est pas tant des guérisons que des résultats concrets, à savoir une diminution du nombre d’actes de violence de ces jeunes”.

Ce projet de tournois E-Gaming de jeux de combat pour les jeunes devrait être mis en place d’ici quelques mois. Les résultats seront quantifiables et analysables à partir de l’année prochaine, nous garantissent les services du Ministère.

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Education

53% des enfants Français sont des hyperactifs surdoués

HYPERACTIVITÉ / DOUANCE / VIOLENCE SCOLAIRE – Les diagnostics d’hyperactivité et de douance à l’école et au collège ne cessent d’augmenter en France. On estime ainsi qu’aujourd’hui, 53% des élèves sont hyperactifs et surdoués. L’inadaptation du système scolaire à ces élèves expliquerait 88% des actes de violence à l’école et au collège.

53% des enfants Français sont des hyperactifs surdoués. L’inadaptation du système scolaire expliquerait 88% des actes de violence scolaire.

Les diagnostics d’enfants hyperactifs et intellectuellement précoces (surdoués), réalisés dans le cadre scolaire (seul endroit où peuvent être vus 99% des enfants de 6 à 16 ans) sont toujours plus nombreux. Pourtant, tout le monde ne partage pas cet avis :

“Les enfants sont irrespectueux et ne travaillent pas”, se plaignent de nombreux professeurs.

Or, leur hiérarchie ne cesse de leur rappeler que :

“Il n’y a pas de mauvais élève, mais seulement des enseignants qui ne savent pas s’y prendre”

Tandis que les parents estiment eux que leurs enfants :

” ne sont pas perturbateurs : ils sont hyperactifs ; ils ne sont pas stupides : s’ils ne travaillent pas bien, c’est parce qu’ils sont surdoués”.

L’Education Nationale quantifie ainsi à 53% le nombre d’enfants hyperactifs surdoués :

“Ces données sont des remontées officielles de tous les établissements scolaires (écoles élémentaires et collèges) de France, sans aucune exception, en juillet 2018. Les chiffres sont donc incontestables et totalement fiables. Ce sont donc 53% d’élèves hyperactifs surdoués que compte la France, au 1er juillet 2018, d’après ces remontées d’informations du terrain.” explique Yves Gelesse de la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP).

Conséquemment, si le nombre d’incivilités et violences sont en hausse constante à l’Ecole, il ne faut pas en tirer un constat de violence généralisée selon Marlène Sivelet, chargée de mission “Climat scolaire et prévention des violences” à l’Education Nationale :

“Certes il y a de nombreux actes d’incivilités et de violence à l’Ecole et au collège notamment. Mais 88% de ces actes sont perpétrés par des enfants hyperactifs surdoués. Cela signifie que s’ils sont violents, ce n’est pas méchamment, c’est juste pour faire passer un message ; celui que l’Education Nationale ne sait pas les gérer selon leurs besoins spécifiques. Ces élèves violents ne sont donc pas des coupables, mais bel et bien des victimes. C’est la raison pour laquelle il ne faut pas les sanctionner”.

En résumé, si les élèves ont un comportement perturbateur, c’est parce qu’ils sont hyperactifs. S’ils n’apprennent rien, c’est parce qu’ils sont surdoués. Et s’ils semblent ne rien comprendre, c’est parce que les enseignants ne savent pas s’y prendre avec eux. 53% des élèves, diagnostiqués hyperactifs et surdoués, souffrent ainsi d’un système scolaire qui leur est inadapté et qui ne parvient pas à répondre à leurs besoins. En effet, ces élèves répondent à cette inadaptation du système scolaire par des actes d’incivilité et de violence (88% des actes sont commis par ces élèves hyperactifs et surdoués).

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People

B. Cantat met fin à sa carrière : “Je souhaite me concentrer sur la lutte contre les violences faites aux femmes”

BERTRAND CANTAT – Bertrand Cantat a décidé de mettre fin prématurément à sa tournée, ce qui présage une fin de carrière anticipée. Ce choix est motivé par son nouvel engagement : la lutte contre les violences faites aux femmes.

Bertrand Cantat met fin à sa carrière de chanteur pour s’engager dans la lutte contre les violences faites aux femmes.

Dimanche 10 juin, Bertrand Cantat a annoncé, dans les dernières minutes de son concert donné à Bruxelles, qu’il annulait les deux dates supplémentaires des 20 et 21 décembre prochain à Pau et Bordeaux “pour des raisons personnelles”. Sur Facebook, Bertrand Cantat a confirmé que sa tournée prenait fin. Mais il est resté très évasif sur la suite de sa carrière, malgré les différentes hypothèses évoquées dans la presse.

Aussi, si Bertrand Cantat arrête prématurément sa tournée et probablement sa carrière de chanteur, c’est pour se consacrer à un sujet “qui [lui] tient tout particulièrement à coeur” a-t-il déclaré à nos confrères belges : la lutte contre les violences faites aux femmes.

“Les femmes sont aujourd’hui encore déconsidérées, voire maltraitées, certaines violentées et violées. Cela est intolérable. Je ne peux pas laisser les femmes victimes de ces violences. Il est de mon devoir d’agir !” confie-t-il à la Presse Belge.

Plus particulièrement, Bertrand Cantat souhaite lutter contre les violences conjugales dont les femmes sont victimes :

“Les violences conjugales sont les pires violences que subissent les femmes, car elles combinent violences psychologiques et violences physiques. Ce sont les plus tabous, les plus fourbes, car dans un cercle intime fermé où elles sont sous l’emprise de leur conjoint. Et parfois, cela aboutit au drame : la mort !”. ajoute-t-il, très ému.

C’est donc dans une véritable perspective de soutien aux femmes que Bertrand Cantat s’engage :

“Plus jamais de violences faites aux femmes !” martèle-t-il tel un mantra sur les réseaux sociaux et dans chaque interview.

Ainsi, après sa carrière de chanteur engagé, c’est dans une carrière de militant engagé pour la cause des femmes victimes de violences que s’engage Bertrand Cantat. Grâce à la notoriété de Bertrand Cantat, espérons que la lutte contre les violences faites aux femmes portera ses fruits !

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Politique

Les blacks blocs investissent en bourse pour financer leurs actions durant les manifestations

BLACK BLOC – Les membres des blacks blocs, ces groupes d’activistes issus des mouvances libertaires et anarchistes, investissent de plus en plus en bourse pour financer leurs actions lors des manifestations et avoir ainsi un réel impact sur l’opinion publique.

La majorité des membres actifs des blacks blocs investissent en bourse. Cela leur permet de renforcer leur pouvoir lors de leurs actions durant les manifestations.

Les blacks blocs consistent en un ensemble d’individus, sans filiation autre qu’une idéologie commune, qui agissent collectivement à un moment donné, dans le cadre d’une manifestation, avec des revendications libertaires, anarchistes et anticapitalistes.

Si les black blocs, apparus au début des années 80 en Allemagne, tiennent aujourd’hui de plus en plus d’importance, c’est non seulement en raison du nombre de membres actifs qui ne cesse de croître mais aussi et surtout en raison des moyens financiers grandissants dont ils disposent. Michaël, 31 ans, est un “black bloc” anarchiste très actif lors des manifestations. Il confirme cet accroissement des moyens financiers dont disposent les manifestants des blacks blocs :

“J’ai rejoint les blacks blocs à 14 ans, lors du sommet de Gênes en 2001. En 17 ans, je dois avouer que notre mouvement n’a cessé de s’amplifier. Et pas seulement d’un point de vue humain : on dispose de plus en plus de moyens financiers qui nous permettent d’être très actifs dans les manifestations.”

Ce témoignage de Michaël est corroboré par la police. Ainsi, parmi les arrestations des membres de ces blacks blocs années après années, les policiers de tous les pays se sont rendus compte que la grande majorité de ces membres disposaient de plusieurs milliers voire dizaines de milliers d’euros d’économies. Ils ont également constaté que ces membres investissent de plus en plus en bourse afin d’accroître leurs revenus.

“Personnellement, je dispose de près de 25.000€ d’économies sur mon compte, grâce aux ressources de mes parents et à mon travail de manager dans un fast-food. Cet argent, j’essaie de le faire fructifier au mieux en investissant en bourse. Ne croyez pas que je cherche à m’enrichir : tout cet argent sert à mon combat, notre combat ! L’objectif est de générer un maximum de bénéfices pour pouvoir financer notre lutte anticapitaliste” nous confie Michaël.

Ainsi, grâce aux investissements boursiers de la plupart des membres des blacks blocs, on constate une recrudescence du nombre d’actions de ces groupes d’individus. En outre, on constate que les moyens pour manifester ne cessent de croître. Des premières banderoles des débuts, on constate désormais que chaque membre dispose d’un arsenal de guerre conséquent, d’une valeur équivalente à plusieurs milliers d’euros !

Selon nos informations, les black blocs envisagent de s’organiser de manière durable et pérenne, en constituant une entreprise internationale dont les bénéfices serviront à financer leurs actions revendicatives.

“Le combat des black blocs n’est pas prêt de s’arrêter. On ne cesse de s’enrichir, ce qui facilite notre lutte et nos actions parfois violentes lors des manifestations.” nous avoue Michaël.

Il est vrai que si les moyens des blacks blocs ne cessent de croître, on peut craindre une recrudescence des actes violents lors des manifestations.