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Santé / Médecine

Le vaccin contre la 5G disponible en France

VACCIN / 5G – L’Institut de Recherche en Biotechnologie vient de développer un vaccin contre la 5G, permettant d’éviter d’être contaminé par le virus biotechnologique CoC-6-Gru.

Une équipe de chercheurs de l’Institut de Recherche en Biotechnologie (IRB) vient de mettre au point un vaccin contre la 5G, qui lutte contre le virus biotechnologique CoC-6-Gru.

La France peut se réjouir d’être la première nation à avoir trouvé un vaccin contre la 5G. Grâce au travail acharné d’une équipe de chercheurs de l’Institut de Recherche en Biotechnologie (IRB), un vaccin contre le virus biotechnologique CoC-6-Gru (voir notre encadré ci-dessous) est entré en phase IV ou phase de pharmacovigilance, la dernière phase où le vaccin entre en commercialisation.

Depuis l’apparition de la 5G en 2015, nous nous efforçons de développer un vaccin contre la CoC-6-Gru, une maladie qui touche malheureusement de plus en plus de personnes.

Nous avons décidé début juillet 2020 de mettre ce vaccin contre la 5G en phase de commercialisation puisque tous les indicateurs témoignent de son efficacité.

Institut de Recherche en Biotechnologie (IRB). 29 juillet 2020.

Vaccinez-vous contre la 5G pour ne pas risquer d’attraper le virus de la CoC-6-Gru !

VIRUS DE LA CoC-6-Gru
Le virus de la CoC-6-Gru est un virus découvert par Popper en 1945.
Ce virus gagne chaque année du terrain ; on estime qu’il touche aujourd’hui 21% des Français.
Ce virus, anodin pour 92% des personnes infectées, peut toutefois se manifester par une paranoïa et peut entraîner une radicalisation de la pensée.
Le vaccin contre la CoC-6-Gru a été développé durant 5 ans par une équipe de chercheurs de l’Institut de Recherche en Biotechnologie (IRB). Il est commercialisé depuis juillet 2020.
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Faits divers

Les règlements de comptes entre bandes rivales se font désormais par crachats, avec des « mules virales » (« muvis »)

DÉLINQUANCE / MULES VIRALES – Les règlements de comptes entre bandes rivales viennent de changer de forme. Désormais, plus besoin d’armes pour attaquer ses rivaux ; les délinquants créent des mules virales (les « muvis ») et vont se cracher les uns sur les autres.

Les mules virales, la nouvelle arme biologique des délinquants dans les règlements de comptes entre bandes rivales

Alors que le crachat est désormais sévèrement réprimé, considéré comme « mise en danger de la vie d’autrui voire tentative d’homicide », les délinquants ont décidé d’opter pour cette nouvelle forme d’attaque dans le cadre de leurs règlements de comptes entre bandes rivales.

En effet, quelle pire arme que l’arme biologique ? Avec le Covid-19, le crachat représente un danger mortel. Cette arme biologique présente en outre l’avantage d’être totalement gratuite et indécelable. Cela explique qu’elle soit désormais autant plébiscitée par les délinquants :

Les délinquants cherchent toujours le meilleur rapport coût / impact. Alors que les armes coûtent chers, le crachat de Covid-19 est gratuit !

Nicole Ambot, Lieutenant de Police

Des délinquants n’hésitent d’ailleurs pas à contaminer certains des leurs pour les envoyer à l’attaque, ceux qu’ils appellent « les mules virales » :

Les mules virales, ce sont des délinquants qui contractent volontairement un virus, aujourd’hui le Covid-19, afin de le transmettre aux adversaires. Ces mules virales sont ainsi utilisées comme de véritables armes biologiques.

Dans de plus en plus d’attaques entre bandes rivales, on entend « J’t’envoie la muvi ». Et la mule se jette sur ses adversaires en leur crachant dessus autant que possible.

Les forces de l’ordre prennent très au sérieux ce nouveau phénomène :

Désormais, lorsque nous allons en intervention, nous troquons notre stock de gaz lacrymogènes contre des lances à eau de javel. De plus, nos tenues sont désormais totalement hermétiques pour contrer toute attaque de muvis.

La délinquance s’adapte très rapidement au changement avec les muvis, leur nouvelle arme biologique.

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Santé / Médecine

Virus tueur de la tomate ToBRFV : les frontières du Finistère fermées

VIRUS TOMATE / FINISTÈRE – A cause du virus tueur de tomate « ToBRFV », le Ministère de la Santé a décidé de fermer les frontières du Finistère.

Virus tueur de tomate ToBRFV : les frontières du Finistère fermées.

Le virus ToBRFV, surnommé « virus tueur de tomate », a été détecté la semaine dernière dans une exploitation du Finistère. Pour faire face à l’épidémie et contrer la pandémie du virus, le Ministère de la Santé a décidé de fermer les frontières du Finistère :

Nous fermons les frontières du Finistère afin d’éviter toute propagation du virus ToBRFV, surnommé le « Tueur de tomates ».

Les Finistériens seront confinés dans leur région, sauf s’ils peuvent justifier qu’ils n’aiment pas les tomates :

Toute sortie du territoire du Finistère est interdite à quiconque. Toutefois, des exceptions existent uniquement pour les résidents qui peuvent attester qu’ils ne mangent jamais de tomates, certificat médical à l’appui. Ils devront de plus subir une quarantaine de 15 jours à Quimperlé.

Ce virus est pris très au sérieux par le Ministère de la Santé :

A côté le coronavirus Covid-19, ce n’est rien !

Bien que le virus ToBRFV soit inoffensif pour l’homme, l’objectif consiste à éviter une pandémie qui serait dramatique.

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Loi / Justice

Condamnation pour avoir transmis la grippe et contaminé ses proches

JUSTICE – Marcel Didier, 68 ans, vient d’être condamné à 1 mois de prison avec sursis et à payer 1500€ de dommages et intérêts à chacun des 3 plaignants. Ces 3 plaignants, des amis de Marcel Didier, avaient déposé plainte contre lui pour leur avoir transmis le virus de la grippe.

Marcel Didier, 68 ans, est anéanti : il a été lourdement condamné pour avoir transmis le virus de la grippe à 3 de ses amis !

Marcel Didier vit dans un petit village près de Châteauroux. Âgé de 68 ans, il n’aurait jamais cru être un jour condamné. Pourtant, début janvier, une plainte a été déposée contre lui. En effet, Marcel Didier a attrapé la grippe au début du mois de décembre. Se sachant malade, il a quand même continué à recevoir la visite de 3 de ses amis, des voisins, comme habituellement :

« J’avais 3 amis, Lucien, Paul et André. Ils venaient me voir tous les jours pour m’aider dans mes tâches quotidiennes parce que j’ai du mal à tout faire tout seul. On buvait tous les matins un café ensemble et à midi, je leur payais toujours l’apéro. Mais quand j’ai attrapé la grippe, tout a changé ! » nous explique Marcel.

Au début du mois de décembre, Marcel a attrapé la grippe. Bien que malade il continue de recevoir ses amis :

« Je savais que j’avais la grippe, le médecin me l’a diagnostiquée et m’a donné les médicaments en conséquence. J’ai décidé de ne pas en parler à mes amis, sinon je savais qu’ils ne viendraient plus me voir jusqu’à ce que je sois guéri, soit plusieurs semaines ! Je leur ai fait croire que ce n’était pas grave et pas contagieux, mais je n’aurais pas dû ! »

En effet, malheureusement pour Marcel, ses 3 amis attrapent à leur tour le virus de la grippe :

« Vers la mi-décembre, j’ai appris que chacun  de mes 3 amis avait attrapé la grippe. Ils ont vite fait le rapprochement avec moi. Alors, je leur ai avoué que oui, je savais que j’avais la grippe et que je leur avais menti en ne leur disant pas que j’avais la grippe. A partir de ce moment là, je ne les ai plus vus … »

Mais la mésaventure de Marcel ne fait que commencer :

« Je ne voyais plus mes amis, je me suis dit que c’était normal, qu’ils ne sortaient plus car ils étaient malades. Mais le 3 janvier, j’ai reçu un courrier en recommandé qui me disait que je devais me présenter au Tribunal car une plainte avait été déposée contre moi en se basant sur l’article 222-15 du Code Pénal, qui condamne ‘l’administration de substances nuisibles ayant porté atteinte à l’intégrité physique ou psychique d’autrui’. Pourtant je ne leur ai pas transmis la grippe volontairement ! »

Le jugement a eu lieu 3 jours plus tard, le vendredi 6 janvier 2017, et le jugement a été très sévère :

« J’ai été condamné à 1 mois de prison avec sursis et à verser 1500 € de dommages et intérêts à chacun de mes amis. Le juge a retenu le fait que j’avais caché sciemment que j’avais la grippe, une maladie très contagieuse, et que par conséquent j’étais coupable de ‘dissimulation de maladie à fort risque de transmission’. Et vu que j’avais menti à mes amis, le juge n’a pas hésité une seule seconde à me condamner ! ».

Cette décision de justice devrait faire jurisprudence. Ainsi, si vous avez la grippe, informez-en les personnes qui vous rendent visite au risque qu’on dépose plainte contre vous !