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Defaker

DEFAKER – NON, le port du masque n’est pas obligatoire si vous commettez un holdup avec le visage déjà dissimulé

NON, le port du masque n’est pas obligatoire si vous commettez un holdup et que vous avez déjà le visage dissimulé.

A l’heure où le port du masque est obligatoire dans tous les lieux clos, Johann nous a posé une question pratique :

Si, par le plus grand des hasards, je venais à commettre une attaque à main armée, devrais-je obligatoirement porter le masque, conformément à la loi ?

Question posée par Johann, 37 ans

Le décret n°2020- 884 du 17 juillet 2020 stipule que le port du masque grand public est rendu obligatoire depuis le 20 juillet dans tous les lieux clos recevant du public, en complément des gestes barrières.

Ainsi, si vous souhaitez commettre une attaque à main armée dans un commerce, une banque ou tout autre lieu clos, le port du masque est en effet obligatoire.

Toutefois, une dérogation au port du masque existe :

Si un individu qui commet un hold up a déjà le visage dissimulé (casque de moto, écharpe ou cagoule qui couvre la bouche, etc.), le port du masque n’est plus utile. Ainsi, il ne pourra pas être amendable pour non-port du masque.

Néanmoins, il est fortement recommandé à l’individu souhaitant commettre un vol à main armée de se faire connaître préalablement auprès des forces de police. Ainsi, nous pourrons lui indiquer si l’équipement qui lui servira à dissimuler son visage durant le hold up convient, conformément au décret n°2020- 884 du 17 juillet 2020.

Syndicat Police-Justice

En conclusion, le port du masque lors d’un hold up n’est pas obligatoire si et seulement si vous avez déjà le visage dissimulé avec un équipement adéquat. A défaut, vous devrez vous acquitter d’une amende de 135€.

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Faits divers

Tempête Ciara : une création de l’armée française pour expulser le Coronavirus vers la Chine

TEMPÊTE CIARA / ARMÉE – La tempête Ciara n’est pas un phénomène naturel, mais une création de l’armée française pour expulser le Coronavirus vers la Chine.

L. Hanz, ex-agente de la DGSI : “La tempête Ciara est une création de l’armée française pour expulser le Coronavirus de France !”

La tempête Ciara, qu’on pourrait croire être un phénomène naturel ainsi que l’affirment notamment les médias, constitue en réalité une tempête artificielle, créée par l’armée française.

Lucile Hanz, ex-agente de la DGSI, nous explique l’émergence du programme :

“Cela fait 13 ans que l’armée française travaille au développement d’un générateur de vents violents : le projet “Air-AC”. A l’origine, il s’agissait de développer une arme de destruction massive similaire à l’arme nucléaire, c’est-à-dire qui détruirait tout, mais sans qu’elle n’ait de conséquences durables sur l’environnement.”

Aussi, l’usage de cette arme prévue initialement pour l’attaque, a progressivement évolué vers une mission de défense :

On s’est rendu compte que ce générateur de vent violent disposait d’un potentiel défensif énorme contre les virus (notamment) qui pourraient toucher notre pays.

L’arrivée du coronavirus en France a marqué l’élément déclencheur d’expérimentation de cette arme massive :

Le coronavirus constituait l’opportunité clé pour tester cette arme défensive que constitue le vent violent.

L’objectif d’utilisation de cette arme est claire : expulser le coronavirus de notre pays pour qu’il retourne en Chine.

C’est une expérimentation qui permettra de tester l’efficacité du dispositif. Si le coronavirus est bien expulsé de notre pays, la France pourra affirmer disposer d’une arme défensive clé !

La tempête Ciara constitue ainsi une démonstration de force de l’armée française.

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Histoire

[Affaire Roswell] L’île de North Sentinel serait une base extra-terrestre expérimentale contrôlée par les Etats-Unis

AFFAIRE ROSWELL / PEUPLE DES SENTINELLES – Le peuple des Sentinelles serait un peuple vivant totalement isolé sur l’île de North Sentinel, dans les Iles Andaman. Selon un célèbre anthropogéographe, cette île, inaccessible sous peine de mort immédiate, abriterait non pas un peuple indigène, mais une population extra-terrestre expérimentale, qui proviendrait des descendants du crash d’un OVNI à Roswell en 1947, et que les Etats-Unis contrôleraient.

Les extra-terrestres de Roswell auraient été transférés sur l’île de North Sentinel qui servirait de base expérimentale depuis 1947.
(Image d’illustration)

L’île de North Sentinel,  l’une des îles Andaman au cœur du golfe du Bengale dans l’océan Indien, est l’un des territoires les plus inaccessibles au monde. Officiellement, les  « Sentinelles » qui habitent cette île constituent l’une des dernières tribus sur la planète totalement coupée du monde moderne. Et ces habitants, très hostiles, tueraient quiconque approche de leur île. C’est malheureusement ce qui est arrivé le 16 novembre dernier à un touriste américain de 27 ans, John Allen Chau, alors qu’il venait tout juste d’arriver illégalement sur l’île. Ce territoire souverain, sous protection de l’Inde, est d’ailleurs strictement interdit d’approche depuis 2010.

Toutefois, la véritable raison de l’interdiction de l’accès à cette île n’aurait aucun rapport avec la protection de ce peuple autochtone. Il s’agirait en fait d’une base expérimentale extra-terrestre gérée par les Etats-Unis, ainsi que l’explique Yann Lacroix, Docteur en Anthropogéographie :

“L’île de North Sentinel est un territoire historiquement sous protection de l’Inde. Jusqu’au 15 août 1947, l’Inde était sous administration du Raj britannique avant de devenir indépendante. Il est à rappeler qu’à l’époque, au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, les bonnes relations entre le Royaume-Uni et les Etats-Unis étaient à leur paroxysme.

Or, le 8 juillet 1947 débute l’affaire de Roswell, lieu où a été retrouvée l’épave d’un ovni extraterrestre par les militaires Américains.

De nombreux éléments que nous avons retrouvés dans les archives Britanniques, et qui concordent avec les documents américains “Secret Défense” aujourd’hui déclassifiés que nous avons pu consulter avec mon équipe, témoignent d’un important convoi militaire ultra-sécurisé entre Roswell (Nouveau-Mexique) et l’Inde, et potentiellement l’île de North Sentinel. Je vous en lis un extrait :

“Un important convoi militaire de près de 50 véhicules, très discret et ne se déplaçant que la nuit, s’est éloigné de la ville de Roswell dans la nuit du 8 au 9 juillet 1947 avant de rejoindre la base navale de San Diego le 13 juillet. Le convoi a été embarqué dans 6 bateaux en direction du port de Madras où il arrivera le 23 juillet. Demeurant à quai jusqu’au 5 août, sans aucun déchargement, mais ultra-sécurisé, avec de très nombreuses allées et venues humaines non identifiables, de jour comme de nuit, le convoi repartira pour un lieu non déterminé au coeur du golfe du Bengale, où nous perdons leur trace.” (traduction d’un document original de la Royal Navy daté du 6 août 1947).

Il y a donc fort à parier que ce convoi de l’armée américaine ait consisté à déménager l’épave de l’OVNI et ses occupants de Roswell vers l’Inde, avant de se faire ravitailler, pour ensuite les transférer sur les îles Andaman, et tout particulièrement sur l’île de North Sentinel.

En effet, il n’y a aucune raison historique pour que l’armée américaine se déploie en Inde à cette époque là, a fortiori alors que l’Inde allait connaître sous peu son indépendance et que les Etats-Unis ne souhaitaient nullement faire ingérence dans les affaires indo-britanniques de l’époque.

C’est à ce moment là que serait née la légende d’une population autochtone qui tuerait quiconque approcherait de son île. Légende qui se serait ancrée dans les populations Indiennes, génération après génération.

En réalité, cette île est occupée par les descendants des extra-terrestres de l’OVNI de Roswell et sert de base expérimentale à l’armée américaine qui observe l’évolution de ces extra-terrestres sur notre Terre.

D’où le fait qu’ils tuent quiconque tente de pénétrer sur cette base, tant le secret est énorme !”

Il est vrai que tous les éléments avancés par Yann Lacroix concordent pour parvenir à cette conclusion.

Ainsi, l’OVNI qui s’est écrasé à Roswell et ses occupants (au moins un mâle et une femelle), encore vivants, auraient été transférés sur l’île de North Sentinel, alors sous couvert Britannique. Et les Américains font de cette île un laboratoire grandeur nature d’observation de l’évolution de cette population extra-terrestre, sous leur contrôle unique.

L’affaire Roswell est donc totalement relancée grâce à ces révélations exclusives de Yann Lacroix.

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Faits divers

[Enquête] Des gilets jaunes aux yellow blocks : une infiltration omniprésente qui fait trembler le Gouvernement

[ENQUÊTE] GILETS JAUNES / YELLOW BLOCKS (YB) – Le mouvement des Gilets Jaunes, mouvement contestataire citoyen lancé courant octobre 2018, n’est pas sans cacher une infiltration omniprésente de ces contestataires dans tous les secteurs d’activité, partout en France (et dans le monde), depuis de nombreuses années déjà. Ces Gilets Jaunes qui ont revêtu leur tenue depuis bien avant cette mobilisation, c’est-à-dire le noyau dur ou coeur historique du mouvement, sont appelés les Yellow Blocks, sortes de black blocks pacifistes. Malgré ce pacifisme, l’Etat se montre très inquiet face à ces Yellow Blocks présents partout et qui officient dans l’ombre, après que les Gilets Jaunes ont démontré un coup de force sans précédent.

Dans l’ombre des Gilets Jaunes, les Yellow Blocks (YB), cœur historique du mouvement contestataire.

Lancé courant octobre pour une mise en oeuvre concrète le samedi 17 novembre 2018, le mouvement des gilets jaunes a mobilisé plusieurs centaines de milliers de citoyens avec un soutien de plus de 75% des Français selon plusieurs sondages.

Mais au-delà du mouvement citoyen des gilets jaunes, c’est-à-dire des personnes qui ont affiché voire revêtu leur gilet jaune en signe de soutien en participant ou non aux manifestations, se cache un mouvement beaucoup plus discret, bien que totalement pacifique : les Yellow Blocks (abrégés parfois “YB”).

En clair, les Gilets Jaunes sont les manifestants occasionnels qui rejoignent les mouvements citoyens tandis que les Yellow Blocks, le noyau dur du mouvement, officient dans l’ombre, depuis de nombreuses années, sans pour autant manifester. Pour autant, ces Yellow Blocks tiennent à toujours revêtir leur gilet jaune :

“Un Yellow Block est un acteur du changement dans l’ombre. Toutefois, nous assumons notre qualité de Yellow Block en revêtant notre gilet jaune sur notre lieu de travail en permanence. Nous ne sommes pas une organisation terroriste puisque nous n’agissons que dans la légalité. Mettre notre gilet jaune sur notre lieu de travail, c’est montrer que nous sommes là tout le temps et partout, on ne peut pas nous oublier”, nous confie Henry Piquet, éboueur à Paris.

Les Yellow Blocks constituent un mouvement historique dont on estime l’apparition dans les années 90, comme nous l’explique Jean-Jacques Goff,  maître de conférence en histoire contemporaine :

“Bien avant le mouvement citoyen des Gilets Jaunes, il y a eu la naissance d’un mouvement pacifique, endormi (ndlr : non actif) qu’on appelle les Yellow Blocks. Ils sont apparus en août 1992, après qu’un décret a été publié par l’Etat. Ce n’est toutefois que suite à un autre décret, du 11 janvier 1993, que le nombre de Yellow Blocks a explosé. Aujourd’hui, on peut affirmer que les Gilets Jaunes composent la face émergée de l’iceberg : celle qui agit et qui tend à fondre au fil du temps par lassitude, tandis que les Yellow Blocks constituent le socle solide de l’iceberg, qu’on ne voit pas mais qui est bien ancré dans l’océan de la société.”

Cette omniprésence des Yellow Blocks que nous révèle Jean-Jacques Goff est en effet une réalité puisque de très nombreux secteurs d’activité sont touchés par leur omniprésence : travaux publics, ramassage des ordures, logistique, personnels travaillant sur les pistes d’aéroport, transport routier et ferroviaire, sociétés d’autoroutes, etc.

Ces Yellow Blocks ont même infiltré les services de secours et de police :

“Lorsque je suis en intervention, je revêts toujours un gilet jaune, tout comme l’immense majorité de mes collègues. Nous sommes des Yellow Blocks qui s’assumons. Toutefois, notre fonction nous interdit de le revendiquer. ” nous avoue Pascaline (son prénom a été changé), officier de police à Bordeaux.

Ainsi, on dénombre plus de 1 million de Yellow Blocks, membres pacifistes qui constituent le noyau dur des Gilets Jaunes, pour 50 millions de gilets jaunes (Français qui soutiennent le mouvement contestataire.

“Même si le mouvement des Gilets Jaunes s’essouffle voire s’asphyxie, le noyau dur des Yellow Blocks demeurera toujours ; toujours à l’oeuvre, toujours discret” explique Jean-Jacques Goff.

Michel, transporteur routier, est l’un des membres historiques des Yellow Blocks :

“Je suis l’un des pionniers des Gilets Jaunes, ceux qu’on appelle les Yellow Blocks. Nous sommes pacifistes mais nous agissons lorsque cela est nécessaire. Auparavant, c’étaient nous, les Yellow Blocks, qui devions agir nous-mêmes. Les grèves de la SNCF, c’est nous. Les grèves des routiers, c’est nous. Aujourd’hui, grâce aux gilets jaunes, nous voyons que ce ne sont plus les Yellow Blocks qui agissent, mais tous les citoyens. C’est comme une armée : les Yellow Blocks constituent un moyen de pression dans l’ombre, qui n’agit plus mais qui est prêt à réagir à tout abus ; tandis que les gilets jaunes eux sont notre armée d’intervention. En clair, on ne peut que faire peur à l’Etat tant nous sommes puissants !”

Michel prévient :

“Si les gilets jaunes, notre armée d’intervention, n’est pas entendue, ce sont les Yellow Blocks qui vont intervenir. Et je ne vous raconte pas le blocage que nous pouvons effectuer : le domaine des transports, c’est nous, alors imaginez que nous intervenions en plus des Gilets Jaunes : le pays serait intégralement bloqué et l’Etat ne pourrait plus rien faire !”

Enfin, Michel souhaite faire passer un message à tous les citoyens :

“Rejoindre temporairement le mouvement des Gilets Jaunes, c’est bien. Mais soutenez encore davantage les Yellow Blocks en revêtant votre gilet jaune sur votre lieu de travail, quelque soit votre secteur d’activité !”

En conclusion, le mouvement des gilets jaunes, qu’il s’essouffle ou s’amplifie, disparaisse à jamais ou réapparaisse, n’est que la partie émergée de l’iceberg que constituent les Yellow Blocks. Le noyau dur que constituent les Yellow Blocks est donc toujours là, omniprésent, prêt à intervenir pour bloquer le pays, que ce soit avec l’aide des citoyens (gilets jaunes) ou sans eux. Les Yellow Blocks : un volcan en sommeil qui peut entrer en éruption à tout moment …

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Faits divers

Val de Loire : une montgolfière et ses 5 passagers retrouvés par l’armée après avoir été “aspirés” dans les airs !

VAL DE LOIRE / ACCIDENT DE MONTGOLFIÈRE – 4 touristes et leur conducteur de montgolfière, avaient disparu ce dimanche 28 octobre au matin, le ballon ayant été littéralement aspiré dans les airs par un courant d’air chaud ascendant et une instabilité de l’air. Il a fallu l’intervention d’un hélicoptère militaire pour les retrouver. Ils ont été secourus à 3000 mètres d’altitude et la montgolfière, impossible à redescendre, a été abattue.

Destruction de la Montgolfière par l’armée, après que les militaires ont porté secours aux 5 passagers d’une montgolfière bloquée à 3000m d’altitude. (Photo : OFF-Air-Armée)

C’est une terrible mésaventure qui est arrivée à 4 touristes Allemands en vacances dans le Val de Loire, ce dimanche 28 octobre. Alors qu’ils participaient à un baptême de l’air en montgolfière, cette dernière a été aspirée dans les airs :

“Tout se passait bien jusqu’à ce qu’1/4h après le début du vol, j’ai vu la montgolfière aspirée à une vitesse surprenante et très haut dans les airs. En à peine 15 secondes, on n’a plus vu le ballon”, nous raconte Jean-Michel Tigra, suiveur de cette montgolfière.

Marie Agnus, météorologue, nous explique le phénomène d’ascendance thermique, à l’origine de l’aspiration du ballon :

“Le phénomène d’ascendance thermique est très connu en météorologie. Comme nous avons constaté une forte chute de température, l’ascendance thermique a été provoquée par l’advection d’une masse froide au-dessus d’un sol encore relativement chaud.  De plus, pour expliquer cette ascension brutale et très haute et que le conducteur ne soit jamais parvenu à reprendre le contrôle, cela signifie que l’air était très instable.

Mais cette instabilité a du survenir subitement car jamais un conducteur de montgolfière n’aurait fait voler son aéronef dans ces conditions ; ils étudient en détail la météo avant de prendre la décision de départ.”

La montgolfière a été retrouvée grâce à l’intervention rapide de l’armée, qui a envoyé 1 hélicoptère de reconnaissance “Gazelle” :

“Nous avons reçu un appel d’urgence pour intervenir sur une disparition de montgolfière à 09h35. Même si l’intervention semblait pour le moins cocasse,  nous l’avons pris au sérieux évidemment. Nous avons alors immédiatement dépêché 5 membres d’équipage dans l’hélicoptère Gazelle SA-342 afin d’assurer le repérage de la montgolfière et de pouvoir leur porter secours. Ce n’est qu’après 4 heures de vol, vers 12h30, qu’on a réussi à les retrouver grâce aux conseils avisés de nos météorologues qui ont calculé la vitesse et la direction des vents pour simuler où pouvait se trouver la montgolfière. Ils étaient déjà à plus de 150km de leur point de départ lorsqu’on les a retrouvés !” nous confie le Colonel Bellegarde, Chef des opérations de secours.

Le ballon restait en effet bloqué à une altitude de 3000 mètres et ne parvenait pas à redescendre. Il a alors fallu hélitreuiller les rescapés avant de détruire la montgolfière :

“Nous avons réussi à prendre contact avec le conducteur de la montgolfière qui nous a signifié gestuellement de son incapacité à redescendre. Alors, nous avons dans un premier temps hélitreuillé toutes les victimes, choquées et transies de froid. Ensuite, nous avons prévenu les équipes au sol que nous allions détruire la montgolfière, seul moyen de la faire redescendre, afin qu’ils sécurisent la zone de chute. Une fois tout cela fait, nous avons mitraillé la toile de la montgolfière. Cette dernière a alors chuté jusqu’au sol où elle s’est fracassée.”

Ce sauvetage fut très éprouvant pour les militaires :

“Ce sauvetage a été très difficile tant la situation était inédite. Monter en hélicoptère à 3000m d’altitude ; chercher une montgolfière telle une aiguille dans une meule de foin ; prendre contact avec le conducteur de la montgolfière  ; hélitreuiller des victimes choquées qui ne pouvaient pas bouger ; abattre une montgolfière en veillant à ce que sa chute ne cause aucun dégât. Cela a été beaucoup plus enrichissant que n’importe quel exercice tant il a fallu faire preuve d’adaptabilité et de sang-froid. Je remercie sincèrement mon équipe pour leur travail formidable, réalisé avec succès sans la moindre erreur” se réjouit le Colonel Bellegarde.

Les rescapés, choqués, souffrent tous d’une légère hypothermie et resteront en observation au moins 48 heures à l’Hôpital d’Orléans. Ils ne garderont aucune séquelle si ce n’est le souvenir de cette mésaventure.

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Politique

Jeunes sans emploi ou sans travail : à l’armée !

ARMEE – Afin de lutter contre l’inactivité des jeunes de 18 ans, outre le service militaire obligatoire proposé par Nicolas Sarkozy, c’est une intégration dans l’armée que suggère la spécialiste Suisse des armées, E. Hover.

Tout jeune de 18 ans décrocheur et sans emploi incorporé "de force" dans l'armée ?
Tout jeune de 18 ans, décrocheur et sans emploi, incorporé “de force” dans l’armée ?

Alors que Nicolas Sarkozy a déclaré sur sur compte Twitter le 9 avril 2016 :

“Tout jeune décrocheur à 18 ans sans emploi, apprentissage, stage ou formation, ira au service militaire obligatoire”

certains souhaitent aller plus loin encore. C’est le cas de la spécialiste Suisse des armées, Elvire Hover:

“Sans faire de politique, mais en qualité d’experte en Histoire des Armées, je dois dire que la décision de N. Sarkozy me parait pertinente même si elle ne va pas assez loin.

Si les jeunes ne sont pas à l’Ecole ou ne travaillent pas à 18 ans, c’est qu’ils ne servent à rien. Alors je suggère de transformer ces jeunes inutiles et fainéants en jeunes utiles pour leur pays en leur faisant rejoindre les rangs de la Grande Armée Française !”

Plutôt que de seulement les faire participer au service militaire obligatoire, la spécialiste Hover propose de directement les intégrer dans l’armée française et même les envoyer dans les zones de conflits :

“En rejoignant l’armée Française, ces jeunes seront envoyés directement sur le front. Ils sont généralement vifs et vigoureux à cet âge là, ce seront de bons éléments. Ainsi, d’inutiles, ils deviendront des héros !”

D’ailleurs, la spécialiste Hover use d’un argument imparable :

“Si un jeune de 18 ans ne travaille pas, il est fort probable qu’il soit dépendant aux jeux vidéos, et notamment aux jeux de guerre. Ainsi, une fois intégrés dans l’armée, lorsqu’ils se trouveront dans la réalité de la guerre, d’une part ils seront très heureux de pouvoir jouer à un jeu grandeur nature, et d’autre part ils seront d’une qualité non négligeable pour l’Armée, puisqu’ils auront suivi un entraînement intensif depuis chez eux !”

Ainsi, E. Hover suggère le plan suivant :

“Il me paraîtrait idéal que la France développe le plan suivant pour les jeunes sans activité ni formation :

– Tout jeune sans activité ou formation à 18 ans sera incorporé dans l’Armée Française ;

– De 18 à 20 ans, ce jeune devra jouer à des jeux vidéos de guerre violents durant au moins 8 heures par jour (Conditionnement). Il pourra le faire depuis chez lui afin qu’il s’intègre en douceur dans la grande famille de l’Armée Française ;

– A 20 ans, il rejoindra une caserne où il suivra une formation intensive de 1 an ;

– A 21 ans, il sera envoyé au front, dans une zone de conflit.”

L’Etat Français va-t-il suivre les préconisations de cette experte Suisse des Armées ?

 

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Archives

Vers une armée écoresponsable

ARMEE ECORESPONSABLE – L’association “Milivert” milite pour que tous les véhicules, armes et munitions devront être écologiques.

Armée écologique
L’armée française ne va plus utiliser que des armes et munitions écologiques en plus de véhicules propres, d’ici 30 ans ?

Cela fait plusieurs mois que l’association Milivert milite pour que l’armée utilise des véhicules, des armes et des munitions écologiques. Voici un extrait de leurs revendications :

“L’ensemble de l’arsenal militaire français (véhicules, armes, munitions) devra être totalement changé d’ici 30 ans. il faut les équiper uniquement d’un arsenal écologique. Ceci entre pleinement dans la démarche engagée par l’Etat français dans le cadre du sommet Rio+20, et plus généralement en cohérence avec sa politique globale de respect de l’environnement. L’armée entrerait ainsi dans une démarche écoresponsable essentielle pour notre avenir.”

Face à ce changement radical, l’association complète :

“Les Forces armées françaises comptent parmi les plus puissantes d’Europe avec un très riche arsenal. Le coût d’un tel changement est estimé à 500 millions d’euros par an sur 30 ans. Mais le gain pour la planète est conséquent.l’armée va certes perdre un peu en efficacité, mais elle s’adaptera”.

Concrètement, l’armée va s’équiper de véhicules électriques et solaires notamment. Ils seront de plus recyclable à hauteur d’au moins 90% :

“Les véhicules qui seront acquis seront beaucoup moins performants. Les matériaux des véhicules seront moins solides. Pour ce qui est des armes, elles devront utiliser des munitions biodégradables et des armes recyclables : elles perdront également en efficacité dans les opérations. Mais cela n’est pas un problème, la France gagne toujours !”

Ainsi, toutes les armes et munitions devront être propres. Même l’arme nucléaire devra être propre :

“L’arme nucléaire devra impérativement respecter l’environnement. Ainsi, la bombe nucléaire telle que nous la connaissons ne pourra pas être utilisée. “

Bonne nouvelle : l’armée contribue à sauver la planète !