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Lutte contre le chômage : vers une politique de l’enfant unique en France

CHÔMAGE / POLITIQUE DE L’ENFANT UNIQUE – Une proposition de loi, intitulée “Moins de naissances pour diminuer le chômage”, vient d’être déposée par 5 députés. Cette proposition de loi vise à restreindre le nombre de naissances à 1 enfant par foyer en France en adoptant une politique de l’Enfant Unique. Cette proposition permettra en outre de faire des économies sur les allocations familiales de l’ordre de 60 milliards d’euros par an.

Pour diminuer le taux de chômage, 5 députés préconisent l’instauration d’une politique de l’enfant unique en France. La proposition de loi est en cours d’étude.

Le fléau du chômage est un problème récurrent contre lequel toutes les politiques gouvernementales mises en place tentent de lutter. Jusqu’à présent, la lutte contre le chômage portait sur le problème en aval, c’est-à-dire après que le chômage est apparu. Or, d’après une étude rapportée par les 5 députés à l’origine de la proposition de loi “Moins de naissances pour diminuer le chômage”, il faut résoudre le problème du chômage en amont, c’est-à-dire prévenir les éventuels cas de chômage pour les éviter.

Et il faut dire que les députés sont allés très loin puisqu’ils sont remontés jusqu’à la naissance pour lutter contre le chômage. En effet, parmi les 12 propositions contenues dans ce rapport, la proposition n°1, caractérisée comme “Proposition primordiale” par les rapporteurs, concerne la restriction du nombre de naissances à 1 un enfant par foyer. Les députés sont partis d’une logique simple : s’il y a moins de naissances, il y aura moins de personnes sur le marché du travail et donc moins de chômage :

“Le fonctionnement de nos politiques actuelles est paradoxal. D’un côté on incite les familles à avoir des enfants grâce aux prestations familiales et de l’autre côté on se retrouve avec un taux de chômage qui ne cesse d’augmenter en raison d’un nombre trop important de personnes par rapport aux opportunités de travail.” expliquent-ils dans leur rapport.

Ils complètent d’ailleurs en préconisant la suppression pure et simple des allocations familiales :

“Les allocations familiales constituent une aberration de notre système. Pourquoi délivrer des allocations familiales, ce qui pèse 60 milliards d’euros par an sur le budget de l’Etat, alors que la France se trouve en situation de surpopulation ainsi qu’en témoigne le marché du travail totalement saturé ?”

D’après ce rapport, grâce à cette suppression des allocations familiales, la France sortirait gagnante sur les 2 tableaux :

  • 60 milliards d’euros d’économies sur le budget de l’Etat (montant des allocations familiales qui ne seraient plus versées) ;
  • Le taux de chômage baisserait de manière drastique et durable voire disparaîtrait.

Aussi, en remplacement de la politique allocataire pour les familles, l’Etat envisage une action radicalement opposée en pénalisant ces familles dans le cas où elles auraient 2 enfants ou plus :

“Nous voulons limiter les naissances à 1 enfant par famille. Et pour inciter au respect de cette politique de l’enfant unique, bonne pour le pays, nous allons pénaliser financièrement les foyers ayant 2 enfants ou plus. Nous préconisons des amendes forfaitaires de 500€ pour un 2ème enfant et de 1500€ par enfant supplémentaire.”

Cette politique de l’enfant unique à la Française n’est pour autant pas aussi radicale que la politique chinoise :

“Certes notre proposition de loi peut faire penser à la politique de l’enfant unique chinoise. Mais nous vous rassurons, cette loi ne sera pas aussi radicale : par exemple, nous aiderons plus que jamais les familles à avoir un accès gratuit aux moyens de contraception et d’IVG pour éviter d’avoir un 2ème enfant voire plus”, confient les rapporteurs de cette proposition.

En outre, les rapporteurs se veulent rassurant :

“La politique ne sera pas rétroactive. Les familles de 2 enfants ou plus n’auront aucune amende à payer. Ce sera seulement 12 mois après promulgation de la loi qu’entrera en vigueur la pénalisation et la distribution d’amendes aux foyers qui feront naître un 2ème enfant ou plus”.

La date du vote de cette proposition de loi n’est pas encore connue.

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Démission Hulot : une stratégie de diversion pour faire oublier l’affaire Benalla

POLITIQUE – Nicolas Hulot vient d’annoncer sa démission du Gouvernement ce mardi 28 août. Toutefois, cette démission ne serait pas la conséquence d’une conviction personnelle de Nicolas Hulot, mais d’une stratégie de diversion du Gouvernement pour détourner l’attention de l’affaire Benalla qui recèle de scandales.

Démission de Nicolas Hulot du Gouvernement : une stratégie de diversion pour faire oublier l’affaire Benalla selon certains experts.

L’affaire Benalla, pour laquelle nous vous avons fait de nombreuses révélations (“Il n’y a pas d’affaire Benalla“, “G. Collomb : ‘Je ne sais rien de l’affaire Benalla’“, “A. Sorkin propose un remake de ‘The West Wings’“, “Macron nous explique tout sur les violences de Benalla“), semble s’être éteinte en ce début de rentrée. Et pour cause : la démission de Nicolas Hulot du Gouvernement, annoncée en direct sur France Inter Mardi 28 août, occupe tout l’espace médiatique.

C’est a priori sans prévenir ni Emmanuel Macron ni Edouard Philippe que le ministre de la transition écologique, Nicolas Hulot, a annoncé qu’il démissionnait de son poste de ministre de la Transition Ecologique au Gouvernement. Or, selon nos informations et analyses, Nicolas Hulot n’avait pas plus envie que ça de démissionner. Il s’agirait en fait d’une stratégie de communication politique ; une stratégie de diversion qui consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants, et tout particulièrement de l’affaire Benalla, très embarrassante pour Emmanuel Macron.

François Cosarsi, expert en gestion de crise, nous explique cette stratégie de diversion :

“La stratégie de diversion est un élément primordial du contrôle social. Il s’agit de détourner l’attention des citoyens des problèmes importants qui agitent, dans ce cas, la politique. Et quoi de mieux pour manipuler les citoyens que les médias ?

Alors, les communicants du Gouvernement et/ou de l’Elysée se sont demandés comment intéresser les médias. Et rien de tel qu’une démission d’un membre du Gouvernement pour monopoliser l’espace médiatique durant de nombreux jours, semaines voire mois en dévoilant par la suite des informations peu signifiantes !

Nicolas Hulot aura été le bouc-émissaire de cette décision. Il est vrai qu’il n’était pas bien au Gouvernement, donc la décision de démission volontaire semble très plausible, ce qui fait que les médias ne vont pas chercher plus loin que la simple annonce de Nicolas Hulot. Et tout est très bien monté : l’annonce de Nicolas Hulot soi-disant faite de manière impromptue, sans que personne n’ait été préalablement informé ; les larmes et l’émotion dans la voix de Nicolas Hulot lors de cette annonce ; etc.”.

Ainsi, Nicolas Hulot servirait une stratégie de communication poussée à son paroxysme pour détourner l’attention. Mais pourquoi opter pour une décision aussi radicale ?

Nicolas Landot, Maître de conférence en Sciences Politiques explique un besoin de détourner l’attention de l’affaire Benalla qui recèlerait a priori de nombreuses autres informations compromettantes :

“L’affaire Benalla est un boulet pour le Gouvernement. Elle n’a cessé de révéler des dysfonctionnements et irrégularités au sein de l’Elysée notamment. Peut-être y a-t-il encore d’autres scandales liés à cette affaire, d’où le besoin de détourner l’attention de manière durable. Et rien de tel pour faire abandonner des esprits l’affaire Benalla que de faire démissionner un ministre ! Ainsi, tous les médias (qui ont une influence énorme sur les citoyens) se focaliseront sur cette démission puisque la pêche aux informations sera très facile ; et plus personne ne cherchera à soulever des lièvres dans l’affaire Benalla. Il est plus simple (plus rapide, moins onéreux, plus efficace en terme d’audimat) pour les médias de restituer l’information servie sur un plateau (ndlr : démission de Hulot) que de mener des investigations (ndlr : affaire Benalla).”

Ainsi, la démission de Nicolas Hulot consisterait en une stratégie de diversion menée de main de maître par les communicants du Gouvernement et de l’Elysée afin de faire oublier les frasques passées, et peut-être à venir, révélées par l’affaire Benalla.

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Affaire Benalla / Révélations – Macron nous explique tout sur les violences d’Alexandre Benalla

AFFAIRE BENALLA / RÉVÉLATIONS – Emmanuel Macron vient de s’exprimer, mardi 24 juillet, sur l’affaire Benalla. Il a déclaré : “Je suis le seul responsable” et “Qu’ils viennent me chercher”. Emmanuel Macron regrette en effet que personne ne l’ait interrogé sur cette affaire, sans quoi il se serait immédiatement expliqué. Il révèle par ailleurs les raisons des violences d’Alexandre Benalla.

Emmanuel Macron se dit le “seul responsable”. Si Alexandre Benalla a frappé des manifestants c’est parce qu’“il voulait seulement [le] protéger car [il est] son meilleur ami !”

Mardi 24 juillet au soir, soit presque 1 semaine après la révélation de l’affaire Benalla par le journal “Le Monde”, Emmanuel Macron a fait une déclaration devant les députés de la majorité LREM. Il a attaqué la gestion de l’affaire par la presse et l’opposition :

« S’ils veulent un responsable, qu’ils viennent le chercher », a-t-il lancé.

Plus précisément, Emmanuel Macron a déclaré :

« Le seul responsable, c’est moi et moi seul. C’est moi qui ai fait confiance à Alexandre Benalla. C’est moi qui ai confirmé la sanction » et « Ça n’est pas la République des fusibles, la République de la haine. S’ils veulent un responsable, il est devant vous. Qu’ils viennent le chercher. »

Devant ces déclarations, l’opposition et nombres de citoyens ont été scandalisés. Alors, Emmanuel Macron a apporté des compléments d’information :

“Si je ne me suis pas exprimé depuis mercredi dernier, c’est parce que j’étais avec Gérard Collomb. On finalisait le projet de piscine et d’aménagement paysager du jardin du Fort de Brégançon. C’est hautement plus important que cette non affaire pardi !”

ce qui corrobore les déclarations de Gérard Collomb, lors de son audition devant l’Assemblée Nationale que nous vous relations dans notre article hier “Affaire Benalla – G. Collomb : “Je ne sais rien de l’affaire Benalla, j’étais avec le Président !”“.

Emmanuel Macron a d’ailleurs complété :

“Alexandre Benalla, c’est comme à l’école. Le mec costaud qui protège le meilleur de la classe. Moi je suis la tête et lui est ma sécurité. L’un ne va pas sans l’autre. Sans Alexandre Benalla, je n’aurais jamais été autant en sécurité. C’est plus qu’une sécurité, c’est un ami, un très cher ami. C’est pour ça que nous sommes autant complices. Un meilleur ami, c’est notre chair !”

Quant à l’erreur de Benalla :

“Oui Alexandre Benalla a fait une bêtise. Il a été sanctionné. J’ai confirmé la sanction. J’assume. Je lui ai expliqué pourquoi il ne fallait pas frapper les manifestants, que ce n’était pas bien. Alexandre est quelqu’un d’intelligent et il m’a dit, tout penaud, qu’il regrettait. Alors je lui ai pardonné. Car oui, moi je pardonne, contrairement à certains !

Alexandre Benalla est quelqu’un de très sensible. Et toute cette affaire lui fait du mal. Il a cru qu’il avait payé avec cette dure sanction qu’il a subie. Mais non, il est encore soumis à la vindicte populaire. Moi je peux vous le dire : Alexandre Benalla pleure tous les soirs dans sa chambre ! Brigitte et moi sommes contraints de lui téléphoner très fréquemment pour le rassurer.

Le véritable problème d’Alexandre, c’est que c’est quelqu’un de sanguin.

Alors si vous voulez des explications, venez me chercher, Alexandre et moi-même vous attendons et on va s’expliquer, sans problème !”

Emmanuel Macron fait d’ailleurs des aveux sur les causes des violences d’Alexandre Benalla :

“Alexandre Benalla n’a pas frappé gratuitement les manifestants. Je suivais la manifestation et je lui ai dit, par le biais de la radio qu’il avait en main, que j’avais été vexé que ces manifestants m’aient appelé ‘Manu’. Alexandre a alors immédiatement pris la mouche, tout sanguin qu’il est ; et plutôt que les arrêter, il les a légèrement frappés, pour me défendre. Il voulait seulement me protéger, car je suis son meilleur ami ! C’est aussi simple que ça : de l’humanité !”

Ainsi, voici toute l’affaire Benalla éclaircie grâce à ces révélations d’Emmanuel Macron.

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Affaire Benalla – G. Collomb : “Je ne sais rien de l’affaire Benalla, j’étais avec le Président !”

Affaire Benalla – Gérard Collomb, devant la commission d’enquête de l’Assemblée Nationale, a déclaré ce 23 Juillet ne “rien savoir de l’affaire Benalla” car il était “avec le Président de la République en train de finaliser le projet de piscine et d’aménagement paysager du jardin du Fort de Brégançon”.

G. Collomb : “Je ne connais rien de l’affaire Benalla, je travaillais avec Emmanuel Macron sur le projet d’aménagement du jardin à la française du Fort de Brégançon”.

Après la réaction de l’Elysée que nous avons publié hier sur le fait qu’ “il n’y [avait] pas d’affaire Benalla !: l’Elysée tournait des clips anti-violence, tout était scénarisé !”, c’est aujourd’hui la version de Gerard Collomb, Ministre de l’intérieur, que nous publions, suite à son audition devant la commission d’enquête de l’Assemblée Nationale.

Si les députés qui ont auditionné Gérard Collomb s’avèrent déçus, c’est en raison du peu d’informations données par le Ministre d’Etat Gérard Collomb. En effet, il a déclaré :

“J’ignore tout de cette affaire Benalla. Je ne sais même pas qui est cet individu. Je l’ai certes croisé, mais je n’ai jamais su qui il était avant que l’affaire ne sorte dans les médias.”

Si Gérard Collomb justifie cette méconnaissance d’Alexandre Benalla, c’est parce qu’il était très occupé avec Emmanuel Macron :

“Emmanuel Macron et moi-même avons été informés de cette affaire alors que nous travaillions sur un sujet très important. Nous étions en train de finaliser le projet d’aménagement paysager du jardin à la française du Fort de Brégançon, dont la piscine. On a considéré cette affaire Benalla comme superficielle, alors on ne s’est pas prononcés dessus, d’où cet apparent silence.”

Gérard Collomb s’est d’ailleurs déclaré surpris de l’ampleur que prenait cette affaire :

“Je ne comprends pas pourquoi cette affaire Benalla prend une telle ampleur. Alexandre Benalla est un électron libre qui a fait des petites bêtises comme en font tous les enfants. Il sera puni, point final. Aucune utilité de transformer l’affaire Benalla en affaire d’Etat ! Nous avons d’autres chantiers hautement plus importants !”

En conclusion à son audition, Gérard Collomb a même déclaré :

“Assez parlé de cette pseudo affaire Benalla. Je m’en vais manger avec Emmanuel Macron pour qu’on dessine les plans du jardin à la française qu’on veut aménager au Fort de Brégançon. Il y a des choses bien plus importantes que ces petites histoires de cour de récré ! Vous allez voir, notre aménagement du jardin du Fort de Brégançon va vous surprendre et vous allez adorer ! Mais chut, on vous réserve ça pour dans quelques jours …”.

L’aménagement du jardin du Fort de Brégançon devrait débuter le mois prochain pour une durée d’1 an environ.

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Pour attirer de nouveaux adhérents, le Parti Socialiste offre des cartes cadeaux FNAC de 20€

PARTI SOCIALISTE – Le Parti Socialiste souhaite s’offrir un nouvel avenir suite à ses débâcles aux dernières élections. Aussi, pour attirer de nouveaux militants, le PS a décidé d’offrir des cartes cadeaux FNAC de 20€ à tous ses nouveaux adhérents, jusqu’au 31/12/2018 inclus.

20€ FNAC offerts aux nouveaux adhérents au Parti Socialiste, jusqu’au 31/12/2018 inclus.

Suite à ses nombreux échecs lors des précédentes élections politiques, le Part Socialiste (PS) a connu une chute exceptionnelle de son nombre d’adhérents. Sur les 102.000 adhérents officiels, seulement 20.000 seraient actifs. D’ailleurs, le nombre réel d’adhérents est difficile à connaître puisqu’au PS :

“on ne radie pas quelqu’un jusqu’à 2 ans ½ après sa dernière cotisation” nous explique Olivia Feblar, responsable des adhésions au Parti Socialiste.

Aussi, afin de s’offrir une nouvelle vie et redevenir un véritable parti politique puissant, voire l’une des principales forces politiques françaises, le Parti Socialiste cherche de nouveaux adhérents :

“C’est le seul moyen pour gagner en crédibilité et revenir sur le devant de la scène” commente Mme Feblar.

Ainsi, la refonte complète du parti passe par un accroissement du nombre d’adhérents PS. Pour ce faire, le Parti Socialiste a embauché un responsable marketing :

“Pour avoir de nouveaux adhérents au PS, il faut tout faire pour les attirer. Outre la refonte de notre fonctionnement interne, nous voulons redorer notre image en attirant davantage d’adhérents. Pour cela, nous avons embauché un responsable marketing. Il est chargé de développer tout l’aspect promotion de notre parti politique et d’accroître notre notoriété en nous permettant d’acquérir une image de marque optimale. Sa mission consiste également à permettre l’augmentation notable du nombre d’adhérents de notre parti”.

Et l’une des idées de ce responsable marketing, en plus de développer les goodies “Parti Socialiste”, a été de récompenser les futurs adhérents :

“Notre responsable marketing a eu une idée exceptionnelle. récompenser tous les adhérents qui rejoindraient le Parti Socialiste. En effet, il faut donner envie aux adhérents de nous rejoindre, car personne, aujourd’hui, ne vient de lui-même au Parti Socialiste pour y adhérer. Alors, pour inciter les personnes à nous rejoindre, et gonfler par la même occasion notre nombre d’adhérents, nous avons décidé de récompenser toutes les personnes qui signeraient au Parti Socialiste. Cette récompense, c’est un bon d’achat de 20€ FNAC.”

Ce bon d’achat FNAC couvre intégralement le coût d’adhésion au Parti Socialiste (l’adhésion est à 20€ la première année).

Cela risque toutefois de présenter un coût conséquent pour le Parti Socialiste, mais selon eux, l’investissement en vaut la chandelle :

“On sait très bien que la majorité de nos adhérents ne nous rejoindront que pour les 20€ FNAC offerts. Mais on s’en moque, car nous pourrons avancer des chiffres exceptionnels montrant que, selon le nombre d’adhérents, nous serons redevenus la première force politique française. Point de vue communication, nous allons ainsi acquérir à nouveau une puissance phénoménale dans l’univers politique français, européen et international.”

Le Parti Socialiste a donc trouvé une idée judicieuse pour augmenter le nombre de ses adhérents, via un cadeau offert à la souscription ; 20€ en carte cadeau FNAC, ça motive, même ceux qui n’ont pas d’affinités particulières avec le Parti Socialiste !

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Affaire Benalla – “Il n’y a pas d’affaire Benalla !” : l’Elysée tournait des clips anti-violence, tout était scénarisé !

AFFAIRE BENALLA – L’affaire Benalla, appelé parfois Benallagate ou Macrongate en référence au Watergate, n’en finit pas de susciter de nombreux rebondissements. L’Elysée vient de déclarer qu’il ne comprenait pas ce déchaînement des passions : les vidéos filmées étaient scénarisées ; il s’agissait de tournages de clips anti-violence pour l’Education Nationale. “Il n’y a pas d’affaire Benalla !” martèlent-ils.

“Il n’y a pas d’affaire Benalla” révèle l’Elysée. “Toutes les vidéos étaient scénarisées, pour des clips anti violence à destination de l’Education Nationale”.

L’affaire Benalla n’est pas le Watergate à la française (appelé Macrongate ou Benallagate) ainsi qu’on peut le lire sur les réseaux sociaux ou dans les commentaires de lecteurs de certains médias. En effet, l’Elysée vient de publier un communiqué, dimanche 22 juillet à 13h30, avec des explications concernant les violences apparentes d’Alexandre Benalla sur des manifestants, ainsi qu’on a pu le voir sur certaines vidéos.

Le titre de ce communiqué de l’Elysée est clair :

“Il n’y a pas d’affaire Benalla !”.

En préambule du-dit communiqué, l’Elysée déclare ne pas comprendre pourquoi il existe un tel déchaînement sur cette “pseudo affaire” :

“Nous ne comprenons pas les raisons d’un tel déchaînement au niveau national et international sur la pseudo affaire Benalla. Nous avons cru à un canular au départ, d’où notre absence de réaction ; mais eu égard à l’ampleur que prend cette ‘affaire’, au discrédit que celle-ci jette sur le Gouvernement et plus généralement sur l’Etat, nous avons décidé de rétablir toute la vérité sur cette pseudo affaire Benalla.”

Dans ce communiqué, l’Elysée explique que les vidéos diffusées ont toutes été scénarisées, qu’il s’agit d’une mise en scène :

“Chacune des vidéos diffusées sur lesquelles nous voyons Alexandre Benalla commettre des actes de violence sont des vidéos scénarisées.

[…]

Alexandre Benalla est en effet un proche conseiller d’Emmanuel Macron, mais l’Elysée lui a signé un contrat en bonne et due forme d’acteur pour tourner ces scènes. Il s’agissait de créer des clips vidéos pour montrer les ravages de la violence, omniprésente, y compris dans les forces de sécurité de l’Etat.”

Ces clips vidéos anti-violence, tournés par l’Elysée avec Alexandre Benalla en acteur principal, étaient à destination de l’Education Nationale :

“Jean-Michel Blanquer avait fait part de son souhait de développer l’éducation des jeunes contre toutes les formes de violence. Nous lui avons donc proposé de tourner des clips anti-violence montrant de supposées violences policières. La morale de ces vidéos étant de faire prendre conscience aux jeunes que la violence est partout, y compris chez des personnes disposant d’une autorité, et qu’il ne faut pas se taire” explique-t-on dans ce communiqué de l’Elysée.

L’Elysée déplore que les vidéos aient été détournées de leur fonction initiale :

“Nous déplorons de constater que ces vidéos, scénarisées nous le rappelons, aient été détournées, pour servir des fausses révélations, de fausses informations, d’abominables fakes news contre lesquelles nous luttons chaque jour. Alexandre Benalla n’a commis aucun acte de violence volontaire, il était seulement embauché en tant qu’acteur pour tourner des clips. Il n’a donc jamais joué au gendarme ou policier : on l’a payé pour qu’il incarne le rôle. Il est injuste de condamner un acteur qui n’a fait que son travail !”

L’Elysée conclut par un soutien plein et entier à Alexandre Benalla :

“L’Elysée réaffirme tout son soutien à Alexandre Benalla, injuste cible de médias et citoyens malhonnêtes.”

Ainsi, il n’y a pas d’affaire Benalla, encore moins de Macrongate ou Benallagate. Toute cette affaire ne consiste en fait qu’en un énorme malentendu. Les vidéos diffusées montrant des violences d’Alexandre Benalla sur des manifestants ne consistaient en fait qu’en des clips anti-violence qui ont été détournés !

Nous voilà rassurés, l’affaire Benalla est enfin terminée !

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E. Macron favorable à un transfert de la Présidence de la République de l’Elysée au Château de Versailles

ELYSÉE / VERSAILLES – Emmanuel Macron s’est déclaré en faveur d’un transfert de la Présidence de la République de Paris vers Versailles. Il juge le palais de l’Elysée “trop rattaché à une image vieillotte de la République” tandis que le château de Versailles “témoigne du haut prestige de la France”.

L’Aile du Midi du château de Versailles sera le futur emplacement de la Présidence de la République !

Alors que nous vous annoncions il y a quelques jours que Emmanuel Macron était favorable à une monarchie constitutionnelle, nous apprenons aujourd’hui qu’il est favorable au transfert de la Présidence de la République du Palais de l’Elysée au Château de Versailles.

Le palais de l’Elysée est le siège de la présidence de la République Française et la résidence officielle du Président de la République depuis la 2ème République. Toutefois, Emmanuel Macron juge que cet hôtel particulier n’est pas à la hauteur du prestige de la France  et qu’il n’est plus à la mode :

“Le château de Versailles présente une toute autre envergure que ce petit palais de l’Elysée trop rattaché à une image vieillotte de la République. Le château de Versailles est la preuve de la puissance de la France, de sa longue histoire. Il témoigne de son haut prestige, de sa profonde magnificence” a-t-il déclaré.

Emmanuel Macron apprécie réunir le Congrès du Parlement à Versailles. Il souhaite en faire un rendez-vous annuel … et même plus ! Le projet de transfert de l’Elysée à Versailles doit se concrétiser d’ici la fin du mandat d’Emmanuel Macron :

“Mon objectif consiste à installer la Présidence de la République au Château de Versailles, plus particulièrement dans l’Aile du Midi d’ici la fin de mon premier mandat. Ainsi, quand je réunirai le Parlement, mon équipe et moi serons sur place, prêts à les accueillir dans les meilleures conditions. Ensuite, quand j’accueillerai des chefs d’Etat étrangers, j’attends qu’ils soient subjugués par le prestige de ce château de Versailles, à la hauteur de notre pays, adapté à la prestance de ma fonction”.

Ce ne sera donc pas l’ensemble du château de Versailles qui servira de Présidence de la République, mais uniquement l’Aile du Midi qui a été édifiée par Jules Hardouin-Mansart entre 1679 et 1681. Cette aile comprend la Galerie des Batailles, la Salle du Congrès (là où est réuni le Congrès Présidentiel), la Galerie de pierre haute, la Galerie de pierre basse, l’Escalier des Princes et les Salles Empire.

Quant à l’Elysée, il n’en sera pour autant pas abandonné puisqu’il servira de résidence présidentielle :

“L’Elysée, eu égard à son histoire, ne doit pas partir dans les mains d’investisseurs privés. Il doit rester propriété de l’Etat. Aussi, j’envisage de transformer l’Elysée en une résidence de chef d’Etat uniquement. C’est-à-dire que ce sera exclusivement l’habitation privée du Président et de sa famille.”

Les ors  de la République seront bientôt les ors de Versailles …

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Macron favorable à une monarchie constitutionnelle !

MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE – Emmanuel Macron a déclaré être favorable à une monarchie parlementaire (ou monarchie constitutionnelle), à l’instar du modèle de la monarchie britannique. “Cela est générateur de revenus pour le pays, observez le Royaume-Uni !” s’est-il exclamé.

Emmanuel Macron favorable à une monarchie constitutionnelle en France à partir de 2022 !

Emmanuel Macron va-t-il transformer notre République Démocratique en Monarchie Constitutionnelle ? C’est en tout cas une éventualité ouverte par l’une de ses déclarations off faite devant une équipe réduite de 5 journalistes Britanniques, que révèle aujourd’hui le tabloïd “The Daily Sun”.

Emmanuel Macron considère en effet que la monarchie constitutionnelle est un modèle qui fait ses preuves :

“Le modèle de la Monarchie Britannique est tout à fait estimable. Il fédère un peuple et génère de nombreux revenus pour le pays. Observez votre pays (ndlr : le Royaume-Uni) ; regardez les mariages princiers, les cérémonies d’investiture, etc : ils sont suivis partout à travers le monde par des centaines de millions de personnes !

[…]

J’avoue réfléchir à l’instauration d’un système politique similaire en France, tant cela fédérera les Français et permettra à la France de rayonner à travers le monde”

Emmanuel Macron révèle d’ailleurs qu’il songe depuis longtemps à un nouveau régime politique pour la France :

“Le régime politique de la France est aujourd’hui à bout de souffle. Il convient de le modifier en profondeur. C’est ce à quoi je m’atèle depuis mon élection, comme vous pouvez le constater par mes multiples réformes. Mais il est vrai qu’un changement radical nous faisant tendre vers la monarchie constitutionnelle semble être l’évolution la plus pertinente. Cela est beaucoup plus réaliste que le projet de Sixième République défendu par des farfelus !”

Le projet de monarchie constitutionnelle française envisagé par Emmanuel Macron est véritablement calqué sur le modèle britannique :

“Si je mettais en place un régime politique de monarchie constitutionnelle, je choisirais sans doute aucun le modèle britannique. C’est-à-dire une monarchie royale parlementaire, système où je tiendrais un simple rôle constitutionnel et limité à des fonctions cérémonielles non-partisanes. Je serais le garant de la Constitution et de la démocratie. Le véritable pouvoir étant entre les mains du Gouvernement.”

Quant à une date pour ce changement, Emmanuel Macron l’envisage “pour son second mandat” :

“Je ne compte pas encore proposer le régime d’une monarchie constitutionnelle en France car les Français ne sont pas prêts. Mais je vais amener le sujet subtilement. Je vais le proposer dans mon programme pour l’élection présidentielle de 2022. Dès que j’entamerai mon second mandat, j’instaurerai la monarchie constitutionnelle présentée dans mon programme”.

Va-t-on voir bientôt le retour de la monarchie constitutionnelle en France ?

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Les blacks blocs investissent en bourse pour financer leurs actions durant les manifestations

BLACK BLOC – Les membres des blacks blocs, ces groupes d’activistes issus des mouvances libertaires et anarchistes, investissent de plus en plus en bourse pour financer leurs actions lors des manifestations et avoir ainsi un réel impact sur l’opinion publique.

La majorité des membres actifs des blacks blocs investissent en bourse. Cela leur permet de renforcer leur pouvoir lors de leurs actions durant les manifestations.

Les blacks blocs consistent en un ensemble d’individus, sans filiation autre qu’une idéologie commune, qui agissent collectivement à un moment donné, dans le cadre d’une manifestation, avec des revendications libertaires, anarchistes et anticapitalistes.

Si les black blocs, apparus au début des années 80 en Allemagne, tiennent aujourd’hui de plus en plus d’importance, c’est non seulement en raison du nombre de membres actifs qui ne cesse de croître mais aussi et surtout en raison des moyens financiers grandissants dont ils disposent. Michaël, 31 ans, est un “black bloc” anarchiste très actif lors des manifestations. Il confirme cet accroissement des moyens financiers dont disposent les manifestants des blacks blocs :

“J’ai rejoint les blacks blocs à 14 ans, lors du sommet de Gênes en 2001. En 17 ans, je dois avouer que notre mouvement n’a cessé de s’amplifier. Et pas seulement d’un point de vue humain : on dispose de plus en plus de moyens financiers qui nous permettent d’être très actifs dans les manifestations.”

Ce témoignage de Michaël est corroboré par la police. Ainsi, parmi les arrestations des membres de ces blacks blocs années après années, les policiers de tous les pays se sont rendus compte que la grande majorité de ces membres disposaient de plusieurs milliers voire dizaines de milliers d’euros d’économies. Ils ont également constaté que ces membres investissent de plus en plus en bourse afin d’accroître leurs revenus.

“Personnellement, je dispose de près de 25.000€ d’économies sur mon compte, grâce aux ressources de mes parents et à mon travail de manager dans un fast-food. Cet argent, j’essaie de le faire fructifier au mieux en investissant en bourse. Ne croyez pas que je cherche à m’enrichir : tout cet argent sert à mon combat, notre combat ! L’objectif est de générer un maximum de bénéfices pour pouvoir financer notre lutte anticapitaliste” nous confie Michaël.

Ainsi, grâce aux investissements boursiers de la plupart des membres des blacks blocs, on constate une recrudescence du nombre d’actions de ces groupes d’individus. En outre, on constate que les moyens pour manifester ne cessent de croître. Des premières banderoles des débuts, on constate désormais que chaque membre dispose d’un arsenal de guerre conséquent, d’une valeur équivalente à plusieurs milliers d’euros !

Selon nos informations, les black blocs envisagent de s’organiser de manière durable et pérenne, en constituant une entreprise internationale dont les bénéfices serviront à financer leurs actions revendicatives.

“Le combat des black blocs n’est pas prêt de s’arrêter. On ne cesse de s’enrichir, ce qui facilite notre lutte et nos actions parfois violentes lors des manifestations.” nous avoue Michaël.

Il est vrai que si les moyens des blacks blocs ne cessent de croître, on peut craindre une recrudescence des actes violents lors des manifestations.

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France : vers un Ministère de l’Information, contre les fake news

POLITIQUE – Contre les fake news qui empoisonnent la vie politique notamment, le Gouvernement projette la création d’un Ministère de l’Information destiné à prévenir, contrôler et réprimer toutes les fausses informations. Ce Ministère de l’Information sera créé “d’ici la fin du quinquennat”.

La France envisage la création d’un Ministère de l’Information anti fake-news d’ici 2022.

Les fake news consistent en des informations délibérément fausses ou truquées provenant d’un ou de plusieurs médias, d’un organisme ou d’un individu. Emmanuel Macron a déclaré avoir été victime de ces “fake news”, c’est-à-dire de campagnes de désinformation sur Internet, lors de la Présidentielle de 2017. Lors de ses voeux à la presse, début janvier 2018, il a déclaré vouloir légiférer contre ces fake news  :

“J’ai décidé que nous allions faire évoluer notre dispositif juridique pour protéger la vie démocratique de ces fausses nouvelles.
[…]
Je veux que cette loi s’applique dès les élections européennes de mai 2019” a-t-il déclaré.

Aussi, ce projet de loi a longuement été décrié, notamment du fait qu’il présente le risque d’une atteinte inédite à la liberté d’expression. En outre, certains avancent qu’une loi anti fake-news existe déjà ; en effet la la loi de 1881 sur la Liberté de la presse permet déjà de sanctionner la diffusion de fausses informations avec le délit de fausse nouvelle et le délit de diffamation.

Toutefois, le Gouvernement ne lâche pas l’affaire des fake news et préconise la création d’un “Ministère de l’Information”, comme on peut le lire sur un document officieux que nous nous sommes procuré :

“Le Ministère de l’Information vise à réformer et organiser la diffusion des informations aussi bien sur les médias dits ‘traditionnels ‘ (presse écrite, radio, télévision) que sur Internet.”

On constate que ce Ministère de l’Information, en plus de contrôler les fake news, entrera pleinement dans le cadrage de la réforme de l’Audiovisuel Public.

“L’avantage de créer un ministère de l’Information est de pouvoir organiser au mieux la diffusion de la vraie information.
En ce qui concerne les fausses nouvelles, cela nous permettra de réagir très vite en cas de problème. On pourra prévenir les problèmes et donner les moyens en faveur de la prévention et de l’éducation. Cela permettra également de développer un véritable arsenal législatif anti fake-news. Il n’y aura plus d’impunité pour les délinquants et criminels auteurs de fausses nouvelles” nous confie un homme politique proche du dossier, qui souhaite garder l’anonymat.

La mise en place du Ministère de l’Information est prévue “d’ici la fin du quinquennat, a priori à l’été 2021”.