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Héritage Johnny Hallyday : vers un don intégral à des associations caritatives

PEOPLE – L’héritage de Johnny Hallyday fait l’objet d’une violente bataille entre Laeticia et les enfants du chanteur. Toutefois, un accord semble sur le point d’être trouvé : l’intégralité de l’héritage du chanteur sera reversé sous forme de dons à plusieurs associations caritatives.

Héritage de Johnny Hallyday : un compromis semble avoir été trouvé, léguer la fortune du chanteur aux associations caritatives

Est-ce la fin du violent conflit qui oppose Laeticia Hallyday face à Laura Smet et David Hallyday concernant l’héritage de feu Johnny Hallyday ? C’est en tout cas ce que laisse présager l’accord qui est sur le point d’être trouvé entre les 2 parties.

Cette affaire remonte au dernier testament signé par Johnny Hallyday, celui qui fait donc foi au regard de la loi. David Hallyday et Laura Smet contestent le testament de leur défunt père et le fait qu’ils ne disposent pas d’un droit de regard sur son album posthume. Aussi, ce litige entache durablement aussi bien l’image des enfants du chanteur, David et Laura, que de sa femme, Laeticia. Les conseillers des 2 parties, qui travaillent d’arrache-pied à une résolution rapide de l’affaire, semblent avoir enfin trouvé un compromis, un terrain d’entente qui vise à redorer quelque peu l’image respective des 2 parties en mettant fin à ce conflit qui ne cesse de s’aggraver avec de multiples rebondissements.

Ainsi, selon plusieurs sources proches de la famille, un compromis serait sur le point d’être trouvé sur l’héritage de Johnny Hallyday. Il s’agit de faire en sorte qu’aucune des 2 parties n’hérite plus l’une que l’autre. A ce titre, il s’agirait que personne, ni Laeticia d’un côté, ni Laura et David de l’autre, ne soit bénéficiaire de l’héritage. Et afin que l’héritage ne dorme pas, il aurait été décidé que l’intégralité de l’héritage actuel et des droits (royalties) à venir soient offerts à des associations caritatives. Grâce à ce don à des associations, non seulement le conflit entre Laeticia et David et Laura cessera, mais en plus, cela leur permettra de gagner une image médiatique très favorable grâce à cet énorme élan de solidarité.

“Plutôt que de se battre pour l’argent de Johnny dont aucune des 2 parties n’a réellement besoin, autant en faire bénéficier des personnes qui en auront une véritable utilité” a déclaré l’un des proches de Laeticia Hallyday.

Ainsi, le conflit sur l’héritage de Johnny Hallyday semble avoir trouvé une issue favorable pour tous : aussi bien pour David Hallyday et Laura Smet que pour Laeticia Hallyday qui vont mettre fin à plusieurs mois de conflits et retrouver une image médiatique favorable ; mais également pour l’opinion publique qui ne peut que se réjouir de cette grandiose générosité !

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Conflit sur la frontière du Mont-Blanc : il appartiendrait à la Suisse !

CONFLIT – Le conflit sur la frontière du Mont-Blanc remonte à plus de 2 siècles. Toujours d’actualité, ce conflit n’aurait plus lieu d’être grâce aux travaux d’un géographe Suisse, Pascal Pain : le sommet du Mont-Blanc appartiendrait à la Suisse !

Frontière sur le Mont-Blanc : le conflit franco-italien s'élargit avec la Suisse qui revendique le Mont-Blanc !
Frontière sur le Mont-Blanc : le conflit franco-italien s’élargit avec la Suisse qui revendique le Mont-Blanc !

Le litige franco-italien sur le tracé de la frontière entre les 2 pays est particulièrement symbolique puisqu’il permet, selon les interprétations des documents historiques et autres cartes, de situer le sommet du Mont-Blanc tantôt comme Français, tantôt comme Italien, tantôt comme Franco-Italien. Malgré de nombreux traités signés, de nombreuses réunions diplomatiques à ce sujet et de multiples études cartographiques et historiques, le conflit sur la frontière du Mont-Blanc demeure toujours.

Mais un géographe Suisse, Pascal Pain, vient de faire une découverte qui révolutionne l’approche à porter sur ce conflit. En effet, le sommet du Mont-Blanc n’appartiendrait ni à la France, ni à l’Italie … mais à la Suisse :

“Le sommet du Mont-Blanc, point culminant de l’Europe, est sujet à controverse sur son appartenance à la France ou à l’Italie, ou en tant que frontière commune entre les 2 pays, depuis 1792 notamment, lorsque la Savoie devient française. J’ai donc étudié de nombreux documents historiques et cartographiques pour tenter de rétablir la vérité sur ce point. Et je suis allé de surprises en surprises !”

Pascal Pain a travaillé près de 10 ans au sujet de ce point de controverse que constitue l’appartenance du Mont-Blanc. Il a ainsi procédé à de nombreuses études :

“Le Traité de Turin de 1860, actuellement en vigueur, établit officiellement la frontière administrative comme passant sur les points plus élevés du massif ; on voit que celle-ci passe clairement sur la calotte du mont Blanc. Or, la cartographie établie en 1865 par le capitaine Mieulet, cartographe de l’armée Française, redessine la frontière en incluant les sommets du Mont-Blanc comme appartenance Française.”

Mais sur ces vérités établies, Pascal Pain va plus loin et repositionne l’importance de la Suisse dans ce conflit :

“Aucunement il n’est fait mention de la Suisse dans ce conflit sur l’appartenance du sommet du Mont-Blanc. Or, la Suisse était sous domination Française à partir de 1789 jusqu’à 1815.

[…]

Durant cette période, le général Blonde, un cartographe Suisse, a beaucoup travaillé dans les massifs Alpins au service de Napoléon Bonaparte. Et dans son travail de recherche historique, il a réussi à prouver que le Mont-Blanc était occupé par des Suisses durant près de 6 siècles avant qu’ils ne soient délogés.

En effet, en août 1291, un groupe de 15 alpinistes Suisses des vallées d’Uri, de Schwytz et de Nidwald est parti explorer le massif des Alpes. Arrivés au sommet du Mont-Blanc, ils ont décidé de l’occuper en construisant des igloos à quelques centaines de mètres en contrebas. Forts de cette installation, ils ont réussi à attirer d’autres alpinistes Suisses et ont occupé les lieux durant près de 600 ans, au moins jusqu’en 1865, date à laquelle la carte topographique du capitaine Mieulet est établie. 

Il semblerait qu’à cette date les forces militaires françaises qui avaient établi les repérages pour le capitaine-cartographe Mieulet aient délogé la centaine de Suisse qui occupait les lieux, sans en faire aucune mention dans les documents officiels. On en trouve trace uniquement dans une correspondance privée du général Blonde.

D’après les Traités internationaux en vigueur à l’époque, tout territoire occupé par une population pendant au moins 101 ans sans qu’elle ne soit délogée, devenait propriété de ses occupants.

Le Mont-Blanc était donc devenu Suisse !”

Outre ces faits révélés par le géographe Pascal Pain, celui-ci justifie toute la pertinence d’un octroi de la propriété du sommet du Mont-Blanc à la Suisse :

“Il serait idéal que le Mont Blanc, en particulier son sommet, revienne à la Suisse. Au-delà de mes découvertes, il ne faut pas oublier que la Suisse est un pays neutre depuis 1815, ainsi c’est avec une diplomatie totale que la Suisse aurait l’honneur de gérer ce plus haut sommet d’Europe. Le conflit serait de fait éteint et tout le monde serait content !”

Alors, Français et Italiens, êtes-vous prêts à restituer le Mont-Blanc à la Suisse ?

Le conflit de la frontière dessinée par le Mont-Blanc va-t-il être résolu ou au contraire va-t-il devenir un conflit franco-helvético-italien ?

 

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Politique

La Bourgogne ne veut plus de la vache Montbéliarde !

POLITIQUE – Suite à la fusion des régions, un mouvement Bourguignon, jaloux de se voir partager certains pouvoirs avec la Franche-Comté, a fait savoir qu’il boycotterait la vache Montbéliarde, symbole selon eux de l’ “impérialisme Comtois”.

Vache Montbéliarde indésirable en Bourgogne
La vache Montbéliarde, indésirable en Bourgogne ?

Le 24 juin 2016, les élus de Bourgogne et de Franche-Comté ont discuté notamment de la répartition des rôles entre la Bourgogne et la Franche-Comté. Alors que Dijon a bénéficié de 17 directions régionales contre 12 pour Besançon, un mouvement de plusieurs milliers de Bourguignons s’insurge que la direction des “Relations avec les citoyens” soit conférée à Besançon. Selon Marcelle Patrou-Latchi, présidente du mouvement “Bourgogne avant tout” :

“Il est inadmissible que la Franche-Comté hérite de la direction des ‘Relations avec les Citoyens’. Les Francs-Comtois ne sont pas réputés pour leur accueil chaleureux, ils ne pensent qu’à la cancoillotte, au Comté et à la saucisse de Morteau ou de Montbéliard. Comment peut-on leur confier les relations avec les citoyens de Franche-Comté et surtout de Bourgogne !? Ils ne sont pas faits pour communiquer ailleurs qu’en Franche-Comté.”

Robert Chais, plus connu sous le nom de “Roby”, est un conseiller réputé de certains représentants politiques. Lui aussi ne comprend pas ce choix. Il nous confie alors avoir conseillé aux élus Bourguignons de boycotter la vache Montbéliarde :

“La direction de la ‘Relation avec les citoyens’ en Franche-Comté ? Intolérable ! C’est pourquoi j’ai réfléchi à une solution pour éviter une crise politique grave en Bourgogne-Franche-Comté. Il faut savoir que toute décision politique doit se baser sur des faits concrets. Je me suis donc basé sur les 2 faits suivants : tout d’abord, la Bourgogne a hérité de la direction “Agriculture et forêt”. Ensuite, la vache Montbéliarde est le symbole de l’impérialisme Franc-Comtois comme on peut le lire dans tous les documents sur l’Histoire de la Franche-Comté. Alors, j’ai suggéré aux élus Bourguignons de boycotter la vache Montbéliarde en Bourgogne, c’est-à-dire que plus aucun éleveur de Bourgogne n’ait de vaches de race Montbéliarde ! Et là, les Francs-Comtois vont vite comprendre qu’ils ne sont plus chez eux en Bourgogne ! Ils vont moins faire les marioles !”

Face à ce mouvement de rébellion bourguignon qui agite les plus hautes sphères politiques, les Francs-Comtois réagissent, à l’instar de Didier Contu, éleveur de Montbéliardes que nous avons rencontré dans le Haut-Doubs :

“S’ils veulent plus d’la Montbé’, j’bouffrai plus d’escargots.”

Et de compléter non sans ironie :

“J’aurais bien boycotté l’vin de Bourgogne, mais pour un Franc-Comtois, c’est comme si on lui coupait l’eau au robinet !”

Une solution consensuelle semble donc très difficile à trouver …