OUI, le port du masque est obligatoire pour les personnes décédées qui reposent dans une chambre funéraire.
Alors que le port du masque est bien obligatoire pour tous les personnels et visiteurs des chambres funéraires, de nombreux internautes nous ont demandé si le port du masque était également obligatoire pour les personnes défuntes :
Une personne défunte doit-elle porter un masque lorsqu’elle repose en chambre funéraire ?
La réponse est : OUI.
Le décret n° 2020-884 du 17 juillet 2020 est clair : le port du masque « grand public » est obligatoire en lieux clos. Les funérariums étant des lieux clos accueillant du public, le port du masque y est donc bien obligatoire.
Ce décret ne faisant pas de distinction entre les personnes en vie et les personnes décédées, le port du masque est donc bien obligatoire pour tout le monde, y compris pour les personnes décédées.
Ainsi, si un de vos proches défunts repose dans une chambre funéraire, n’oubliez pas de lui mettre un masque. A défaut, le défunt pourrait écoper d’une amende de 135€ pour non-port du masque !
ANNIVERSAIRE TRAGIQUE / PORT DU MASQUE – Thomas fêtait ses 25 ans. Malheureusement, en tentant en vain de souffler ses bougies à cause du masque qu’il portait, il est mort d’étouffement.
Un terrible drame a secoué une famille du Bourbonnais. Thomas, jeune homme de 25 ans, fêtait son anniversaire. Alors que celui-ci se déroulait à merveille, est venu le temps de souffler les bougies sur le gâteau. Port du masque oblige, Thomas ne parvenait pas à éteindre les bougies. Pour ne pas décevoir sa famille, il a insisté. Jusqu’à souffrir d’une détresse respiratoire qui l’a conduit au décès :
Nous portions tous le masque car nous craignons le covid, d’autant plus que les grands-parents de Thomas et de sa petite-amie étaient présents. Au moment de souffler ses bougies, Thomas a voulu garder son masque. Mais il a insisté tant qu’est plus, qu’il a fini par s’effondrer.
Marianne, mère de Thomas
Thomas n’a pas pu être réanimé. Les autorités sanitaires lancent un avertissement : ne soufflez plus vos bougies d’anniversaire lorsque vous portez un masque !
Les parents de Thomas ont quant à eux lancé une pétition afin qu’une dérogation au port du masque soit tolérée lorsque des personnes soufflent leurs bougies d’anniversaire.
MOUSTIQUES / DRAME – Yves, 45 ans, est décédé des suites d’une attaque d’un nid de moustiques. Plus de 2000 moustiques ont suffi à le vider d’une grande partie de son sang, entraînant sa mort.
Yves, 45 ans, était un paisible militaire en retraite. Alors qu’il s’installe avec sa femme et son Labrador à côté du lac attenant à sa propriété, il repère un nid de moustiques. Fort de son expérience de militaire, il décide de détruire ce nid de moustiques dont le bourdonnement est assourdissant. Malheureusement, il se retrouve attaqué par plus de 2000 moustiques sous les yeux effarés de sa femme. Yves, victime d’une exsanguination (trop de sang perdu, pompé par les moustiques), mourra dans les 5 minutes.
L’Observatoire Vigi-Moustiques tient à rappeler qu’il faut être très vigilant face aux moustiques puisqu’ils peuvent occasionner la mort par exsanguination :
Dès qu’on entend un moustique, une horde se cache pas très loin. Il faut impérativement se cacher, sous peine d’être attaqué par la meute de moustiques et de risquer la mort !
Observatoire Vigi-Moustiques
Il est estimé que les moustiques représentent le 3ème risque d’extinction de l’humanité.
DRAME – Mathias, étudiant en 5ème année de médecine à l’Université de Genève, s’est donné la mort vendredi 20 septembre. Il souhaitait s’exercer à la réanimation sur lui-même.
Mathias était en 5ème année de médecine à l’Université de Genève. Il s’était spécialisé en anesthésie-réanimation.
Soucieux de parfaire sa technique en réanimation, il a décidé de s’entraîner sur lui-même. Pour cela, il s’est donné la mort par asphyxie, dans le but de pouvoir se réanimer lui-même.
Mathias était un très bon élément de notre équipe. Il n’hésitait pas à faire de nombreuses heures, beaucoup plus que le mi-temps et les gardes qu’on attendait de lui. Il expérimentait beaucoup et souhaitait développer de nouvelles techniques de réanimation plus efficaces, pour atténuer autant que possible les séquelles consécutives à un accident ou une post-opération où le patient a été inconscient.
[…]
Je ne suis pas surpris qu’il ait effectué une expérience sur lui-même. Il disait toujours : « Qui mieux que soi-même peut servir de cobaye ? ».
Jean-Denis Decourcelles, Maître de Stage des Universités, à Genève
Toutefois, le décès de Mathias n’aura pas été inutile :
Nous allons utiliser chacune des parties de son corps lors de nos travaux pratiques.
Jean-Denis Decourcelles
Consécutivement à ce drame, la FUMS (Fédération des Universités de Médecine Suisses) a décidé de lancer une campagne d’information sans précédent :
Il y a un manque d’information flagrant auprès des futurs médecins concernant le fait qu’ils ne doivent pas pratiquer l’autoexpérimentation. C’est pourquoi nous allons mettre en place une importante campagne de communication sur le thème « Moi, futur médecin, je ne suis pas mon propre Cobaye »
Service de communication de la FUMS, Fédération des Universités de Médecine Suisses.
Cette campagne d’information durera 9 mois, d’octobre 2019 à juin 2020 dans toutes les Universités de médecine de Suisse.
NANTES / MORT DE STEVE – Après que le rapport de l’IGPN a dédouané la police dans la mort de Steve, l’IGA qui a été saisie par le Premier Ministre préconise de détourner le cours de la Loire.
Mardi 30 juillet, le corps de Steve, disparu suite à une intervention policière lors de la fête de la Musique, a été retrouvé dans la Loire. Le rapport de l’IGPN, remis au Premier Ministre le 16 juillet et rendu public le 30, conclut que :
il ne peut être établi de lien entre l’intervention des forces de police et la disparition de Steve
Déclaration du Premier Ministre à la Presse, mardi 30 juillet, d’après le rapport de l’IGPN
Dans cette même déclaration à la presse, le Premier Ministre a fait savoir qu’il saisissait l’IGA, Inspection Générale de l’Administration, pour déterminer les responsabilités de ce drame : police, Préfecture, mairie, etc. ?
Quelques heures seulement après avoir été saisie, l’IGA émet déjà une première recommandation qu’elle définit comme « essentielle » :
Il faut impérativement détourner le cours de la Loire afin qu’elle ne traverse plus Nantes. Ainsi, il n’y aura plus aucun drame.
Préconisation de l’IGA
La Mairie de Nantes va-t-elle suivre ces recommandations et détourner la Loire ? Contactée, elle n’a pas souhaité répondre à nos questions.
DRAME – Eric T., 38 ans, est décédé en changeant ses draps, alors qu’il tentait de mettre sa housse de couette ; il s’est étouffé en enfilant la couette dans le drap-housse.
Eric T., Dunkerquois de 38 ans, est décédé en changeant ses draps. Il tentait d’enfiler sa housse de couette : rentrant dans son drap-housse, il se serait semble-t-il coincé dedans. Ne pouvant pas ressortir, il se serait asphyxié dans le drap-housse. C’est sa femme, Caroline, qui a découvert le corps, en rentrant du travail :
« Lorsque je suis parti au travail, j’ai demandé à mon mari de changer les draps. Il était 8 heures et mon mari est allé dans la chambre. C’est le soir, en revenant, que j’ai découvert mon mari inanimé, dans le drap-housse qui l’entourait. C’était horrible de le voir ainsi coincé dans le drap. Au début, j’ai cru que c’était une farce … puis quand j’ai constaté que c’était vraiment son corps et qu’il ne respirait plus, j’ai paniqué. » a-t-elle expliqué aux policiers.
Selon sa femme, Eric T. avait toujours eu du mal à faire le lit :
« Mon mari a toujours eu du mal à mettre la housse de couette … Comme beaucoup d’hommes d’ailleurs ! Mais de là à se coincer dans le drap-housse !
Quelle idée d’enfiler une housse de couette en entrant dans le drap-housse ! Si j’avais su qu’il était à ce point incapable de mettre une housse de couette, je ne l’aurais jamais laissé faire » s’est-elle exclamée, en larmes, aux policiers.
Selon le médecin légiste chargé de l’enquête, la victime a vraisemblablement agonisé pendant près de 5 heures :
« Pour étouffer dans une housse de couette de manière accidentelle, il faut nécessairement être coincé pendant de nombreuses heures car l’oxygène parvient toujours à se frayer un chemin par les différents interstices du textile. Ainsi, on suppose que la victime s’est coincée dans le drap-housse, s’est débattue pendant plusieurs heures tout en développant un stress qui a entraîné un manque d’oxygène progressif. L’insuffisance respiratoire s’est transformée en asphyxie qui l’a conduit jusqu’à la mort. On estime que le décès est survenu entre 4 et 6 heures après qu’il s’est coincé. Il a du terriblement souffrir en agonisant ainsi pendant des heures ».
Depuis cet accident, les pouvoirs publics envisagent d’obliger les entreprises textiles à informer les acheteurs des dangers que présentent les draps-housses. Ces entreprises textiles, afin de se prémunir de toute action judiciaire à leur encontre, vont probablement interdire aux personnes qui achètent des draps-housses d’entrer dedans pour bien mettre sa couette.
Ainsi, il faudra obligatoirement une véritable technique sans danger pour mettre sa couette dans sa housse de couette étant donné qu’entrer dans le drap-housse deviendra interdit. Ou alors, certains ne changeront plus leur draps-housse !
DECES EN 2016 – De nombreuses célébrités sont décédées en 2016. Sur les réseaux sociaux notamment, nombreux sont ceux qui souhaitent que cette année s’arrête … Croyant que les morts de célébrités (voire les décès en général) vont également s’arrêter en 2017 … Ou comment les êtres humains se rendent-ils compte qu’ils sont des êtres mortels.
De très nombreuses célébrités sont décédées durant l’année 2016. Citons par ordre antéchronologique (et sans prétention d’exhaustivité) : Claude Gensac, Carrie Fisher, George Michael, John Glenn, Fidel Castro, David Hamilton, Sonia Rykiel, Siné, Michel Galabru, Michel Delpech, etc.
Tous ces décès de célébrités ont suscité un vif émoi, ainsi qu’en témoignent les nombreux messages sur les réseaux sociaux et l’écho de ces morts multiples dans les médias notamment. Étrangement, nombreux sont ceux qui souhaitent que 2016 se termine … Pensant sans doute qu’en 2017 il n’y aura plus de décès. En fait, il s’agit d’une rare prise de conscience collective que l’humain est un être … mortel. Didier Narcisse, ethno-sociologue, nous explique ces réactions :
« L’Homme ne pense à la mort que lorsqu’il y est confronté et a tendance à l’ ‘inhiber’ lorsque cela ne le concerne plus. Cela est un processus naturel de survie. Aussi, lorsque des stars décèdent, c’est comme s’il s’agissait d’un membre de leur famille, et les gens y sont donc très sensibles. Par ailleurs, étant donné que les morts de célébrités ne cessent de se cumuler sur cette année 2016, les humains se rendent compte que la mort frappe chaque jour et cela les affecte beaucoup. Ils n’ont plus le temps de respirer et de songer à la beauté de la vie, qu’une mort de célébrité survient. «
S’il faut le décès de stars pour se rendre compte que la vie se termine un jour, peut-être faudrait-il rappeler que chaque jour des millions de personnes meurent de maladies, dans des conflits divers, dans des accidents, etc. Pourtant, les médias ne manquent pas de marteler le message … Mais étant donné que ces personnes qui décèdent sont des anonymes, ces décès sont sans doute moins graves …
Bref, nous, nous vous garantissons que 2017 sera comme 2016. Bonne année et meilleurs voeux !