PRÉSIDENTIELLES 2022 / SONDAGES – Jean-Marie Bigard devancerait Cyril Hanouna, Marine Le Pen et Emmanuel Macron au premier tour des élections présidentielles de 2022.
C’est un sondage au résultat très surprenant que nous révèle l’institut de sondages Hipsop. Au 1er tour de l’élection présidentielles de 2022, c’est l’humoriste Jean-Marie Bigard qui accumulerait le plus de voix, suivi de près par Cyril Hanouna. Marine Le Pen ne se positionnerait que 3ème et Emmanuel Macron 4ème !
Selon une étude menée sur un échantillon représentatif de 15 603 personnes majeures, l’institut Hipsop révèle que Jean-Marie Bigard serait plébiscité au premier tour de l’élection présidentielle de 2022 par 29% des électeurs, talonné de près par Cyril Hanouna qui récolterait 24% des suffrages. Suivraient Marine Le Pen avec 19% des voix et Emmanuel Macron avec seulement 14%.
On constate que les Français ne veulent plus de politique, mais qu’ils veulent rire.
Institut Hipsop
Si Cyril Hanouna se retirait en mettant ses voix au profit de Jean-Marie Bigard, celui-ci pourrait être élu au premier tour de l’élection présidentielle en disposant de la majorité absolue (53% des voix).
Ces résultats font évidemment écho à la candidature de Coluche lors de l’élection présidentielle française de 1981.
2022 verra-t-il l’élection d’un président-humoriste ?
ELECTIONS – Suite au premier tour des Présidentielles 2017, les statistiques montrent que 22% des Français de plus de 18 ans souffrent de troubles de l’élection réguliers et qu’en moyenne 50% des Français rencontrent des problèmes d’élection temporaires. Selon les experts, plus un français s’abstient, plus son trouble de l’élection est important et durable. Pourtant, des solutions existent.
Après le 1er tour des élections présidentielles 2017, les statistiques ont prouvé que 22% des Français majeurs et jouissant de leurs droits civiques étaient atteints de troubles de l’élection réguliers :
« Les statistiques sont sans appel : environ 22% des Français ont des troubles de l’élection réguliers. On constate que ces statistiques sont relativement stables à chacune des élections présidentielles », nous confie Pauline Dumarquis, chef de projet en statistiques politiques à l’INSEE.
Si 22% des français souffrent de troubles chroniques de l’élection, il ne faut pas oublier que jusqu’à 60% des Français souffrent de troubles temporaires de l’élection :
« Les élections Présidentielles excitent la population, ce qui explique que les troubles de l’élection sont moindres. Mais pour des élections moins excitantes, comme les élections européennes, les troubles de l’élection peuvent atteindre jusqu’à 60%.
En résumé, on peut affirmer qu’en moyenne ce sont 50% des Français qui souffrent de troubles temporaires de l’élection. »
Ainsi, si 22% des Français ont des troubles de l’élection permanents, 50% des Français souffrent de problèmes temporaires de l’élection. Pourtant, ces troubles de l’élection ne sont pas incurables, comme l’explique le Docteur ès Politique, Justin Doix :
« Les troubles de l’élection sont dus à un manque de stimulation de ces personnes. Si on confrontait davantage les personnes souffrant de troubles de l’élection à des images politiques, ceux-ci pourraient petit à petit avoir un regain d’intérêt pour la politique et les élections n’en seraient que plus tendues tant ces abstentionnistes peuvent influer sur les résultats.
De plus, on constate que plus un français s’abstient, plus son trouble de l’élection est important ».
Aussi, si vous aussi souffrez de troubles de l’élection, sachez que des solutions existent. Les troubles de l’élection ne sont pas une fatalité : moins vous vous abstenez, plus vos troubles de l’élection vont disparaître, alors : votez !
SCANDALE ELECTIONS PRÉSIDENTIELLES 2017 – Le premier tour des élections Présidentielles 2017 présente un parfum de scandale, dans les Ardennes notamment. Près de 10.000 électeurs dans les Ardennes et 10.000 autres dans toute la France, se plaignent que leur vote n’a pas été pris en compte !
Une dizaine de milliers d’électeurs Ardennais, comme une dizaine de milliers d’autres à travers la France, se plaignent que leur vote n’a pas été pris en compte pour le premier tour des élections Présidentielles 2017. Ainsi, le taux d’abstention du département des Ardennes, parmi les plus élevés de France, ne serait pas véritablement dû à l’abstention mais plutôt à la non prise en compte d’environ 10.000 votes !
Le scandale des votes non comptabilisés au premier tour des élections Présidentielles 2017 s’est propagé sur les réseaux sociaux. De nombreux messages, de citoyens Ardennais essentiellement, signalaient que leur vote n’avait pas été comptabilisé, preuves à l’appui.
Joseph Zairlouz, habitant de Vouziers, est le porte-parole du mouvement de contestation né consécutivement à ces votes non comptabilisés :
« Moi, comme près de 10.000 concitoyens des Ardennes, avons constaté que nos votes n’avaient pas été pris en compte. En effet, nos bulletins n’ont pas été dépouillés et nous en avons la preuve ! Cela est totalement anormal car cela a indéniablement truqué les résultats de ce premier tour des élections présidentielles 2017. C’est pourquoi nous demandons l’annulation pure et simple de ce premier tour ! »
Joseph Neurwin nous présente la preuve que des votes n’ont pas été pris en compte :
« Comme tous les citoyens, nous avons voté à partir de 8h ce matin. On a donc fait notre choix, glissé notre vote dans l’enveloppe et on a mis ça dans nos boîtes aux lettres. Mais on n’a pas vu le facteur passer ramasser nos votes !
[…]
Bon, on n’est pas stupides, on sait bien que le facteur ne passe pas le dimanche …
[…]
Mais comment ils ont fait ailleurs alors ? »
Selon nos informations ce sont environ 10.000 autres votes, partout en France, qui n’auraient pas été comptabilisés, pour les mêmes raisons (enveloppes de vote glissées dans les boîtes aux lettres … et le facteur qui ne serait pas venu les ramasser).
Les élections présidentielles 2017 vont-elles être annulées ? Le Ministère de l’Intérieur, que nous avons contacté, va étudier ce cas inédit.
POLITIQUE – Alors que le premier tour des Primaires de la Droite et du Centre s’est tenu ce dimanche 20 novembre, nos équipes sont allées à la rencontre des électeurs. Nombreux étaient ceux qui s’étaient déplacés pour voter Bayrou … ou plus étrangement Le Pen ou encore Valls ou Macron !
Les Primaires de la Droite et du Centre ont mobilisé de nombreux électeurs. Dans les 26 bureaux de vote dans lesquels nos correspondants se sont rendus partout à travers la France, on a remarqué une forte mobilisation des électeurs pour cette Primaire de la Droite et du Centre. Mais parmi tous les électeurs, 41% étaient venus pour voter pour un autre candidat que les 7 officiels ; ils désiraient voter Bayrou ou plus étonnamment, Le Pen, Valls ou Macron !
Anthonin P., membre du Modem, était venu pour soutenir le candidat de son parti, François Bayrou :
« Ça s’appelle les primaires de la Droite et du Centre, donc j’étais certain que je retrouverais dans ces primaires un vrai Centriste, à savoir notre président de parti, François Bayrou. Mais étrangement, je constate que les seuls candidats déclarés sont des candidats de Droite pure ou de Droite dure devrais-je dire. Je ne comprends pas alors pourquoi ils parlent de Primaires de la Droite et du Centre s’il n’y a pas de Centristes ! Hormis si c’est pour court-circuiter le Modem en l’interdisant de facto de proposer un candidat aux Présidentielles … »
Mais les membres du Modem ne sont pas les seuls déçus et les seuls à s’être laissés piéger par ces Primaires, à l’instar de Georgette M., de Marseille, qui voulait voter pour Emmanuel Macron. Elle exprime sa déception :
« J’ai beaucoup regardé la télé et j’ai été convaincue par le discours de Macron. Alors, quand on m’a dit qu’il y avait les Primaires de la Droite, je me suis dit que j’allais aller voter pour lui. Mais en arrivant dans le bureau de vote, je me suis rendue compte qu’il n’y avait pas de bulletin ‘Macron’. Pourtant, Macron fait bien une politique de droite ? Donc il est bien de droite, non ? »
Emmanuel Macron n’est pas le seul candidat à être considéré comme étant de droite. En effet, Jean-Luc P., de Créteil, était venu voter pour Manuel Valls :
« J’ai bien compris que c’étaient les Primaires de la Droite et du Centre. Mais Manuel Valls a renié François Hollande, il a donc quitter le navire ‘Parti Socialiste’. Et comme il a adopté durant tout son mandat de Premier Ministre une politique de Droite, j’étais convaincu qu’il allait assumer son statut d’homme politique de droite. Alors quand j’ai découvert que son nom ne figurait pas parmi la liste des candidats, j’ai été très déçu ».
Farida Y. désirait quant à elle voter pour Marine Le Pen :
« Marine Le Pen est une candidate que j’admire. Je sais que ce sera dur pour elle car elle est une femme. Alors, quand j’ai appris qu’il y avait les Primaires de la Droite, je me suis précipitée pour voter pour cette femme humaniste, tolérante, qui lutte contre toutes les formes de discrimination. Elle-même dit qu’elle n’est pas d’extrême-droite. Elle est donc de droite. D’où le fait que je comptais la retrouver dans ce vote pour les Primaires. Hé bien force est de constater qu’il n’y avait pas de bulletin à son nom ! »
Ces quelques témoignages ne sont pas isolés : 41% des votants à cette Primaire souhaitaient voter pour d’autres candidats que les 7 candidats officiels que sont Alain Juppé, Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire, François Fillon, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-François Copé et Jean-Frédéric Poisson.
Ainsi, on constate bien que les électeurs sont tous un peu perdus entre :
Pour la Gauche : ceux qui sont officiellement de Gauche (François Hollande), ceux qui sont d’une autre Gauche (Manuel Valls), ceux qui n’ont jamais été de Gauche bien que rattachés au parti (Emmanuel Macron), etc. ;
Pour le Centre : ceux qui sont écartés de facto et donc non représentés dans une Primaire qui pourtant les désigne (François Bayrou) ;
Pour la Droite : des candidats qui tantôt s’admirent tantôt se détestent, qui ont des discours très similaires mais très différents, etc. ;
Pour l’extrême-Droite : une candidate qui se dit de droite mais tient à se démarquer de la droite actuelle (Marine Le Pen).
Selon un sondage Hipsop, si on ne se limitait pas aux 7 candidats officiels de la Primaire de la Droite et du Centre, les résultats de cette Primaire seraient :
1er : Alain Juppé avec 16,8% des votes
2ème : François Fillon avec 16,6%
3ème ex-aequo : Nicolas Sarkozy avec 16,3%
3ème ex-aequo : Marine le Pen avec 16,3%
5ème : Manuels Valls avec 11,6%
6ème : Emmanuel Macron avec 10,4%
7ème : Bruno Le Maire avec 4,4%
8ème : Nathalie Kosciusko-Morizet avec 2,9%
9ème : François Bayrou avec 2,7%
10ème : Jean-Frédéric Poisson avec 1,8%
11ème : Jean-François Copé avec 0,2%
(Sondage Hipsop-Actubis réalisé sur un échantillon représentatif de 1552 votants à la primaire, sans tenir compte des votes nuls ou blancs)
Bref, dans ce micmac politique, il faut comprendre une chose : ne pas essayer de comprendre !
SONDAGE – Un sondage IS-Trend révèle que le célèbre animateur et producteur de télévision Cyril Hanouna recueillerait 43% d’opinions favorables s’il se présentait aux élections présidentielles de 2017.
Cyril Hanouna, le célèbre animateur de la chaîne C8 (ex-D8) et producteur de télévision avec H2O Productions, connaît un énorme succès depuis son arrivée sur D8 avec l’émission « Touche pas à mon poste » qu’il anime. Ce succès ne s’est pas démenti avec des records d’audience qui n’ont cessé d’être battus au fil des mois.
Bien que parfois très critiqué dans les médias pour son comportement, ses jeux humiliants, son caractère, etc., Cyril Hanouna peut aussi bien être détesté que très apprécié du grand public. Aussi, un sondage mené auprès d’un panel de 5500 internautes par l’institut IS-Trend montre que 43% des Français seraient favorables à une candidature de Cyril Hanouna aux élections présidentielles de 2017. Cela n’est pas sans rappeler la candidature de Coluche lors de l’élection présidentielle française de 1981.
Cyril Hanouna, qui a donc toutes ses chances de recueillir de nombreuses voix lors de ces prochaines élections présidentielles, deviendra-t-il candidat, fort de ce sondage en sa faveur ? Est-ce à dire que les français ne croient plus en les hommes politiques ?