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Santé / Médecine

Les croyances religieuses bientôt reconnues comme des maladies psychiatriques

RELIGION / PSYCHIATRIE – Les croyances religieuses et autres croyances ésotériques seront bientôt reconnues comme des maladies mentales et classées comme une psychose chronique non dissociative.

Les religions et autres croyances ésotériques bientôt reconnues comme des maladies mentales.

Les religions (la foi) et l’ésotérisme reposent sur des croyances irrationnelles. De fait, elles relèvent de symptômes psychotiques, avec des troubles fonctionnels plus ou moins graves selon les sujets.

A la demande de la Fédération de Psycho-Psychiatrie Intellectuelle et Mentale (FPPIM), les croyances religieuses vont rejoindre le classement des « psychoses chroniques non dissociatives » de la CIM-11 :

Les religions et l’ésotérisme répondent à la définition de la psychose chronique non dissociative. Cette psychose est caractérisée par des idées délirantes permanentes (croyance en des forces irrationnelles) de manière systématisée (croyance durable, avec également des cultes réguliers). De plus, il n’y a pas d’évolution déficitaire ni de dissociation de la pensée et les capacités intellectuelles demeurent intactes. On les classerait dans les catégories F20.0 et F22.0 de la Classification internationale des maladies (CIM).

Grâce à ce classement des croyances religieuses et ésotériques comme maladies mentales, la lutte contre la manipulation et l’emprise mentale n’en sera que facilité, car permettant des internements d’office :

Reconnaître l’ésotérisme et la foi comme des maladies mentales permet de traiter les sujets victimes de leur croyance. Le but n’est pas d’interdire la foi, mais de contrôler les abus dus à l’emprise des religions sur les esprits humains. Toutes les croyances religieuses ne sont pas saines et peuvent entraîner des troubles allant de la croyance simple jusqu’à des troubles psychiatriques graves (dépendance, dépression, hallucinations, etc.).

Ainsi, légalement, il sera possible de retirer un individu de toute organisation religieuse, ésotérique voire sectaire s’il est déterminé que l’exercice de sa croyance porte préjudice à sa santé mentale.

Si 16% de la population mondiale n’est affiliée à aucune religion, on estime que de 30 à 50% de la population est non croyante.

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Un descendant de Mahomet porte plainte contre Daesh pour diffamation

RELIGION – Un descendant direct du prophète de l’Islam Mahomet, Ariel H., va porter plainte pour diffamation de son aïeul à l’encontre de Daesh. Selon lui : « Daesh salit Mahomet, alors je dépose plainte pour nettoyer son nom » !

Ariel H. combat Daesh
Ariel H., descendant direct de Mahomet, veut lessiver Daesh pour nettoyer l’honneur de sa famille.

Ariel H. est un homme politique local reconnu à Dubaï comme descendant direct de Mahomet, prophète de l’Islam. Il a décidé de déposer plainte contre Daesh pour diffamation de son aïeul :

« Daesh exploite la religion pour colporter rumeurs et fausses vérités. J’ai décidé de rétablir le nom de mon aïeul. C’est la raison pour laquelle je dépose plainte contre Daesh. »

Par la voix de son avocat, maître Gama, Ariel H. fait savoir que :

« Ce combat contre Daesh m’entraîne sur une pente savonneuse. Je sais que la bataille va être longue. J’espère seulement faire le ménage dans les villes occupées par Daesh. L’objectif étant bien de nettoyer l’honneur de ma famille. L’islam n’a rien à voir avec l’islamisme. Qu’on n’utilise plus le nom de Mahomet comme adoucissant les discours extrêmistes ! »

Le combat risque d’être long, d’autant que des avocats rattachés officieusement à l’Etat Islamique tentent de classer cette affaire par tous les moyens.

La France, par l’intermédiaire de la ministre de l’écologie Ségolène Royal, a salué le :

« Courageux combat contre cet ennemi qui nuit au développement durable du Proche-Orient. Que cette grande lessive rende cette zone plus blanche que blanche pour un environnement sain ! »

Selon un journaliste spécialiste en géopolitique du « Canard Déchaîné » (journal satirique thaïlandais parodiant le journal satirique français « Le Canard Enchaîné ») :

« Il s’agit d’un combat de longue haleine. Cette petite dose nettoiera quelque peu la zone, mais la tâche va être longue et rude. »

Même si la tâche est longue, il restera toujours de nombreuses taches …

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Vers la suppression des jours fériés religieux

TRAVAIL – Suite au sondage effectué par Ipsos pour le compte du ministère du Travail, de l’Emploi, de la Formation Professionnelle et du Travail Social, le ministre François Rebsamen a décidé de faire une proposition de loi pour supprimer 4 des 6 jours fériés liés à la religion.

Au travail
Vers 4 jours fériés en moins : un retour au travail pour bientôt ?

La France compte en tout 11 jours fériés :

  • 5 fêtes civiles
    • Le 1er janvier, jour de l’an
    • Le 1er mai, fête du travail
    • Le 8 mai, fête de la Victoire de la seconde Guerre Mondiale
    • Le 14 juillet, fête nationale Française célébrant la prise de la Bastille
    • Le 11 novembre, armistice de la fin de la première Guerre Mondiale
  • 6 fêtes religieuses
    • Le Lundi de Pâques
    • Le Jeudi de l’Ascension
    • le Lundi de Pentecôte
    • L’Assomption (fête de Marie)
    • La Toussaint
    • Noël

Ipsos a effectué un sondage entre le 1er avril et le 11 mai sur un panel de 21.000 français pour savoir s’ils connaissaient les raisons des jours fériés. Il en ressort que :

  • Les Français chiffrent le nombre de jours fériés en France à 8 (en réalité : 11)
  • 96% des Français ne connaissent pas la raison de tous les jours fériés en France. Mais parmi eux :
    • 92% connaissent la raison des jours fériés civils
    • 73% connaissent seulement 2 raisons ou moins des jours férié liés à la religion. Seulement 5% en connaissent toutes les raisons

Partant de ce constat, le ministre du travail, François Rebsamen, a décidé de proposer une loi visant à supprimer purement et simplement 4 des 6 jours fériés liés à des fêtes religieuses :

« Les jours fériés pour fêtes religieuses n’ont plus à exister en France, république laïque. Nous recevons fréquemment des demandes de représentants d’autres religions pour inscrire de nouveaux jours fériés liés à leurs fêtes religieuses. Il est vrai que nous refusons, mais nos arguments sont vains face à la réalité.

En outre, quand on voit que 73% des français ne connaissent pas la raison des jours fériés liés à la religion, à quoi bon leur offrir des jours de farniente !

C’est pourquoi j’ai déposé une proposition de loi visant à supprimer 4 des 6 jours fériés des fêtes religieuses. On garderait la Toussaint où les personnes fêtent les défunts de leur famille et Noël, fête des enfants.

En effet, à l’époque, la religion était prégnante et la décision de rendre ces jours fériés est antérieure à la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat de 1905. Il me parait indispensable de revenir là-dessus. »

Emmanuel Macron, ministre de l’économie, soutient la proposition de son collègue :

« Grâce à la suppression de 4 jours fériés, la France économisera 4 milliards d’euros de PIB, de quoi relancer notre économie et de nous faire peser sur la scène internationale ! D’ailleurs, cela a des chances de sauver des centaines d’entreprises que ces jours fériés mettaient en péril. »

Cela va donc beaucoup plus loin que la proposition du MEDEF qui visait à supprimer (seulement) 2 jours fériés pour créer de l’emploi et doper l’économie.

Cette décision, forcément très impopulaire, est relativisée par François Rebsamen qui propose de créer un nouveau jour férié en compensation de la perte de ces 4 jours :

« Etant donné que 4 jours fériés vont être supprimés, j’ai décidé de créer un nouveau jour férié que j’appellerais ‘Jour de la laïcité’, pour célébrer cet événement. On le placera le 9 décembre, date de promulgation de la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat. »

Nous avons interrogé l’Abbé Paulo de l’abbaye Saint-Georges de Boscherville sur cette décision, et il n’a fait que hurler un mot :

« Sapristi ! »

Et nous concluons par cette parole philosophique du secrétaire d’Etat au travail et aux retraites anglais, Iain Duncan Smith :

« Pouh ! Les Français sont fainéants. Ca ne leur fera pas de mal de travailler un peu plus !!! »

Au boulot !