NON, le lobby des chirurgiens plasticiens spécialistes en otoplastie (pour “recoller” les oreilles), n’y est pour rien dans le port du masque obligatoire
Gérard, 62 ans, s’interroge sur l’existence d’un lobby de chirurgiens plasticiens spécialisés en otoplastie qui aurait fait généraliser obligatoirement le port du masque afin de se constituer une clientèle pour “recoller” les oreilles :
On dit que le port du masque obligatoire est le fruit d’une pression exercée par le lobby des chirurgiens plasticiens sur le conseil scientifique du Covid-19 et donc sur l’Etat, afin que cela leur constitue une importante clientèle. Est-ce vrai ?
Gérard, 62 ans
La réponse est : NON.
Certes le fait de porter un masque derrière les oreilles peut “détendre” quelque peu celles-ci.
Mais le port du masque obligatoire constitue une mesure de précaution dans la lutte contre la Covid-19. Même si cette mesure peut être contestée pour son degré d’efficacité, elle contribue toutefois à limiter le nombre de contaminations potentielles.
En ce qui concerne le Conseil Scientifique Covid-19, il n’est composé d’aucun chirurgien-plasticien. En outre, une charte déontologique est incluse dans leur règlement intérieur.
En revanche, rien n’empêche de s’interroger sur un éventuel lobbying de Disney pour que tout le monde ressemble à Dumbo, de la communauté Hobbit ou encore du fan-club du Prince Charles …
LIMITATION DE VITESSE – Le Gouvernement a annoncé mardi 9 janvier une future loi limitant la vitesse à 80 km/h sur la plupart des axes. Après enquête, la sécurité routière n’est nullement la véritable raison qui a légitimé cette décision. Un lobby de personnes âgées, “Seniors au volant” en est la cause !
Mardi 9 janvier, le Gouvernement, par la voix du premier ministre Edouard Philippe, a annoncé son intention de limiter la vitesse à 80 km/h sur les routes secondaires bidirectionnelles sans séparateur. Cette mesure entrera en vigueur le 1er juillet 2018.
Dans un document transmis en décembre 2017 aux Préfets, un arsenal d’arguments avançait tous les éléments favorables à une baisse des limitations sur les routes. Parmi ces arguments, le principal consistait à dire que :
« avec plus de 1000 morts par an , les excès de vitesse sont la première cause de décès au volant », et aussi que « cette mesure permettrait d’orienter durablement la courbe de la mortalité routière à la baisse ».
Or, derrière cet argument officiel de sécurité routière, destiné à faire baisser le nombre d’accidents et le nombre de morts sur les routes, se cache une toute autre réalité. En effet, même si l’argument économique qui a été avancé par de nombreux automobilistes (“vitesse abaissée = plus d’excès de vitesse = plus de PV”) semble être un argument plus réaliste que celui officiellement annoncé, il y a une toute autre raison qui a poussé le Gouvernement a prendre cette décision : le lobby des personnes âgées via son organisation non officielle “Seniors au volant”.
“Seniors au volant” consiste en une organisation de Personnes âgées militantes et influentes, mais celle-ci n’est déclarée nulle part ! Son fonctionnement se fait totalement dans l’ombre : il s’agit d’un lobby qui ne repose sur aucune structure officielle. “Seniors au volant” milite très activement auprès des organisations et associations de Sécurité Routière, ainsi qu’auprès des hommes politiques et tout particulièrement des députés et sénateurs. L’objectif de “Seniors au volant” consiste à inciter les parlementaires à prendre des décisions en faveur des personnes âgées qui conduisent. Fonctionnant en lobby, “Seniors au volant” influence les décisions par la force de ses membres anonymes, et pour la plupart “influents voire très influents”.
“Seniors au volant” est déjà à l’origine de l’annulation des intentions de projets ou propositions de loi concernant la visite médicale pour les personnes âgées qui souhaitent continuer à conduire. Aussi, grâce à cette loi favorisant la limitation de la vitesse à 80 km/h, “Seniors au volant” signe son 2ème coup d’éclat. Voici la raison qui a poussé “Seniors au volant” à inciter le Gouvernement à limiter la vitesse à 80 km/h :
“[…] Les personnes âgées présentent des difficultés à rouler à une vitesse supérieure à 80km/h. Ces personnes âgées en ont marre de se faire sans cesse klaxonner et insulter gestuellement et/ou verbalement. Ils sont victimes de queues de poisson et constatent nombre de dépassements dangereux. […]
Cette loi réduisant la limitation de vitesse à 80 km/h est donc très pratique, puisque les personnes âgées pourront rouler tranquillement, sans se faire chahuter par les autres automobilistes irrespectueux.” ainsi que nous a répondu par mail, anonymement, leur chargé de communication.
“Senior au volant” promet d’ailleurs d’autres actions en faveur des personnes âgées au volant comme :
“Offrir des places de parking réservées aux personnes âgées comme il en existe pour les personnes handicapées ou pour les familles nombreuses”.
Ainsi, “Senior au volant” oeuvre pour des actions très louables en faveur des personnes âgées. Mais il est beaucoup moins certain que son lobby exercé sur le Gouvernement en faveur de l’abaissement de la limitation de vitesse ne soit bien perçu par les autres automobilistes que les personnes âgées …
“Seniors au volant”, une organisation de l’ombre, mais très active … et influente …
PAIN AU CHOCOLAT – Jean-François Copé estime le prix d’un pain au chocolat (ou chocolatine) à 0,15€. Mais cette apparente erreur sur le prix du pain au chocolat n’en est pas une : Jean-François Copé est un lanceur d’alerte qui dénonce les prix aberrants pratiqués par le lobby des boulangers.
Lundi 24 octobre, sur Europe 1, Jean-François Copé estimait le prix d’un pain au chocolat aux alentours de 10 ou 15 centimes d’euros. Moqué depuis, notre équipe de journaliste d’investigation a souhaité en savoir plus. Et nous avons découvert que Jean-François Copé n’était pas si ignare que cela sur le coût de la vie quotidienne. En fait, Jean-François Copé est un lanceur d’alerte. Par cette petite phrase, il tenait subtilement à dénoncer les prix excessifs pratiqués par les boulangers.
En effet, notre enquête nous a menés sur le coût de fabrication d’un pain au chocolat : il serait de 15 cts d’euros … exactement le montant estimé par Jean-François Copé. Nos journalistes d’investigation ne se sont pas arrêtés là puisqu’ils ont interrogé l’entourage de M. Copé. Et tous s’accordent à dire que Jean-François Copé est un lanceur d’alerte, comme nous l’indique une personne très proche de lui :
“Jeff n’aime pas les abus de toute sorte. Il exècre par dessus tout les politiques qui détournent de l’argent, et plus généralement ceux qui sont mouillés dans des affaires judiciaires. Jeff est d’une honnêteté suprême : je n’ai jamais vu pareil homme politique jusqu’à aujourd’hui. Il nous a toujours dit qu’il combattrait l’injustice et qu’il lutterait en faveur des plus démunis, quoi qu’il lui en coûte.
[…]
Le prix du pain au chocolat estimé par Jeff est en fait une alerte destinée à faire réagir les citoyens. Mais les citoyens n’ont pas réfléchi et ont pris cette phrase au premier degré et s’en sont moqués”
En effet, cette estimation a tellement choqué que la petite phrase de Copé a été moquée dans de nombreux médias, y compris étrangers.
Toutefois, grâce à cette estimation de Copé, un mouvement citoyen a été créé sur Internet, un mouvement qui milite pour le “Pain au chocolat à 0,15€”. Germaine Eluard, à l’origine de ce mouvement nous explique :
“Jean-François Copé avait vu juste : il faut que les citoyens se réveillent contre cette mafia des boulangers ou plus poliment contre ce lobby des boulangers. Ils profitent de nous en pratiquant des tarifs abusifs.
Notre mouvement citoyen ‘Pain au chocolat à 0,15€’ vise à ne plus consommer le moindre produit de boulangerie, pâtisserie ou chocolaterie tant que le prix du pain au chocolat n’atteindra pas le prix symbolique de 15 cts d’euros, le véritable prix qu’on devrait payer ainsi que nous l’a avoué Jean-François Copé ! Merci à lui !”
KAZAKHSTAN – Une nouvelle loi en faveur de l’environnement vient de passer au Kazakhstan sous la pression du mouvement “In Grass Veritas”. Désormais, il est interdit de couper l’herbe sous quelle que forme que ce soit : tonte, faux, arrachage, etc.
Le Kazakhstan vient de promulguer une loi en faveur de la protection de l’herbe sous toutes ses formes. Ainsi, il est désormais illégal de couper de l’herbe, sous peine de poursuites judiciaires pouvant aller jusqu’à l’emprisonnement en cas de récidive.
Voici le texte de loi tel qu’il a été promulgué (traduction par nos soins) :
“Couper l’herbe, quelle qu’elle soit, est formellement interdit sans autorisation officielle des services de l’Etat. Tonte, fauchage, arrachage, broyage, désherbage et autres contaminations des herbes, seront sanctionnés par des amendes de 10.000 à 10 millions de Tenge (soit environ 48 à 48.000 €) en fonction de la gravité des actes commis. Toute récidive entraînera de facto un emprisonnement de 1 an à la perpétuité.”
Pour connaître les raisons qui ont poussé le Kazakhstan à adopter une telle loi, nous avons interrogé Samyra Töfuk, présidente du lobby “In Grass Veritas” à l’origine de la loi :
“L’herbe est un symbole de vie, de pureté. Elle symbolise la Terre. Couper l’herbe, c’est mourir un peu. Ces pauvres brins d’herbe qui ne demandent qu’à vivre, pourquoi les tuer ? L’herbe saura nous le rendre par sa douceur, son éclatante luminescence lorsque les gouttes de rosée scintilleront sous le soleil”.
Ce discours très poétique n’est pas du goût de tous, comme l’explique Abdullah Isk, agriculteur :
“Une herbe non coupée, c’est un nid à bactéries et insectes qui peuvent tout détruire. Les animaux risquent de trouver refuge n’importe où et de détruire les plantations par exemple. De plus, l’herbe est invasive et détruit tout sur son passage. Ce sera un véritable fléau. Nos habitations mêmes seront en danger. C’est la fin du Kazakhstan !”
Mais après le Kazakhstan, d’autres pays risquent de faire passer cette même loi, le lobby “In Grass Veritas” par l’intermédiaire de sa présidente Samyra Töfuk expliquant que :
“Notre mouvement prend de l’ampleur partout dans le monde. De plus en plus de personnes, écologiquement convaincues, sont conscientes de ce que représente l’herbe pour notre planète. Notre mouvement fait actuellement pression sur plusieurs états. L’Ouzbékistan est sur le point de franchir le pas. Quant aux pays occidentaux, le mouvement prend une certaine ampleur en France et en Allemagne notamment.”