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Loi / Justice

“Interpellation consentie” : les policiers doivent demander l’autorisation à l’interpellé avant toute arrestation

“INTERPELLATION CONSENTIE” – Suite aux nombreuses critiques et plaintes pour violences policières, le Ministre de l’Intérieur a décidé de réformer les arrestations en créant les “interpellations consenties”.

Les interpellations consenties sont désormais obligatoires : il s’agit de demander l’autorisation à l’interpellé pour l’emmener au commissariat.

Apaiser la colère, tel est le leitmotiv du Gouvernement face à la crise qui touche le pays depuis plusieurs mois. Le Ministère de l’Intérieur, premier ministère touché par cette colère, propose donc une meilleure gestion des interpellations policières, qui sont critiquées comme étant pour certaines trop violentes.

Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a décidé d’écouter ces voix qui s’élevaient contre les violences policières en proposant une réforme des arrestations et en instaurant les “interpellations consenties” :

Ce qu’on reproche aux forces de l’ordre, ce sont leurs arrestations parfois musclées. Devant à la fois être à l’écoute de la population et garant du maintien de l’ordre, j’ai décidé de réformer quelque peu les arrestations. J’ai donc décidé qu’à compter d’aujourd’hui toutes les arrestations doivent être des “interpellations consenties”.

Christophe Castaner, Ministre de l’Intérieur.

Comme son nom l’indique, une interpellation consentie consiste en une arrestation avec laquelle l’interpellé est d’accord. Le Ministère explique dans sa note aux Préfectures de Police ce dont il s’agit :

L’interpellation consentie est une composante essentielle de notre défi “L’Ordre total dans la Paix absolue”, dont vous avez déjà eu note. Je vous prie de développer cet esprit de bienveillance et de gentillesse envers les interpellés, quel que soit le délit ou le crime commis, à chacune des étapes de procédure.

Une interpellation consentie consiste en une interpellation non violente, où l’interpellé est partie prenante de son arrestation. Il s’agit que l’interpellé comprenne et soit d’accord avec son arrestation. A défaut, des décisions alternatives devront être prises, comme cela est indiqué dans la note jointe.

Ceci permet d’entamer une relation sereine entre l’interpellé et les forces de l’ordre. La violence ne fait en effet qu’exacerber les conflits. Pour que la bonté humaine triomphe en toute circonstance.

Courrier du Ministère de l’Intérieur aux Préfectures de Police

En annexe de ce courrier, une note du Ministère de l’Intérieur explique comment devra se dérouler une “interpellation consentie” :

  • Désigner clairement et en toute courtoisie l’individu susceptible d’être interpellé (ex : “Bonjour M.-Mme, nous vous désignons pour une éventuelle interpellation. Merci de bien vouloir vous approcher”)
  • Lui demander poliment s’il accepte son arrestation, en lui expliquant le motif de celle-ci (ex : “Excusez-moi M.-Mme Untel, nous souhaiterions, si vous l’acceptez, procéder à votre interpellation, au motif que vous avez [motif de l’arrestation] “)
    • Si la personne accepte : la remercier pour cette sage décision et procéder à l’interpellation en prenant tout le temps nécessaire, en ne la brusquant pas et en ne serrant pas trop fort les menottes ;
    • Si la personne refuse : lui passer les menottes en expliquant la légalité de la démarche. Puis amorcer un dialogue jusqu’à faire entendre raison à l’interpellé. Si la personne persiste, faire venir son avocat sur place pour débuter l’audition in situ.
    • Si la personne s’enfuit : la rattraper. Excusez-vous de l’avoir quelque peu bousculé lors de son arrestation. Si la personne ne consent pas à son interpellation, faire venir son avocat sur place pour débuter l’audition in situ.
    • A NOTER : en cas de tensions sur le site d’interpellation (mouvement de groupes, jets d’objets, etc.), il faudra obtenir l’autorisation de l’interpellé pour changer de lieu d’interpellation. A défaut, une convocation au commissariat lui sera remise.
  • Une fois ramené au commissariat, proposez obligatoirement à l’interpellé une boisson chaude ou une boisson froide ainsi que quelque chose à manger. Dédramatisez la situation et soyez gentil, poli et courtois.
  • A noter : si vous constatez la moindre écorchure causée par votre intervention, obligation vous sera faite de conduire l’interpellé à l’hôpital et de consigner l’incident dans le rapport. De même, tout vêtement ou accessoire abîmé à cause de votre intervention devra être consignée dans le rapport afin que cela soit remboursé à l’interpellé.

Grâce aux “interpellations consenties”, aucune arrestation ne pourra plus être qualifiée d’ambiguë ou pis encore, violente.

En proposant la paix, la Police va générer la paix. Cela marquera-t-il la fin de la violence ?

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Faits divers

C. Castaner va envoyer des pompiers se former au Qatar, non touché par les feux de forêt

FEUX DE FORÊT – Les pompiers Français vont aller se former au Qatar afin de comprendre comment éviter les feux de forêt. Le Qatar est en effet un pays qui n’a jamais subi le moindre feu de forêt.

Lutte contre les incendies de forêt : 1500 pompiers Français vont partir se former au Qatar, pays jamais touché par le moindre feu de forêt.

Comment éviter les feux de forêt en France ? C’est à cette problématique que souhaite répondre le Ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner. Pour cela, il mise sur une formation in situ, à savoir au Qatar, un pays qui n’a jamais été touché par les incendies de forêts :

Le Qatar n’a jamais subi le moindre incendie de forêt. Ils disposent donc d’un savoir et d’un savoir-faire totalement efficaces qui permettent d’éviter les feux de forêt. C’est pour cela que j’ai décidé d’envoyer une délégation de 1500 pompiers se former au Qatar, pour comprendre comment ils parvenaient à éviter ces incendies.

En attendant que les pompiers Français soient formés, des solutions alternatives vont être mises en place, comme ce projet d’ignifuger les arbres.

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Faits divers

Pour lutter contre les incendies de forêt, C. Castaner suggère d’ignifuger les arbres

FEUX DE FORÊT – Le Ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, propose d’ignifuger tous les arbres des forêts françaises pour éviter tous les incendies : “si le feu ne peut pas prendre, il n’y a pas d’incendie”.

Dans le cadre de la lutte contre les incendies de forêt, Christophe Castaner préconise d’ignifuger tous les arbres des forêts françaises.

Chaque année, les feux de forêt ravagent des milliers d’hectares en France. Même si ces incendies sont de mieux en mieux gérés (meilleures prévention et anticipation, techniques et équipements plus performants, plus grande efficacité des pompiers), l’objectif est de parvenir à toujours moins de dégâts.

C’est dans ce contexte que le Ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a décidé de proposer une formation au Qatar, pays non touché par les incendies de forêt, à 1500 pompiers Français.

Outre la formation des professionnels du feu, le Ministre de l’Intérieur veut que de nouvelles techniques soient adoptées afin de juguler les incendies de forêt. C’est pourquoi il propose une technique révolutionnaire :

Un industriel Qatari m’a présenté une technique révolutionnaire de lutte contre les feux de forêt. Il m’a promis son efficacité : la preuve, il n’y a jamais eu aucun incendie de forêt au Qatar !

Concrètement, il s’agit d’ignifuger les arbres. Ainsi, une fois le bois ignifugé, l’incendie ne peut pas se développer et encore moins se propager.

Le Ministère de l’Intérieur compte ainsi ignifuger l’intégralité des forêts françaises :

Pour assurer qu’aucun incendie ne frappe plus le pays, nous avons décidé d’ignifuger l’intégralité des arbres des forêts françaises. Nous débuterons par les forêts du sud de la France, les plus touchées, avant de partir vers les Landes puis de remonter vers le nord et l’est de la France.

L’ignifugation des forêts devrait prendre une cinquantaine d’années.

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Faits divers

Les Gilets Jaunes veulent faire comme à Hong-Kong en bloquant un aéroport

GILETS JAUNES – A l’instar des manifestants à Hong Kong, les Gilets Jaunes ont pour projet de bloquer un aéroport pour se faire entendre.

D’ici la fin de l’année, les Gilets Jaunes ont prévu de bloquer un aéroport.
“C’est uniquement les avions que nous allons bloquer, pas les passagers”

La crise des Gilets Jaunes n’est pas finie puisque couve un projet d’envergure d’ici la fin de l’année : bloquer un aéroport.

On a constaté que les manifestants qui ont bloqué l’aéroport international de Hong-Kong toute une journée, se sont fait entendre au niveau mondial ! Il nous a alors paru judicieux de procéder de même en bloquant nous aussi un aéroport à la rentrée !

Charles-Edouard De Bourbon, porte-parole des Gilets Jaunes Paris 7ème

Faire entendre leur voix, tel est l’objectif des Gilets Jaunes après cet été très calme. Pour cela, ils ont jeté leur dévolu sur un aéroport à leur portée :

Nous avons décidé de bloquer un aéroport situé à Belle-Île, mais on ne vous dira pas lequel ! Mais tout ce qu’on peut dire, c’est que ça va faire du bruit ce blocage !

Mystère donc quant au futur aéroport bloqué. Pour information, l’aéroport de Belle-Île-En-Mer est le plus petit de France en terme de trafic.

En outre, les Gilets Jaunes, soucieux de ne pas pénaliser les citoyens par ce blocage d’aéroport, ont eu une idée très judicieuse :

Le but de nos actions n’est pas de pénaliser nos concitoyens qui sont dans la même galère que nous et pour qui nous œuvrons. Alors, nous laisserons tous les passagers embarquer pour rejoindre leur destination ou débarquer à l’aéroport. C’est uniquement les avions que nous allons bloquer, pas les passagers.

Cette manifestation des Gilets Jaunes a des chances de faire grand bruit tant elle est inédite !

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Faits divers

Maternités en grève : les femmes priées d’attendre avant d’accoucher

GRÉVE DES MATERNITÉS – A l’instar des urgences, de nombreux services de maternités sont en grève : manque de moyens, de personnels, conditions de travail, etc. Il est demandé aux femmes enceintes d'”attendre avant d’accoucher”.

Vous êtes sur le point d’accoucher ? Retardez votre accouchement !
Certaines maternités sont en grève et vous conseillent d’attendre avant d’accoucher !

La fonction publique hospitalière est en crise. Le temps de travail trop important, le manque de personnels, des conditions de travail toujours plus difficiles, le manque de moyens, sont autant de revendications, parmi de nombreuses autres, des personnels hospitaliers.

Parmi les services touchés, on compte de nombreuses maternités. Alors, pour pouvoir faire grève sans porter préjudice aux femmes enceintes, les grévistes des maternités conseillent aux femmes de retarder leur accouchement :

Nous conseillons aux femmes enceintes désireuses de mettre au monde leur enfant, de bien vouloir retarder leur accouchement en ne perdant pas leurs eaux trop tôt.

Pour pouvoir retarder l’accouchement, quelques conseils leur sont donnés :

Pour retarder cette envie d’accoucher, nous conseillons aux femmes de mettre en place la méthode Coué, en ayant pour leitmotiv “Ne pas accoucher, ne pas accoucher, ne pas accoucher”, ainsi que de fermer leur vulve à l’aide de pinces à linge. Cela leur permettra de tenir facilement 15 à 20 jours supplémentaires.

Véronique Fort, sage-femme à la maternité Paris XV.

Toutefois, si la grève venait à durer longtemps, des ouvertures très temporaires des services de maternité pourraient avoir lieu :

Nous tablons sur une grève d’une durée maximale de 15 jours. Mais il est possible que cela dure plus longtemps si on ne répond pas à nos revendications. Et les femmes enceintes, elles, ne pourront plus patienter davantage de temps. C’est un peu comme une envie d’uriner : on peut se retenir un certain temps, mais au bout d’un moment, c’est trop.

Alors, si la grève était trop longue, on ouvrirait exceptionnellement la maternité le lundi après-midi de 14h à 16h. L’avantage c’est que les accouchements auront des chances d’être très rapides avec toute cette attente ! On pourra donc en enchaîner facilement une quinzaine sur ce créneau.

V. Fort, sage-femme à la maternité Paris XV.

Avec la grève des maternités, le risque d’une grossesse prolongée jusqu’à presque 10 mois est désormais une réalité.

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Education

Education Nationale : échelle conseillée des sanctions à l’encontre des élèves.

SANCTIONS – Les sanctions prises à l’encontre d’élèves doivent être justes et proportionnées. Afin d’uniformiser les décisions dans un souci d’égalité et de justice, le Ministère de l’Education Nationale publie une nouvelle échelle conseillée des sanctions à prendre à l’encontre des élèves contrevenants.

Des sanctions disciplinaires peuvent être prises à l’encontre d’élèves qui commettent des actes ou ont des comportement contraires au règlement intérieur et au bon climat scolaire.

Le Ministère de l’Education Nationale vient de publier ce vendredi 9 août une échelle conseillée de sanctions, en fonction de l’acte commis par l’élève à l’encontre des autres élèves ou personnels de l’établissement :

Acte ou comportement
répréhensible
Sanction
  • Insultes / Crachats
  • Gifles
  • Diffamation
  • Consommation alcool/drogue
AVERTISSEMENT
  • Insultes / Crachats répétés
  • Coups
  • Trafic de drogue
  • Vol de moins de 500€
BLÂME
  • Harcèlement moral ou physique
  • Menaces
  • Acte de violence entraînant ITT ≤ 3j.
  • Vol de plus de 500€
MESURE DE
RESPONSABILISATION
  • Attouchements sexuels
  • Acte de violence entraînant ITT > 3j.
EXCLUSION TEMPORAIRE
DE CLASSE
  • Agressions sexuelles
  • Acte de violence entraînant ITT > 10j.
EXCLUSION TEMPORAIRE
ÉTABLISSEMENT
  • A répondu au chef d’établissement
  • Viol
  • Violence ayant entraîné une infirmité irréversible
  • Tentative de meurtre / Homicide
EXCLUSION DÉFINITIVE
ÉTABLISSEMENT

[Liste non exhaustive donnée à titre indicatif]

Grâce à cette échelle de sanction, les élèves comme la communauté éducative savent à quoi s’en tenir.

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Loi / Justice

Lutte contre les discriminations : la chanson “Ma première Biguine-Partie” doit changer de nom

LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS / MUSIQUE – La chanson de la Compagnie Créole “Ma première Biguine-Partie” devra changer de nom. Elle est jugée discriminatoire envers les personnes bisexuelles et lesbiennes.

Jugé discriminatoire, le titre “Ma première Biguine-Partie” de La Compagnie Créole doit changer de nom.

Suite à une plainte d’une association de lutte contre les discriminations sexuelles, la fameuse chanson “Ma première Biguine-Partie” de la Compagnie Créole doit changer de nom. En effet, cette chanson serait discriminatoire à l’encontre des personnes lesbiennes et bisexuelles :

Biguine est très discriminatoire. A la rigueur, “bi” pour bisexuel peut passer, mais guine ou gouine a une véritable connotation lesbophobe. C’est pour cela que nous avons demandé à ce que “Ma première Biguine-Partie” change de nom.

Candice Strauss, Porte-parole de l’association de lutte contre les discriminations sexuelles

On ne sait toujours pas quel nouveau nom va prendre cette chanson de la Compagnie Créole : “Ma première Altersexe-Partie” semble le titre alternatif le plus probable.

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Politique

L’association France Sado-Maso conseille LREM

ASSOCIATION / POLITIQUE – Le parti politique LREM est touché par de nombreuses critiques et actions plus ou moins violentes. L’Association France Sado-Maso conseille donc les élus LREM pour parvenir à trouver du plaisir dans toute cette douleur.

L’Association France Sado-Maso conseille les élus LREM afin qu’ils tirent du plaisir des affronts, menaces et violences qu’ils subissent.

Depuis le début du conflit des Gilets Jaunes, les élus LREM essuient nombre de critiques et d’actes de malveillance voire de violence. Et cela ne semble pas s’arranger. Aussi, il est de plus en plus difficile pour ces élus de supporter ces actes et menaces. Heureusement, une association leur vient en aide, l’association France Sado-Maso :

L’association France Sado-Maso soutient de tout cœur le parti politique LREM, avec lequel elle partage ces valeurs de douleur, d’humiliation et de soumission.

Bien qu’un bon pourcentage de ces élus aient déjà rejoint nos rangs, ce qui explique qu’ils tiennent aussi bien le bateau malgré la violente tempête qu’ils affrontent, tous ne sont pas sado-maso et ne savent donc pas gérer ce qu’ils subissent, ce déferlement de haine voire de violence. C’est pourquoi nous leur délivrons quelques conseils afin que toutes ces apparentes violences physiques et morales se transforment en un plaisir certain.

Communiqué officiel de l’association France Sado-Maso, jeudi 8 août 2019.

Ainsi, à défaut que LREM résolve les causes du conflit, l’association délivre des conseils pour apprendre aux adhérents LREM à tirer du plaisir de ces critiques et violences :

Les conseils que nous donnons aux élus LREM sont les mêmes que pour tous les débutants en BDSM bondage, domination et sado-masoschisme. On commence par supporter des petites actions puis on pousse progressivement vers quelque chose de plus hard, jusqu’à atteindre ses limites.

Le détail des conseils délivrés par l’association ne sont pas publics :

Nous réservons nos conseils aux élus LREM qui souhaitent s’initier sérieusement dans le sado-masoschisme, et donc durer dans le parti. Nous ne les rendons donc pas publics. Mais si cela vous intéresse, on peut s’arranger …

L’association avoue que ses conseils ne sont utiles que pour les élus LREM n’ayant pas de fonctions d’importance :

Les membres du Gouvernement et les députés LREM les plus exposés sont déjà très avancés dans le sado-masoschisme, sans quoi ils auraient déjà sauté. D’ailleurs, ceux qui n’ont pas tenu au Gouvernement sont ceux qui n’étaient pas faits pour ça !

En conclusion, plus les élus LREM sont critiqués, plus ils prennent du plaisir. Ceci explique probablement ce bras de fer perpétuel !

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Politique

M. Schiappa : “Le Grenelle sur les violences conjugales est une réunion préparatoire à un grand rendez-vous de concertation avant l’élaboration d’un rapport de plan d’action”.

VIOLENCES CONJUGALES / FÉMINICIDES – La Secrétaire d’État Marlène Schiappa a prévu un « Grenelle des violences conjugales » à la rentrée. Il s’agit d’une première étape d’un vaste plan de réflexion qui devrait s’étendre jusqu’en 2022.

Le Grenelle sur les violences conjugales est la première étape d’un riche calendrier de réflexion dans le programme d’action de lutte contre les violences faites aux femmes.

Marlène Schiappa, Secrétaire d’État à l’égalité femmes-hommes, a annoncé un Grenelle des violences conjugales pour le 3/09/2019, afin de trouver des solutions pour endiguer autant que faire se peut les féminicides.

Ce Grenelle s’inscrit dans un calendrier beaucoup plus large :

Nous allons commencer par un Grenelle avec les ministres concernés, les acteurs de terrain, les services publics, les associations et les familles de victimes. Cela devrait être synthétisé d’ici mars 2020.

Une fois le bilan du Grenelle établi, nous organiserons un grand rendez-vous de concertation pour définir nos axes d’action pour lutter contre les violences conjugales. Cette réunion devrait se faire courant mai 2020 et le rapport devrait être rédigé pour septembre 2020.

Nous organiserons une réunion pour déterminer le plan d’action concret en novembre 2020. Le rapport devrait être publié courant mars 2021.

Une fois le plan d’action acté, nous allons le déployer durant tout le reste de l’année 2021.

Ainsi, le plan de lutte contre les féminicides sera pleinement opérationnel dès janvier 2022.

M. Schiappa. “Calendrier d’action contre les violences conjugales” (07/08/2019).

Ce calendrier permet de bien baliser les étapes de réflexion du Gouvernement et ainsi de répondre pleinement à ce sujet urgent qu’est la lutte contre les féminicides et les violences faites aux femmes.

Ce calendrier est indispensable pour faire les choses convenablement. En 2022, je peux vous assurer que les féminicides et les violences faites aux femmes commenceront à baisser de manière significative grâce à nos réformes et actions issues de réflexions collégiales abouties.

M. Schiappa. “Calendrier d’action contre les violences conjugales” (07/08/2019).

Rendez-vous en 2022 pour voir si les décisions prises et actions entreprises sont en effet efficaces dans la lutte contre les violences faites aux femmes.

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Débats / Polémique

Nouvelles pathologies : ils sont malades avant même que le compteur Linky ne soit installé !

LINKY / POLÉMIQUE – ENEDIS est une nouvelle fois dans la tourmente avec ses compteurs Linky. Des particuliers se plaignent de douleurs musculaires et de maux de tête avant même que le compteur Linky n’ait été installé.

Ils souffrent de pathologies avant même que le compteur Linky ne soit installé.

Le compteur Linky est un compteur communicant en cours de déploiement qui transmet des données de consommation et reçoit des ordres à distance. Son installation fait l’objet de nombreuses polémiques : données personnelles, effets sur la santé, coût du dispositif, sécurité, etc.

Parmi les polémiques les plus virulentes, Linky est critiqué en raison des ondes électromagnétiques, qui, d’après le centre international du recherche sur le cancer « peuvent être cancérogènes pour l’homme ». De nombreuses personnes déclarent être devenues malades suite à la pose de ce compteur communicant. C’est ce qui a motivé le tribunal de grande instance de Tours à demander le retrait de 13 compteurs Linky installés chez des particuliers, mardi 30 juillet.

Mais, phénomène plus grave encore, plusieurs personnes ont déposé plainte car elles souffrent de diverses douleurs, avant même que le compteur Linky ne soit posé :

Depuis que nous savons que le compteur Linky va bientôt être installé, nous subissons des maux de tête et des douleurs musculaires, douleurs que nous n’avions pas avant. Il est certain que le compteur Linky est à l’origine de nos douleurs.

Plaignants anti-Linky, contre ENEDIS

ENEDIS est dans la tourmente suite à ces nouvelles plaintes. Ce sera désormais à la justice de trancher.