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Les vendeurs de cannabis peuvent se faire labelliser “Agriculture Biologique (AB)”

CANNABIS / BIO – Le Ministère de l’Agriculture, en partenariat avec les laboratoires scientifiques de la Police Nationale, proposent à tous les vendeurs de cannabis de faire labelliser leur production “Agriculture Biologique”.

Les producteurs de cannabis peuvent désormais demander le label bio “Agriculture Biologique” pour leur production de cannabis.

Après le dispositif “Stupisfaction” qui consiste à faire tester la qualité / néfasteté de ses drogues, la Police Nationale propose un nouveau service gratuit pour tous les producteurs / vendeurs de cannabis : la labellisation “Agriculture Biologique” (Label AB) de leur production.

Le Ministère de l’Agriculture a ainsi décidé de s’associer avec les laboratoires scientifiques de la Police Nationale pour proposer la labellisation AB (Agriculture Biologique) à certains plants de cannabis :

Le label “Agriculture Biologique (label AB)” est un label officiel qui garantit que le produit est composé au minimum de 95 % d’ingrédients issus d’un mode de production biologique. Il est délivré par le Ministère de l’Agriculture en accord avec le label biologique européen.

De par notre expertise, ce sont nos laboratoires qui sont chargés de déterminer si les critères de labellisation des plants de cannabis sont atteints.

Nicole Ambot, Lt de Police – Cheffe de projet “Labellisation Cannabis” au Laboratoire de Police Scientifique National.

Le label “Agriculture Biologique” est obtenable par tous les producteurs, petits ou grands. Il est délivré gratuitement :

Le Ministère de l’Agriculture et le Ministère de l’Intérieur ont décidé de travailler en partenariat direct pour identifier, labelliser et ainsi valoriser tous les producteurs de cannabis, modestes comme importants, avec ce label AB. Afin que tous les producteurs puissent se faire labelliser, le label Agriculture Biologique est délivré gratuitement, sous réserve de répondre au cahier des charges.

Pour prétendre à ce label AB, les producteurs et vendeurs de cannabis sont invités à se faire connaître auprès de n’importe quel commissariat de police de France en demandant le formulaire : “Labellisation Bio de production de cannabis”.


Rappels : Les drogues sont néfastes pour la santé. L'usage et le trafic de stupéfiants sont prohibés par la loi.
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Arrosée uniquement avec du vin, une plante ivre “attaque” dès qu’on s’en approche !

IVRESSE / PLANTE – Une plante ivre “attaque” quiconque s’en approche. Cela est le fruit d’une “expérience scientifique” d’un jardinier amateur Vosgien, Lucien, qui ne l’arrose qu’avec du vin blanc …

Lucien G., habitant Mirecourt (Vosges), adore faire des “expériences scientifiques”. Il a pris pour habitude d’arroser une de ses plantes uniquement avec du vin blanc :

J’ai pas eu la chance de faire de longues études, pourtant je m’intéresse à plein de choses. Et j’ai décidé de faire une expérience avec une de mes plantes : ne pas lui donner d’eau et ne lui donner que du vin blanc …

Hé bien vous me croirez si vous voulez, mais elle a l’alcool mauvais ma plante : dès qu’on s’en approche, elle attaque cette garce !

Lucien G., jardinier amateur propriétaire d’une plante ivre qui “attaque”

En effet, cette plante a un comportement étrange puisqu’elle se met à bouger dès qu’on s’en approche.

Nous avons montré la vidéo de cette plante qui “attaque” à une botaniste, Marie-Jeanne Pell, pour comprendre ce phénomène d'”ivresse de la plante” :

Dans cette vidéo, on constate que la plante réagit à l’approche d’une main, en s’excitant violemment. Contrairement aux idées reçues, les plantes perçoivent leur environnement et s’y adaptent par diverses formes de mouvements. Normalement, on ne voit pas les mouvements de la plante, car ils sont extrêmement peu étendus et lents.

Mais ici, la plante étant enivrée puisqu’elle n’absorbe pas d’eau mais que du vin, elle sur-réagit. C’est un réflexe d’auto-défense : se sentant agressée, elle essaie de se défendre en attaquant son assaillant ! En d’autres termes, l’alcool qu’elle a ingurgité la sur-stimule !

Marie-Jeanne Pell, botaniste

L’ivresse de la plante est donc une réalité. Toutefois, il est rare que les plantes survivent :

Normalement, les plantes arrosées uniquement avec de l’alcool meurent d’un coma éthylique. Ce cas est le seul que nous connaissions. Nous allons donc étudier ce cas atypique, en laboratoire, si M. G. l’accepte, bien évidemment.

M-J Pell

La plante de Lucien G. semble donc bien supporter l’alcool. Toutefois, il lui sera impossible de la sevrer :

La plante est désormais alcoolique chronique. La plante s’est en effet adaptée à assimiler du vin à la place de l’eau. Cela signifie que s’il cesse de lui donner du vin, elle mourra.

M-J Pell

Lucien G. nous a assuré qu’il allait prêter sa plante à l’équipe de botaniste dirigée par Marie-Jeanne Pell afin qu’ils étudient le cas étrange de cette plante ivre qui “attaque” quiconque l’approche. Il nous informe qu’il mène également d’autres “expériences scientifiques” … Mais chut ! c’est un secret !

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Dionée attrape-mouche : la célèbre plante carnivore est devenue une plante vegan !

BOTANIQUE / DÉCOUVERTE SCIENTIFIQUE : PLANTE VEGAN – Il est dans l’air du temps d’être vegan. 2 célèbres botanistes ont découvert que la célèbre plante carnivore “Dionée attrape-mouche” (Dionaea muscipula) était devenue une plante vegan !

Découverte de 2 célèbres botanistes britanniques, Arthur Ellis et John Dobbs : Dionaea muscipula (dionée attrape-mouche) est la première plante carnivore à être devenue… vegan !

Etre vegan n’est pas réservé aux humains. 2 célèbres botanistes britanniques, Arthur Ellis et John Dobbs, viennent de découvrir que la dionée attrape-mouche, la plus célèbre et la plus vendue des plantes carnivores, était devenue une plante vegan :

Nous avons constaté que Dionaea muscipula rejetait systématiquement tous les insectes qui sombraient dans son piège. En revanche, lorsqu’on lui soumettait des nutriments d’origine végétale, on a constaté que Dionaea muscipula en assimilait l’intégralité.

J. Dobbs & A. Ellis. Dionaea muscipula : from a carnivorous plant to a vegan plant. In : “Nature & Science n°2020-16” (2020/04/27)

Suite à ces observations, un protocole strict a été suivi afin de valider scientifiquement la découverte. Les résultats de la recherche sont désormais officiels :

La Dionée attrape-mouche n’est plus une plante carnivore. Elle a évolué pour devenir une plante vegan.

J. Dobbs & A. Ellis. Dionaea muscipula : from a carnivorous plant to a vegan plant. In : “Nature & Science n°2020-16” (2020/04/27)

Tous les résultats scientifiques ont été validés par des experts botanistes et viennent d’être publiés par la fameuse revue scientifique américaine “Nature & Science”, gage de sérieux.

Désormais, lorsque vous voudrez acheter une dionée attrape-mouche, ne demandez plus une plante carnivore, mais une plante vegan !

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Pour lutter contre le réchauffement climatique l’ONU (COP 26) recommande aux humains de moins respirer

LUTTE CONTRE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE / COP 26 – Dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, l’ONU, dans ses travaux préparatoires de la COP 26, préconise de moins respirer.

Affiche de la COP-26 promouvant le “Respirer Moins”, pour lutter contre le réchauffement climatique

Les travaux préparatoires à la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (UNFCCC COP 26), qui se tiendra du 9 au 19 novembre 2020 à Glasgow, en Écosse, préconisent quelques actions citoyennes simples pour limiter les gaz à effet de serre, à l’origine du réchauffement climatique. Parmi ces actions à la portée de tout le monde, l’ONU propose de moins respirer :

Le dioxyde de carbone (CO2) peut mettre 200 ans à être évacué après son émission. Or, nous produisons toujours plus de CO2. On estime que d’ici un peu plus d’un siècle il y aura autant de CO2 dans l’atmosphère que lors du dernier réchauffement climatique majeur !

Extrait du communiqué “Travaux préparatoires à la COP 26”. 27 février 2020.

Ainsi, la COP26 va axer une grande partie de ses travaux sur la production humaine de CO2 :

On se concentrait jusqu’alors essentiellement sur la cause industrielle, au sens large, du réchauffement climatique. Or, force est de constater que l’humain génère une quantité de CO2 très importante. Il peut donc agir en en produisant moins.

Il existe ainsi une manière simple pour moins polluer. Méthode que chacun peut mettre en oeuvre au quotidien. Tous ensemble, oeuvrons contre le changement climatique. Et comme le dit le slogan : “Respirons moins aujourd’hui pour respirer mieux demain !”

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Les rats désormais sur la liste des espèces protégées en France

ÉCOLOGIE / FAUNE – Les rats font leur entrée sur la liste officielle des espèces protégées en France car ils constituent un “formidable sujet d’étude” selon l’association écologiste “Rats, Vivons !”.

Le rat, jusqu’alors considéré comme une espèce nuisible, fait son entrée sur la liste officielle des espèces protégées en France.

A la demande de l’association écologiste “Rats, Vivons !”, les rats viennent d’entrer sur la liste officielle des espèces protégées en France.

Plusieurs raisons expliquent cette demande de protection du rat, nous explique Sandra Geffroy, présidente de l’association “Rats, Vivons !” :

“Le rat est un formidable objet d’étude, qu’il convient à ce titre de protéger :

  1. Le rat est un vecteur de maladie, soit en tant que réservoir du microbe (bactérie, virus ou parasite), soit comme hôte intermédiaire dans le cycle du parasite (qui va se transformer dans l’organisme du rat et y devenir infectieux pour l’homme). L’idée est de protéger le rat pour pouvoir étudier les diverses maladies, mener des expériences, étudier le développement d’une épidémie puis la pandémie, etc. ;
  2. Le rat s’attaque aux réserves alimentaires, qu’il souille. Cela permet d’étudier comment l’écosystème évolue afin de trouver des idées à transférer sur d’autres problématiques socio-environnementales (sécheresse, famine, etc.) ;
  3. Le rat détruit certaines espèces. Cela permet d’étudier comment la faune et la flore s’adaptent à un tel “nuisible” ;
  4. Le rat a une faculté à se reproduire de manière exponentielle et à proliférer. L’étude de l’évolution de la population de rat nous permet de faire des projections sur l’évolution de la population humaine.”

Le rat restera sur la liste des espèces protégées pour une durée minimale de 10 ans.

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Crise sécheresse : des habitants de Charente arrosent les cours d’eau asséchés

SÉCHERESSE – 38 départements sont en état de “crise sécheresse” depuis le 7 août, dont la Charente. Pour contrer l’assèchement des cours d’eau, des habitants de ce département, le collectif “Eau 16”, ont décidé de les arroser.

Le collectif de citoyens de Charente “Eau 16” a trouvé la solution pour éviter l’assèchement des cours d’eau : les arroser !

Des mesures de restrictions d’eau sont en vigueur dans 81 départements. Parmi ceux-ci, 38 sont en état de “crise sécheresse”. Dans ces départements, seuls les prélèvements d’usages prioritaires sont autorisés (santé, sécurité civile, eau potable, salubrité).

Aussi, les cours d’eau sont asséchés. C’est pourquoi un collectif d’habitants de Charente, le collectif “Eau 16”, a décidé de tirer un maximum de tuyaux depuis leurs habitations pour arroser ces rivières, ruisseaux et fleuves en manque d’eau :

Pour contrer la sécheresse, il y a une chose simple à faire : arroser les cours d’eau. Ainsi, ils se remplissent, on peut consommer à nouveau de l’eau et ainsi de suite, d’autant plus qu’il nous suffit d’ouvrir nos robinets.

On ne comprend d’ailleurs pas d’où vient ce problème de sécheresse alors que la solution est là, sous nos mains !

Et si la distance est trop importante pour tirer un tuyau, les habitants remplissent des arrosoirs et autres récipients :

Tout le monde peut contribuer en emmenant de l’eau comme il peut : seaux, arrosoirs, bidons, bouteilles, jerricans, etc. Même les petits peuvent contribuer. Et toutes les eaux sont les bienvenues, aussi bien l’eau du robinet que l’eau en bouteille !

Ces éco-citoyens déclarent s’inscrire dans le “premier programme écologique de sauvegarde des cours d’eau” :

C’est une démarche écologique très importante pour préserver notre planète ! Ce programme de préservation des cours d’eau, en irriguant manuellement, est essentiel. Nous sommes les garants de la préservation du circuit de l’eau. Sans prétention, nous avons développé le premier programme écologique citoyen de sauvegarde des cours d’eau.

Il est vrai qu’il est surprenant que personne n’ait pensé avant que pour éviter l’assèchement des cours d’eau, on pouvait les arroser !

Pour l’instant, seul ce collectif d’habitants de Charente, “Eau 16”, a mis en place un procédé de sauvegarde des cours d’eau. Ce procédé va-t-il s’étendre sur les autres territoires en crise sécheresse ?

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#fillthebottle : moins de mégots, explosion de la vente de cigarettes

DÉFI ÉCOLOGIQUE – Le défi #fillthebottle, sur les réseaux sociaux, consiste à ramasser des mégots de cigarettes pour remplir une bouteille. Aussi, pour être le meilleur ramasseur, certains n’hésitent pas à fumer davantage de cigarettes.

Défi écologique #fillthebottle : pour gagner des followers, ils fument davantage

Fill the bottle est un défi écologique né sur les réseaux sociaux qui présente un intérêt certain : ramasser tous les mégots de cigarettes qui traînent et remplir des bouteilles. Outre le nettoyage, cela permet de prendre conscience de la très importante pollution générée par ces mégots.

Mais qui dit “défi” dit “gagner” pour certains. La consommation et la vente de cigarettes ont donc explosé pour “remporter” le challenge, à savoir battre le record du nombre de mégots ramassés.

Thomas, 19 ans, est l’un de ces nouveaux fumeurs :

#fillthebottle c’est génial, ça permet de gagner plein de followers. Alors, plutôt que de passer plusieurs heures à ramasser des mégots dans les rues, il est beaucoup plus malin de jeter ses propres mégots.

J’ai donc décidé de me mettre à fumer pour avoir plein de mégots à mettre dans ma bouteille. J’ai demandé à mes copains de faire de même. En une journée, on remplit 3 bouteilles, à 5.

Thomas, participant au #fillthebottle challenge

Thomas ne s’arrête pas là, car il veut aller toujours plus loin dans ce défi :

On va essayer de fumer plus pour remplir toujours plus de bouteilles et devenir les stars d’instagram !

#fillthebottle devrait se transformer pour certains en #fillthebrain !

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Pour économiser l’eau, les industriels de l’embouteillage de l’eau obligés d’utiliser des éco-mousseurs

ÉCOLOGIE / EAU – Face aux risques de pénuries d’eau, et dans un souci de préservation de cette ressource vitale, les industriels de l’embouteillage de l’eau seront contraints, dès janvier 2020, d’utiliser des éco-mousseurs lors de leurs prélèvements.

Les industriels de l’embouteillage d’eau obligés d’utiliser des éco-mousseurs sur leurs stations de pompage au 1er janvier 2020.

L’eau est un bien précieux qu’il convient de préserver, a fortiori en ces temps de dérèglement climatique où les nappes phréatiques ont du mal à se régénérer. Le risque de pénuries d’eau est réel et n’épargne personne.

Les économies d’eau, la préservation de cette ressource naturelle vitale, sont donc l’affaire de tous, dans une perspective globale de développement durable. Les citoyens sont déjà bien sensibilisés à cette problématique et la plupart d’entre eux met déjà en oeuvre de nombreuses stratégies (attitudes, équipements, autorégulation, etc.) pour économiser l’eau.

Mais l’eau n’est pas l’affaire que des citoyens. Le Ministère de l’Economie impose donc aux industriels de l’embouteillage de l’eau de mettre en place des éco-mousseurs sur leurs stations de pompage d’eau dès janvier 2020 :

A compter du 1er janvier 2020, les éco-mousseurs seront obligatoires sur les pompes de prélèvement de l’eau de tous les industriels de l’embouteillage.

Ainsi, chaque prélèvement d’eau sera moins important. Pour compenser le manque à gagner, les industriels pourront développer d’autres stations de pompage :

Face à l’enjeu économique, les industriels pourront bien évidemment mettre en place d’autres stations de pompage pour compenser le manque d’eau prélevé à cause des éco-mousseurs.

Cette décision, qui mêle écologie, économie et social s’inscrit donc vraiment dans une perspective de développement durable, au sens originel de la notion.

L’eau est vitale, économisons-la tous ensemble !

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Pour protéger l’environnement, ils ont décidé de ne plus péter

ENVIRONNEMENT / NO FARTS – Qui sont ces jeunes activistes écologistes qui ont décidé de ne plus péter pour ne plus polluer à cause du méthane et du dioxyde de carbone produits par les flatulences ? Reportage sur le mouvement “No Farts”.

Mouvement écologiste “No Farts” : ils ont décidé de ne plus péter pour préserver l’environnement.

On constate que de plus en plus de jeunes rejoignent le mouvement “No Farts” (“Pas de pets” en français). Ce mouvement, né aux Etats-Unis en 2018 et qui rassemble dans ce pays pas moins de 150.000 activistes, commence à se développer en France. On dénombre actuellement près de 1.000 “No Farts”. Guillaume, 22 ans, est l’un d’eux et il nous explique comment il a rejoint le mouvement :

Depuis que je suis ado. je me soucie de l’environnement. J’ai étudié toutes les possibilités pour limiter mon empreinte carbone. J’ai découvert le mouvement “No farts” sur Youtube. J’ai tout de suite adhéré à l’idée : ne plus péter pour limiter la pollution. C’est simple, à la portée de tout le monde et surtout, c’est bon pour la planète !

En effet, le principe des “No Farts” consiste à ne plus émettre la moindre flatulence (qu’on appelle pets lorsqu’ils sont bruyants ou vesses lorsqu’ils sont silencieux). Les envies de péter sont alors retenues. Grâce à cela, plus de méthane ni de dioxyde de carbone produits !

Toutefois, est-ce si facile de devenir un non péteur ? Selon Guillaume, on prend vite l’habitude de ne plus péter:

Au début c’est dur de se retenir. Il m’est arrivé quelques accidents à force de me retenir, je vous épargne les détails (sic). D’ailleurs, on est tous passés par là. Mais petit à petit, on s’habitue. En fait, je suis convaincu que le pet est une mode et rien de plus. Ne pas péter est à la portée de tout le monde, même les gros péteurs, je vous l’assure !

Guillaume se dit très engagé dans la cause et se décrit comme un véritable activiste écologiste :

Je milite en faveur du “No Farts”. Et quand je rencontre des personnes qui pètent pour amuser la galerie, je leur rappelle que cela n’a rien de drôle ; qu’ils sont en train de détruire la planète inutilement, tout ça pour s’amuser. Je rappelle en permanence l’intérêt de préserver l’environnement. […] Oui, je pense être un activiste écologiste comme un autre. Il n’y a pas de sous-mouvement. Le mouvement “No Farts” est très important et je suis fier de le revendiquer ainsi que de militer quotidiennement contre le pet !

Toutefois, d’un point de vue médical, retenir ses flatulences n’est pas du tout conseillé, comme l’explique le docteur Erika Degas :

Le pet est libérateur. Péter un bon coup, c’est bon pour la santé. Je pourrais vous dire la maxime suivante : ‘retenir ses flatulences, c’est le risque de finir aux urgences !’

Ainsi, entre écologie et santé, à vous de choisir si vous allez continuer à péter ou non …

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Environnement : des pistes cyclables sur les autoroutes (projet VCA)

LOI MOBILITÉ / PROJET VCA – Une annexe à la loi mobilité, le projet VCA, vise à développer les pistes cyclables autoroutières, c’est-à-dire des voies cyclables qui longeront les 12.000 km d’autoroutes françaises

Prendre l’autoroute à vélo ? C’est bientôt possible ! 100% des autoroutes seront équipées de voies cyclables autoroutières (VCA) d’ici 2025 !

Le projet de loi Mobilités, porté par le Ministère de la Transition écologique et solidaire, avait pour finalité d’améliorer concrètement les déplacements au quotidien pour tous les citoyens et dans tous les territoires. Il a été voté à une très large majorité le 18 juin dernier.

Une annexe à ce projet de loi vient de faire son apparition : développer des pistes cyclables le long des 12.000 km d’autoroutes que compte la métropole : c’est le projet VCA (Voies Cyclables Autoroutières).

Nous disposons d’un vaste réseau d’infrastructures autoroutières qu’il convient de développer dans un souci écologique. C’est pourquoi il nous a paru logique de développer des pistes cyclables tout au long des autoroutes, projet que nous avons nommé VCA pour Voies Cyclables Autoroutières. Ainsi, pour partir en vacances ou faire de plus ou moins longues distances, on pourra désormais prendre son vélo ! C’est révolutionnaire, écologique et économique !

Hervé Lotruth, rapporteur de la Loi Mobilité

Ces pistes cyclables autoroutières seront accessibles gratuitement :

Contrairement aux véhicules motorisés qui empruntent le réseau autoroutier, les pistes cyclables VCA seront, elles, totalement gratuites.

L’ensemble des autoroutes devront être équipées de ces pistes cyclables VCA d’ici juin 2025, en partenariat avec les sociétés d’autoroute :

Plusieurs contrats de concessions autoroutières vont s’achever dans les années à venir. Aussi, nous négocions avec ces sociétés concessionnaires pour qu’elles développent rapidement ces infrastructures de voies cyclables autoroutières. Si ce n’est pas le cas, elles risquent de perdre la concession qui sera alors récupérée par l’Etat.

Ainsi, c’est gagnant-gagnant : si elles développent les pistes cyclables VCA dans les délais, elles remporteront la concession pour plusieurs dizaines d’années supplémentaires ! Il leur sera également possible d’augmenter les tarifs des péages des véhicules motorisés pour financer ces équipements.

Dans quelques années, on pourra partir en vacances à vélo, en toute sécurité et surtout gratuitement et très rapidement grâce aux pistes cyclables autoroutières VCA !