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Sport

Finale Coupe du Monde Football 2018 : Fans Zones interdites aux supporters croates !

COUPE DU MONDE 2018 / FANS ZONES – Pour la finale de la Coupe du Monde de Football 2018, dimanche 15 juillet à 17h, les autorités interdisent, en France, l’accès aux fans zones aux supporters Croates, pour éviter d’éventuels troubles à l’ordre public. Tous les supporters Croates ont été mis sous surveillance.

Finale CDM 2018 : les supporters Croates, mis sous surveillance, sont interdits de fans zones !

Les supporters Croates en France ne pourront pas rejoindre les fans zones lors de la finale de la Coupe du Monde de Football qui aura lieu ce dimanche 15 juillet à 17h. C’est la décision irrévocable des autorités :

« Pour assurer la sécurité de chacun en évitant autant que faire se peut tout trouble à l’ordre public, nous avons décidé d’interdire l’accès aux fans zones aux supporters Croates. La finale de la Coupe du Monde de football déchaîne les passions et nous ne voulons pas de dérives ingérables. Entre l’alcool, la véhémence de certains supporters, l’effet de groupe, etc., les dérives sont rapides … et peuvent devenir très rapidement très violentes » nous explique Jean-Charles Debucher, directeur des services préfectoraux au Ministère de l’intérieur.

Ainsi, à l’entrée de chacune des fans zones, un contrôle poussé aura lieu pour s’assurer que tous les supporters présents soutiennent bien la France :

« Nous craignons que certains supporters Croates ne se fassent passer pour des supporters Français pour entrer dans les fans zones. Nous avons donc donné des consignes claires à chaque préfet : assurer le contrôle poussé de chaque supporter se rendant sur les fans zones et vérifier que les kits supporters ne sont pas réversibles, c’est-à-dire que derrière une écharpe France ne se cache pas en fait une écharpe Croatie … »

Outre les fans zones, c’est l’ensemble des manifestations de supporters Croates qui seront contrôlées :

« Nous interdisons toute manifestation publique des supporters Croates. De même, nous déconseillons à ces supporters de manifester leur soutien à la Croatie dans des lieux privés. » complète J.-C. Debucher.

En cas de victoire de la Croatie, un dispositif sans précédent aura lieu pour interdire toute manifestation  :

« Si la Croatie gagne, nous craignons des débordements violents. Toute manifestation sera donc interdite où que ce soit en France. »

Afin d’assurer une sécurité optimale lors de cette finale de la Coupe du Monde de Football 2018, les services de renseignement Français ont déjà identifié et mis sous surveillance tous les groupes de supporters Croates :

« J’ai demandé aux services de renseignement, dans chaque région, d’identifier tous les groupes de supporters Croates. Nous les avons identifiés et mis sous surveillance. Nous pourrons ainsi agir à tout moment en cas de problème, grâce à un dispositif conséquent de policiers et gendarmes en tenue et en civil. La sécurité est donc optimale pour que la fête soit au rendez-vous et demeure ! » explique  J.-C. Debucher.

Rassurons-nous, la finale de la Coupe du Monde de Football 2018 France-Croatie est sous haute-surveillance. Les supporters Français peuvent être tranquilles : ils seront les seuls à manifester leur liesse … ou leur désarroi …

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Politique

Macron favorable à une monarchie constitutionnelle !

MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE – Emmanuel Macron a déclaré être favorable à une monarchie parlementaire (ou monarchie constitutionnelle), à l’instar du modèle de la monarchie britannique. « Cela est générateur de revenus pour le pays, observez le Royaume-Uni ! » s’est-il exclamé.

Emmanuel Macron favorable à une monarchie constitutionnelle en France à partir de 2022 !

Emmanuel Macron va-t-il transformer notre République Démocratique en Monarchie Constitutionnelle ? C’est en tout cas une éventualité ouverte par l’une de ses déclarations off faite devant une équipe réduite de 5 journalistes Britanniques, que révèle aujourd’hui le tabloïd « The Daily Sun ».

Emmanuel Macron considère en effet que la monarchie constitutionnelle est un modèle qui fait ses preuves :

« Le modèle de la Monarchie Britannique est tout à fait estimable. Il fédère un peuple et génère de nombreux revenus pour le pays. Observez votre pays (ndlr : le Royaume-Uni) ; regardez les mariages princiers, les cérémonies d’investiture, etc : ils sont suivis partout à travers le monde par des centaines de millions de personnes !

[…]

J’avoue réfléchir à l’instauration d’un système politique similaire en France, tant cela fédérera les Français et permettra à la France de rayonner à travers le monde »

Emmanuel Macron révèle d’ailleurs qu’il songe depuis longtemps à un nouveau régime politique pour la France :

« Le régime politique de la France est aujourd’hui à bout de souffle. Il convient de le modifier en profondeur. C’est ce à quoi je m’atèle depuis mon élection, comme vous pouvez le constater par mes multiples réformes. Mais il est vrai qu’un changement radical nous faisant tendre vers la monarchie constitutionnelle semble être l’évolution la plus pertinente. Cela est beaucoup plus réaliste que le projet de Sixième République défendu par des farfelus ! »

Le projet de monarchie constitutionnelle française envisagé par Emmanuel Macron est véritablement calqué sur le modèle britannique :

« Si je mettais en place un régime politique de monarchie constitutionnelle, je choisirais sans doute aucun le modèle britannique. C’est-à-dire une monarchie royale parlementaire, système où je tiendrais un simple rôle constitutionnel et limité à des fonctions cérémonielles non-partisanes. Je serais le garant de la Constitution et de la démocratie. Le véritable pouvoir étant entre les mains du Gouvernement. »

Quant à une date pour ce changement, Emmanuel Macron l’envisage « pour son second mandat » :

« Je ne compte pas encore proposer le régime d’une monarchie constitutionnelle en France car les Français ne sont pas prêts. Mais je vais amener le sujet subtilement. Je vais le proposer dans mon programme pour l’élection présidentielle de 2022. Dès que j’entamerai mon second mandat, j’instaurerai la monarchie constitutionnelle présentée dans mon programme ».

Va-t-on voir bientôt le retour de la monarchie constitutionnelle en France ?

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Politique

France : vers un Ministère de l’Information, contre les fake news

POLITIQUE – Contre les fake news qui empoisonnent la vie politique notamment, le Gouvernement projette la création d’un Ministère de l’Information destiné à prévenir, contrôler et réprimer toutes les fausses informations. Ce Ministère de l’Information sera créé « d’ici la fin du quinquennat ».

La France envisage la création d’un Ministère de l’Information anti fake-news d’ici 2022.

Les fake news consistent en des informations délibérément fausses ou truquées provenant d’un ou de plusieurs médias, d’un organisme ou d’un individu. Emmanuel Macron a déclaré avoir été victime de ces « fake news », c’est-à-dire de campagnes de désinformation sur Internet, lors de la Présidentielle de 2017. Lors de ses voeux à la presse, début janvier 2018, il a déclaré vouloir légiférer contre ces fake news  :

« J’ai décidé que nous allions faire évoluer notre dispositif juridique pour protéger la vie démocratique de ces fausses nouvelles.
[…]
Je veux que cette loi s’applique dès les élections européennes de mai 2019 » a-t-il déclaré.

Aussi, ce projet de loi a longuement été décrié, notamment du fait qu’il présente le risque d’une atteinte inédite à la liberté d’expression. En outre, certains avancent qu’une loi anti fake-news existe déjà ; en effet la la loi de 1881 sur la Liberté de la presse permet déjà de sanctionner la diffusion de fausses informations avec le délit de fausse nouvelle et le délit de diffamation.

Toutefois, le Gouvernement ne lâche pas l’affaire des fake news et préconise la création d’un « Ministère de l’Information », comme on peut le lire sur un document officieux que nous nous sommes procuré :

« Le Ministère de l’Information vise à réformer et organiser la diffusion des informations aussi bien sur les médias dits ‘traditionnels ‘ (presse écrite, radio, télévision) que sur Internet. »

On constate que ce Ministère de l’Information, en plus de contrôler les fake news, entrera pleinement dans le cadrage de la réforme de l’Audiovisuel Public.

« L’avantage de créer un ministère de l’Information est de pouvoir organiser au mieux la diffusion de la vraie information.
En ce qui concerne les fausses nouvelles, cela nous permettra de réagir très vite en cas de problème. On pourra prévenir les problèmes et donner les moyens en faveur de la prévention et de l’éducation. Cela permettra également de développer un véritable arsenal législatif anti fake-news. Il n’y aura plus d’impunité pour les délinquants et criminels auteurs de fausses nouvelles » nous confie un homme politique proche du dossier, qui souhaite garder l’anonymat.

La mise en place du Ministère de l’Information est prévue « d’ici la fin du quinquennat, a priori à l’été 2021 ».

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Environnement

Vent Moscou-Paris : concentration accrue d’alcool dans l’air !

METEOROLOGIE – Le vent Moscou-Paris n’apporte pas qu’une vague de froid ! Les analystes de l’association française de surveillance de la qualité de l’air (ASQA) ont détecté une concentration anormalement élevée d’alcool dans l’air. La raison en serait le transport de molécules d’éthanol (composé chimique de l’alcool) depuis l’air Russe jusqu’à la France.

Vent Moscou-Paris : concentration 1500 fois plus importante d’alcool dans l’air !

La vague de froid Moscou-Paris fait parler d’elle en raison des températures pôlaires et d’un ressenti de froid intense dû au vent glacial provenant de Russie. Mais les analystes de l’Association française de Surveillance de la Qualité de l’Air (ASQA) ont détecté également un taux anormalement élevé d’éthanol (le composé chimique de base de l’alcool) dans l’air. En effet, l’éthanol est un composé très volatile.

Selon les experts, la concentration d’alcool dans l’air est environ 1500 fois plus importante dans les zones densément peuplées de Russie qu’en France (Russie : 0,1241210 % / France : 0,0000912%). La raison de cette forte quantité d’alcool dans l’air de la Russie est due à la production et à la consommation très importante de  boissons alcoolisées dans ce pays, en des endroits concentrés ; les composés chimiques de l’alcool, concentrés, s’agrègent, ce qui accroît leur volatilité et ce qui explique leur propagation rapide.

Aussi, avec l’air glacial qui provient de Moscou, ce sont les nombreux composés chimiques de l’alcool qui se propagent dans notre air. De plus, le froid est un conservateur de choix pour que les composés chimiques de l’éthanol ne se désagrègent pas en chemin, comme nous l’explique Donatien Villeneuve, chimiste à l’ASQA :

« L’éthanol se véhicule très facilement en raison de sa forte volatilité, c’est-à-dire sa capacité à se vaporiser. Les molécules s’assemblent entre elles et sont véhiculées au gré du vent. Plus l’air est concentré en éthanol, plus les molécules s’agrègent. Plus l’air est froid, plus les molécules sont soudées et se propagent facilement. Ainsi, avec la vague de vent froid Moscou-Paris, toutes les conditions sont réunies pour que la forte concentration en éthanol dans l’air de la Russie provienne jusqu’à la France ».

Les conséquences sur notre santé sont toutefois infimes :

« Une concentration d’éthanol dans l’air commence à devenir ‘dangereuse’ dès qu’elle excède 1%. C’est-à-dire qu’à 1% elle peut entraîner une sensation d’ivresse. On en est encore bien loin. »

Ainsi, si vous avez un peu la tête qui tourne depuis que le vent Moscou-Paris a fait son apparition, c’est sans doute que vous êtes très sensible à la concentration d’éthanol dans l’air et que vous ressentez une petite ivresse.

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Economie / Emploi

Internet : la Taxe Porno se confirme

INTERNET – La pornographie étant omniprésente sur le web et ces sites générant un trafic très élevé, le Gouvernement Français envisage de plus en plus sérieusement l’instauration d’une Taxe Porno (TP). Même si celle-ci sera à la charge des prestataires de contenus pornographiques, cela risque de modifier en profondeur le paysage pornographique du web avec, potentiellement, la disparition de la Pornographie à la Française.

Bientôt une Taxe Porno sur chaque film pornographique diffusé sur Internet !

La pornographie représente près de 20% des sites web en ligne. Plus de 75% des internautes consultent au moins 1 fois par semaine une vidéo à contenu pornographique, tous âges et sexes confondus. Fort de ce constat, le gouvernement envisage d’instaurer une Taxe Porno, afin selon eux de :

« Financer la prévention et la lutte contre les IST [et] assurer une protection efficace des mineurs contre les images et vidéos pornographiques sur internet »

Selon, Rafy Sting, président de la société de production de films pour adultes « Pornoweb », le Gouvernement ne cherche en aucun cas à financer des actions de prévention, mais cherche uniquement à prélever de l’argent sur un des loisirs préférés des Français :

« Le Gouvernement sait mettre des taxes là où il y a de l’argent à se faire. Regardez les carburants. Regardez la TVA. Regardez les impôts. Regardez les radars.
Aussi, étant donné que tous les Français et Françaises consomment à un moment ou un autre de la pornographie, leur loisir préféré en règle générale, la taxer constitue pour eux une énorme manne financière !
[…]
On n’est pas idiots, on sait très bien que le but n’est pas la prévention comme ils le déclarent, mais seulement de récolter encore et toujours plus d’argent ! »

Concrètement, le gouvernement envisage d’instaurer une taxe de 0,001€ par minute de vidéo visionnée par chaque utilisateur. Cette taxe sera automatiquement imputée aux prestataires de vidéos pornographiques. Rafy Sting se plaint de cette mesure :

« 0,001€ par minute de vidéo visionnée par chaque spectateur, cela représente pour mon entreprise près de 500 millions d’euros de taxe annuelle supplémentaire, qu’on sera évidemment obligé de répercuter sur le client. Cela signifie que la plupart de nos contenus gratuits ne pourront plus l’être ! »

Ainsi, cette Taxe Porno sur les contenus pornographiques sur Internet marquera-t-elle la fin du porno gratuit ?

« Pour les sociétés françaises de production de films pornographiques, oui, ce sera la fin du porno gratuit sur Internet puisqu’on devra insérer des trackers sur nos serveurs qui identifieront anonymement tous les utilisateurs. Pour les autres entreprises du porno basées à l’étranger, il leur suffira de ne pas communiquer les connexions de leurs internautes afin de ne payer aucun impôt, puisque eux ne seront pas tenus d’installer des trackers sur leurs serveurs basés hors de France ! » s’insurge Rafy Sting.

La Taxe Porno présente donc une faille cruciale qui risque de voir disparaître l’art du Porno Français.
Et s’il n’y a plus de Porno Français, on en connaît beaucoup qui vont ne plus savoir comment occuper leurs longues soirées …

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Europe

L’Allemagne veut récupérer l’Alsace-Moselle pour la choucroute et la sidérurgie

POLITIQUE – On croyait l’affaire du territoire Alsace-Moselle complètement réglée : ce territoire est français. Toutefois, Angela Merkel chercherait à récupérer ces territoires « riches » et « à haut potentiel stratégique ».

L'Alsace-Moselle à nouveau allemand ?
Et si l’Alsace-Moselle redevenait allemand ? Il semblerait que ce soit l’intention d’Angela Merkel !

Le territoire composé des actuels départements Bas-Rhin, Haut-Rhin et Moselle, a été français jusqu’en 1871. C’est le traité de Francfort, signant la fin de la guerre franco-allemande de 1870-1871, qui obligera la France à céder ce territoire à l’Empire allemand.  Il deviendra le Reichsland Elsaß-Lothringen (« Terre d’Empire d’Alsace-Lorraine »). A l’issue de la Première Guerre mondiale, ce territoire redevient français.

On croyait ainsi que l’affaire de l’Alsace-Moselle était définitivement close (même si lors de la Seconde Guerre mondiale, les départements de la Moselle, du Bas-Rhin et du Haut-Rhin ont été annexés de facto au Reich allemand) et que ce territoire était, sans aucun débat, territoire français. Toutefois, Angela Merkel, depuis son élection en tant que chancelière fédérale en 2005, chercherait à reconquérir ce territoire pour qu’il soit à nouveau rattaché à l’Allemagne.

Ce qui motive son choix est très surprenant. Selon nos sources, elle aurait déclaré à l’un de ses proches conseillers :

« Il nous faut impérativement négocier avec la France afin de récupérer l’Alsace – en raison de la culture des choux à choucroute qui est de tradition germanique – et la Moselle pour la sidérurgie qui va renaître de ses cendres et qui complétera bien notre industrie de pointe. »

Il est vrai que le plat préféré d’A. Merkel est la choucroute. Mais outre cet intérêt pour l’agriculture et l’industrie spécifiques à ce territoire, c’est aussi l’aspect stratégique qu’il représente qui motive la chancelière allemande :

« Ce territoire représente la limite occidentale de la banane bleue, indispensable pour conforter notre économie. L’Alsace est riche et la Moselle présente un haut potentiel stratégique » aurait-elle déclaré.

Aussi, selon nos sources proches de la diplomatie franco-allemande, les négociations en seraient au point suivant :

  • Strasbourg demeurerait ville française (« non négociable ») ;
  • L’Alsace et la Moselle deviendraient autonomes tout en étant rattaché au Gouvernement allemand (afin que les habitants d’Alsace-Moselle acceptent volontiers ce changement) ;
  • La Sarre, qui fait partie de la « Grande Région », deviendrait autonome et serait rattachée à la France.

Pour l’instant, le sujet demeure délicat. Il serait planifié un conseil Franco-Allemand secret dédié à ce sujet dans le courant de l’année 2020.

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Environnement

Fermeture de Fessenheim : un conseiller croyait que la centrale nucléaire était en Allemagne

CENTRALE NUCLÉAIRE DE FESSENHEIMDimanche 9 avril 2017 est paru au Journal Officiel le décret annonçant la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim. Ce décret a été publié très rapidement à cause d’un conseiller du Ministère de l’Environnement qui croyait être obligé d’appliquer le droit allemand qui impose la sortie du nucléaire civil !

Fermeture de la centrale de Fessenheim : « Je croyais que Fessenheim était une ville allemande ! »

Malgré les nombreuses protestations, Ségolène Royal a signé et fait publier, dimanche 9 avril 2017, le décret annonçant la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim (Décret n° 2017-508 du 8 avril 2017 portant abrogation de l’autorisation d’exploiter la centrale nucléaire de Fessenheim).

Si ce décret a été signé aussi vite et est passé en force malgré les nombreuses protestations, c’est parce qu’un conseiller du ministère de l’environnement s’est basé sur le droit allemand de sortie du nucléaire civil. En effet, la loi allemande programme un abandon progressif de l’énergie nucléaire depuis  la convention du 14 juin 2000 (et une modification de loi, adoptée le 28 octobre 2010), mais surtout depuis mars 2011, après la catastrophe de Fukushima, où Angela Merkel a proclamé l’arrêt définitif de la totalité des centrales nucléaires allemandes, au plus tard en 2022.

Aussi, si ce conseiller s’est basé sur la loi allemande, c’est parce qu’il croyait que Fessenheim était une ville allemande sous contrôle français. Selon ce conseiller que nous avons pu joindre :

« Je croyais, comme bon nombre de personnes au Ministère, que l’Alsace était un territoire allemand sous contrôle de la France. C’est pour cela qu’on a forcé la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim. On voulait absolument se soumettre au droit allemand de sortie du nucléaire civil qui stipule qu’en 2022 plus aucune centrale nucléaire allemande ne soit en fonctionnement. C’est pour cela qu’on a voulu fermer Fessenheim au plus tard en avril 2020. »

Ainsi, c’est à cause (ou grâce) à une énorme méprise que la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim a été décrétée aussi vite.

 

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Faits divers

3ème oeil : le nouveau dispositif de sécurité intérieure du Gouvernement

SECURITE – Le Gouvernement vient de se doter d’un nouveau dispositif de sécurité qui complète  les services de sécurité intérieure déjà existants. Ce service, nommé « 3ème œil », consiste à recruter des personnages âgées comme autant de discrets informateurs !

Logo officiel du dispositif « 3ème œil », dispositif de renseignement qui recrute des personnes âgées comme informateurs !

Suite aux nombreuses vagues d’attentats qui ont touché la France et aux menaces que le pays ne cesse de recevoir, le Gouvernement a révisé l’ensemble de ses services de Sécurité Intérieure et Extérieure. Outre des remaniements internes avec l’optimisation des différents services de sécurité, le Gouvernement a développé de nouvelles méthodes de renseignements et des partenariats stratégiques avec les différents services de renseignements étrangers.

Au-delà de ces multiples changements, indispensables pour assurer une sécurité optimale dans le pays, le Gouvernement a décidé de mettre en place un dispositif de sécurité intérieure original, sous le nom de « 3ème œil ». « 3ème œil », c’est un service de renseignement dont les informateurs ne sont autres que des personnes âgées !

Le commissaire Patrice E., responsable de ce projet, nous explique la genèse de ce dispositif :

« Un audit effectué par une société spécialisée, sur commande du Gouvernement, a consisté à dresser un état des lieux  de nos services et à nous donner des pistes d’amélioration voire d’autres perspectives pour un processus de Renseignement sécurisé optimal.

Si quelques petits dysfonctionnements internes ont été revus, corrigés et optimisés, c’est l’une de leur suggestion qui nous a particulièrement plu : celle d’embaucher des personnes âgées en tant qu’informateurs. En effet, les personnes âgées ont beaucoup de temps. Il est connu que nombreux sont ceux qui observent derrière leur fenêtre et étudient les faits et gestes de leurs voisins ! C’est pourquoi on a décidé d’exploiter leurs compétences d’observateurs discrets et disponibles. De plus, personne ne soupçonne les personnes âgées ! »

Ainsi est né le dispositif « 3ème œil » :

« Nous avons nommé ce dispositif ‘3ème œil’ car il s’agit de l’œil qui manque à chaque être humain. De plus, on parle de 3ème âge pour désigner ces personnes âgées. Le nom de ce dispositif allait donc de soi ! »

Même si les personnes recrutées sont des personnes âgées, ce dispositif est un système de renseignement très organisé et efficace :

« Le dispositif ‘3ème œil’ consiste à embaucher un maximum de personnes âgées partout dans les villes et villages de France. Chacun a une mission spécifique avec des cibles particulières à surveiller. Ces agents du 3ème âge ont également un travail d’observation générale afin d’identifier de nouvelles cibles qui ne seraient pas encore dans nos radars.

Parmi ces personnes âgées recrutées, certains sont en poste fixe chez eux, dans des hôpitaux, des maisons de retraite, etc. mais d’autres sont mobilisés dans les commerces ou dans la rue, soit en tant que simples observateurs, soit en filatures ».

Même si les chiffres des personnes âgées recrutées dans ce dispositif sont classées secret défense, on estime à environ 500.000 le nombre d’agents du dispositif « 3ème œil ».

« Cela facilite grandement le travail de nos services de renseignement et nous obtenons des résultats extrêmement satisfaisants  ! Nous allons donc développer encore ce dispositif. » nous confie le commissaire Patrice E.

Délinquants, criminels et terroristes : trembler ! Plus efficaces que des caméras, plus nombreux et disponibles que des agents de renseignement, les vieux vous regardent et n’hésiteront pas à vous balancer !

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Environnement

Ecologie – COP22 : la France a bénéficié de la « dérogation écologique de novembre-décembre »

ECOLOGIE – Durant la COP 22 qui s’est tenue à Marrakech du 7 au 18 novembre 2016, la France a demandé et a obtenu une dérogation écologique, pour l’ensemble des mois de novembre et de décembre, afin d’utiliser un maximum d’énergie sans que cela ne soit décompté de son quota carbone.

Dérogation "Novembre-Décembre" : durant 2 mois, l'empreinte écologique de la France n'est pas comptabilisée.
Dérogation « Novembre-Décembre » : durant 2 mois, l’empreinte écologique de la France n’est pas comptabilisée.

La COP 22 a eu lieu du 7 au 18 novembre 2016 à Marrakech. Durant cette conférence, la France a demandé à ce que son quota carbone ne soit pas décompté durant les mois de novembre et décembre, comme l’explique Caroline Malherbe, conseillère auprès du Ministère de l’Ecologie et du Développement Durable :

« La France a adressé une demande de dérogation écologique exceptionnelle afin que son quota carbone ne soit pas pris en compte pour les mois de novembre et décembre. Nous souhaitions en effet que ces 2 mois de fêtes de fin d’année permettent à tout un chacun de profiter des fêtes sans ressentir la culpabilité de polluer. »

Grâce à cette dérogation écologique, la France peut librement consommer de l’énergie et couper des arbres durant 2 mois :

« L’objectif consiste à ne pas pénaliser les personnes et les municipalités désireuses de mettre en place des illuminations de Noël. Ainsi, tout un chacun peut mettre autant de décorations de Noël – qui nécessitent une forte consommation d’énergie – qu’il le veut, sans avoir à se considérer comme un pollueur. En outre, une explosion du nombre de coupes de sapins a lieu lors du mois de Novembre ; encore une fois, cela permet de ne pas avoir à replanter autant de sapins que ceux qui ont été coupés.

Grâce à cette dérogation écologique, les Français peuvent conserver tout leur confort hivernal. Cela leur permet également de profiter pleinement des fêtes de fin d’année. Déculpabiliser les Français, leur faire perdre toute mauvaise conscience durant ces 2 mois, est garant d’un bien-être général dont chacun a bien besoin en ces temps difficiles » complète Caroline Malherbe.

Ainsi, c’est une importante dérogation aux forêts gérés durablement (sapins coupés et non renouvelés) et à l’empreinte écologique (consommation d’énergie non comptabilisée) qui permet à chaque Français de profiter pleinement des fêtes de fin d’année en étant non seulement déculpabilisé mais qui permet aussi à la France de ne pas être sanctionnée financièrement par la compensation carbone.

 

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Europe

Conflit sur la frontière du Mont-Blanc : il appartiendrait à la Suisse !

CONFLIT – Le conflit sur la frontière du Mont-Blanc remonte à plus de 2 siècles. Toujours d’actualité, ce conflit n’aurait plus lieu d’être grâce aux travaux d’un géographe Suisse, Pascal Pain : le sommet du Mont-Blanc appartiendrait à la Suisse !

Frontière sur le Mont-Blanc : le conflit franco-italien s'élargit avec la Suisse qui revendique le Mont-Blanc !
Frontière sur le Mont-Blanc : le conflit franco-italien s’élargit avec la Suisse qui revendique le Mont-Blanc !

Le litige franco-italien sur le tracé de la frontière entre les 2 pays est particulièrement symbolique puisqu’il permet, selon les interprétations des documents historiques et autres cartes, de situer le sommet du Mont-Blanc tantôt comme Français, tantôt comme Italien, tantôt comme Franco-Italien. Malgré de nombreux traités signés, de nombreuses réunions diplomatiques à ce sujet et de multiples études cartographiques et historiques, le conflit sur la frontière du Mont-Blanc demeure toujours.

Mais un géographe Suisse, Pascal Pain, vient de faire une découverte qui révolutionne l’approche à porter sur ce conflit. En effet, le sommet du Mont-Blanc n’appartiendrait ni à la France, ni à l’Italie … mais à la Suisse :

« Le sommet du Mont-Blanc, point culminant de l’Europe, est sujet à controverse sur son appartenance à la France ou à l’Italie, ou en tant que frontière commune entre les 2 pays, depuis 1792 notamment, lorsque la Savoie devient française. J’ai donc étudié de nombreux documents historiques et cartographiques pour tenter de rétablir la vérité sur ce point. Et je suis allé de surprises en surprises ! »

Pascal Pain a travaillé près de 10 ans au sujet de ce point de controverse que constitue l’appartenance du Mont-Blanc. Il a ainsi procédé à de nombreuses études :

« Le Traité de Turin de 1860, actuellement en vigueur, établit officiellement la frontière administrative comme passant sur les points plus élevés du massif ; on voit que celle-ci passe clairement sur la calotte du mont Blanc. Or, la cartographie établie en 1865 par le capitaine Mieulet, cartographe de l’armée Française, redessine la frontière en incluant les sommets du Mont-Blanc comme appartenance Française. »

Mais sur ces vérités établies, Pascal Pain va plus loin et repositionne l’importance de la Suisse dans ce conflit :

« Aucunement il n’est fait mention de la Suisse dans ce conflit sur l’appartenance du sommet du Mont-Blanc. Or, la Suisse était sous domination Française à partir de 1789 jusqu’à 1815.

[…]

Durant cette période, le général Blonde, un cartographe Suisse, a beaucoup travaillé dans les massifs Alpins au service de Napoléon Bonaparte. Et dans son travail de recherche historique, il a réussi à prouver que le Mont-Blanc était occupé par des Suisses durant près de 6 siècles avant qu’ils ne soient délogés.

En effet, en août 1291, un groupe de 15 alpinistes Suisses des vallées d’Uri, de Schwytz et de Nidwald est parti explorer le massif des Alpes. Arrivés au sommet du Mont-Blanc, ils ont décidé de l’occuper en construisant des igloos à quelques centaines de mètres en contrebas. Forts de cette installation, ils ont réussi à attirer d’autres alpinistes Suisses et ont occupé les lieux durant près de 600 ans, au moins jusqu’en 1865, date à laquelle la carte topographique du capitaine Mieulet est établie. 

Il semblerait qu’à cette date les forces militaires françaises qui avaient établi les repérages pour le capitaine-cartographe Mieulet aient délogé la centaine de Suisse qui occupait les lieux, sans en faire aucune mention dans les documents officiels. On en trouve trace uniquement dans une correspondance privée du général Blonde.

D’après les Traités internationaux en vigueur à l’époque, tout territoire occupé par une population pendant au moins 101 ans sans qu’elle ne soit délogée, devenait propriété de ses occupants.

Le Mont-Blanc était donc devenu Suisse ! »

Outre ces faits révélés par le géographe Pascal Pain, celui-ci justifie toute la pertinence d’un octroi de la propriété du sommet du Mont-Blanc à la Suisse :

« Il serait idéal que le Mont Blanc, en particulier son sommet, revienne à la Suisse. Au-delà de mes découvertes, il ne faut pas oublier que la Suisse est un pays neutre depuis 1815, ainsi c’est avec une diplomatie totale que la Suisse aurait l’honneur de gérer ce plus haut sommet d’Europe. Le conflit serait de fait éteint et tout le monde serait content ! »

Alors, Français et Italiens, êtes-vous prêts à restituer le Mont-Blanc à la Suisse ?

Le conflit de la frontière dessinée par le Mont-Blanc va-t-il être résolu ou au contraire va-t-il devenir un conflit franco-helvético-italien ?