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Jeunes et violeurs : des prostituées pour les (ré)éduquer sexuellement

VIOL – Dans le cadre d’une importante campagne de prévention du viol, qui a eu lieu au Canada durant tout le mois d’avril 2018, les porteurs du rapport “Education and Rape Prevention” (Education et Prévention du viol) préconisent d’éduquer sexuellement les jeunes et de soigner les violeurs grâce à des prostituées.

Des prostituées pour éduquer sexuellement les jeunes et rééduquer sexuellement les délinquants et criminels sexuels

La lutte contre le viol est un combat quotidien dans tous les pays tant le nombre de ces crimes et délits sexuels ne cesse de croître. Aussi, afin de prévenir le viol et de contribuer à soigner les violeurs, les porteurs Canadiens d’un rapport intitulé “Education and Rape Prevention” (Education et Prévention du viol) préconisent d’éduquer sexuellement les jeunes et de rééduquer sexuellement les violeurs et autres délinquants sexuels grâce à l’expertise pratique de prostituées.

Le rapport “Education and Rape Prevention” établit le constat suivant :

“Les jeunes bénéficient certes d’une éducation sexuelle, mais qui demeure théorique. Or, rien n’est plus efficace que la pratique pour acquérir les connaissances et bonnes compétences. C’est pourquoi il nous semble indispensable que les jeunes soient sexuellement éduqués par la pratique, auprès de prostituées qui tiendront le rôle d’enseignantes de pratique sexuelle.

[…]

Les délinquants sexuels et violeurs bénéficient tous de troubles plus ou moins graves dus aux images et vidéos pornographiques qui altèrent leur jugement de ce qu’est la sexualité “normale” et/ou à des troubles psychiques. Pour eux, il convient de leur faire intégrer ce qu’est une sexualité saine, afin qu’ils ne cèdent plus à leurs pulsions et qu’ils parviennent si ce n’est à les contrôler, à les assouvir par d’autres moyens que le délit ou le crime sexuel. C’est pour cela que des prostituées hautement qualifiées auront pour rôle de rééduquer ces patients.”

Ainsi,  les prostituées auront un rôle majeur à jouer, même si elles ne seront pas les seules à intervenir dans cette éducation ou rééducation sexuelle :

“Les prostituées ne constituent qu’une intervention parmi d’autres. Ainsi, les jeunes ne pourront se dispenser de cours théoriques préalables sur la sexualité au sens large. Quant aux délinquants sexuels et violeurs, ils devront effectivement bénéficier d’un suivi psychologique voire psychiatrique ainsi que subir les condamnations judiciaires prévues par la loi en cas de délit ou de crime avéré”.

Le fait de faire appel à des prostituées permet ainsi de faire prendre conscience aux jeunes et aux violeurs de ce qu’est la sexualité saine, respectueuse mais aussi comment gérer ses pulsions sexuelles sans porter préjudice aux autres :

“Les prostituées seront des véritables enseignantes de la pratique sexuelle saine, respectueuse de soi et des autres. L’objectif est de faire découvrir par la pratique ce que la sexualité a de bien-de bon, et comment contrer des dérives répréhensibles pénalement.”

Les personnes souhaitant découvrir ou aller plus loin dans la sexualité trouveront également des pistes pour satisfaire et combler leur plaisir :

“Les prostituées prodigueront les pratiques de base de la sexualité. Mais elles s’adapteront également aux désirs sexuels de chacun. Ce sera ainsi l’occasion pour les jeunes et les déviants sexuels de découvrir d’autres pratiques sexuelles : plans à 3, sodomie, BDSM, fétichisme, échangisme-libertinage, etc.”

Par contre les prostituées seront là pour mettre des limites :

“Dès qu’une pratique sexuelle dangereuse ou illégale sera proposée, la prostituée devra l’interdire évidemment. En outre, pour les pratiques sexuelles ‘particulières’, tout le rôle des prostituées consistera à faire prendre conscience que celles-ci peuvent ne pas être partagées par le-la partenaire et qu’il ne faudra donc jamais le-la contraindre à quoi que ce soit.”

Ces préconisations canadiennes d’éducation à la sexualité et de rééducation sexuelle vont sans nul doute exciter plus d’une personne ! Sera-ce efficace ? Quoiqu’il en soit, ça donne envie !

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Loi / Justice

Projet “Prisons 2020” : les détenus pourront avoir des relations sexuelles avec des prostitué(e)s

PROJET “PRISONS 2020” – Le projet gouvernemental “Prisons 2020” prévoit notamment de développer le parc pénitentiaire (“Plan prisons”) et d’améliorer les conditions de détention. Pour cela, outre le téléphone qui sera désormais présent dans chaque cellule, les détenus pourront également avoir des relations sexuelles avec des prostitué(e)s afin de “satisfaire des besoins physiques naturels” et d’“éviter des comportements déviants [liés à] une frustration sexuelle”.

Plan “Prisons 2020” : les détenus pourront avoir des relations sexuelles avec des prostitué(e)s dans les prisons.

Parmi les grands axes de la politique judiciaire promise par Emmanuel Macron lors des élections présidentielles, le développement du parc pénitentiaire et l’amélioration des conditions de détention constituaient des priorités. Ce plan prison, qui fait partie du projet plus global “Prisons 2020”, vise à “rendre les conditions de détention plus dignes”.

Ainsi, comme promis par la ministre de la Justice Nicole Belloubet cet été, un appel d’offre s’est achevé lundi 8 janvier à 17 heures, afin d’équiper 50.144 cellules de téléphones, hors quartier disciplinaire. L’objectif est de favoriser le maintien des liens familiaux tout en limitant les trafics de téléphones portables.

Une deuxième décision a été prise lundi 15 janvier 2018, toujours afin d’améliorer les conditions de détention. Il s’agit d’autoriser les détenus à faire appel à des prostitué(e)s afin de “satisfaire des besoins physiques humains naturels”.

Cela a pour objectif de “diminuer les tensions et comportements déviants que les détenus peuvent rencontrer quotidiennement en raison de frustrations sexuelles importantes”

nous confie Michèle Morais, infirmière en milieu carcéral en charge du pan “Sexualité” du dossier “Prisons 2020”.

“L’intervention de prostitué(e)s concerne aussi bien les prisons pour hommes que les prisons pour femmes. Cette intervention pourra se faire selon les préférences sexuelles du (de la) détenu(e) : avec un ou plusieurs homme(s), femme(s), transsexuel(s), etc. et ce quelques soient ses pratiques de prédilection : fétichisme, sado-masoschisme, bdsm, exhibitionnisme, etc.

[…]

Afin de leur offrir l’intimité à laquelle ils ont droit, une salle de pratique sexuelle sera présente dans chaque quartier de chacune des prisons françaises.” complète M. Morais.

Alors que la prostitution est toujours illégale en France, M. Morais fait savoir qu’une dérogation “autorisant la prostitution en milieu carcéral” sera “sans aucun doute promulguée par un décret courant septembre 2018″.

M. Morais promet que grâce à ce “confort”  :

“Les détenus Français seront beaucoup plus détendus sans frustration sexuelle, ce qui présage un meilleur climat carcéral et par conséquent une réinsertion plus aisée”.

M. Morais nous rassure quant au coût de cette mesure :

“Cela ne sera pas à la charge de l’Etat ! Les prostitué(e)s seront des professionnel(le)s rémunérés par les détenus eux-mêmes. Le seul coût pour le contribuable consistera à l’aménagement et l’entretien d’une salle de pratique sexuelle dans chaque quartier des prisons françaises.”

Espérons toutefois que ce ne soit pas l’effet inverse qui se produise, à savoir que les détenus ne souhaitent pas quitter la prison … ou alors qu’ils ne récidivent pas dans leurs délits ou crimes afin de retourner en prison pour profiter des prostitué(e)s en milieu carcéral !

La France souhaite atteindre la 1ère place des pays où le milieu carcéral est le plus agréable. Elle semble en très bonne voie avec cette mesure. Cette dernière a en effet des chances de plaire à plus d’un détenu … mais aussi de faire grincer des dents les autres …