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Comment gagner au loto ? Techniques et méthodes statistiques.

GAGNER AU LOTO – Comment gagner au loto ou optimiser ses chances de gagner ? Pas besoin de magie, des techniques et méthodes statistiques peuvent vous permettre de gagner le jackpot du loto !

Une statisticienne nous livre des techniques et méthodes statistiques pour gagner au Loto et pourquoi pas décrocher le jackpot !

“A qui le tour ?” Derrière ce slogan du loto de la FDJ, la réponse est “A vous !” s’exclame la statisticienne Norma Noah-Leneu.

Idéalement, pour être sûr de ne jamais perdre au loto, il ne faut pas jouer. Ou alors, jouer toutes les combinaisons pour être sûr de gagner … a fortiori lors des super jackpots.

Mais il existe une autre méthode qui a permis à Norma d’optimiser ses gains, sachant que selon elle, gagner au loto n’a rien d’aléatoire pour quiconque parvient à maîtriser les statistiques :

Contrairement à ce qu’on croit, le tirage du loto n’est pas 100% aléatoire, au sens mathématique et statistique du terme j’entends. En développant des méthodes et techniques de calculs statistiques, on parvient à dégager des tendances de tirage. Ce sont ces tendances qui permettent de cocher une combinaison de numéros qui a davantage de chances de sortir et de nous faire décrocher le jackpot du loto !

Elle nous explique sa stratégie pour avoir un ticket gagnant au loto … et même pour gagner le jackpot :

Pour gagner au loto, je dirais même pour gagner beaucoup d’argent voire le jackpot, on peut laisser faire le hasard … ou tenter de maîtriser les aléas du tirage.

Avec le hasard, 0,000 005 244 % de chance de gagner (1 chance sur 19 068 840). On joue son numéro fétiche, un numéro de téléphone, un code-barres, etc. Ou encore on laisse faire ce satané ‘hasard’. Tout cela n’est pas sérieux et n’a rien de scientifique ; cela ne permet pas d’optimiser ses chances de gain !

Mais en tentant de maîtriser les aléas du tirage, les probabilités de gain augmentent considérablement !

Elle nous livre alors quelques unes de ses techniques statistiques pour gagner au loto :

Il faut élaborer un algorithme efficace. C’est cet algorithme que je tente de perfectionner jour après jour. Je ne vais pas vous livrer l’entièreté de mon algorithme, mais je peux vous dire qu’il se base sur les tirages de chaque numéro depuis la création du loto avec mise en exergue des 50 derniers tirages. J’ai rajouté d’autres données qui se basent sur la propriété de Markov ou encore le théorème central limite. Cela me permet de faire ressortir une série de 1507 combinaisons différentes à chaque tirage, celles qui ont le plus de chance de sortir.

Grâce à cette technique pour gagner au loto, Norma Noah-Lemeu optimise ses gains de manière fulgurante :

En jouant les 1507 combinaisons à chaque tirage, je gagne toujours de l’argent. Certes, cela ne rembourse pas toujours mon investissement de départ, mais je gagne quand même, preuve que ma technique est efficace. D’ailleurs, plus je joue de grilles, plus je gagne. Ma méthode est infaillible !

Jouer au loto pour gagner le jackpot est un travail à plein temps pour Norma :

J’investis énormément de temps et d’argent dans le développement de mon algorithme qui prédit les numéros du Loto qui vont sortir, mais aussi dans la validation de mes 1507 grilles. Je ne louperais un tirage pour rien au monde. Il faut de la rigueur si on veut gagner. Petit à petit, je me rapproche du but. Et d’ici quelques années, à moi les multiples jackpots du loto !

Alors maintenant, si vous souhaitez gagner au loto, vous connaissez les méthodes et techniques qu’il vous reste à appliquer !

Et si vous gagnez le jackpot du loto (ou même une somme moins importante), pensez à nous en donner une petite part, car ce sera un peu grâce à nous si vous avez gagné, non ?

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Transports

Opération “Parraine un radar” : gagner de l’argent en investissant dans un radar

TRANSPORT / INVESTISSEMENT – Le Gouvernement français envisage le fonctionnement de 10.000 radars automatiques d’ici 2025. Pour accélérer leur installation, le Gouvernement permet aux particuliers d’investir dans l’installation de ceux-ci via l’opération “Parraine un radar”. 50% des recettes des contraventions reviendront à l’Etat tandis que les 50 autres pourcents seront répartis au pro-rata du montant investi par chaque particulier pendant 5 ans.

Parraine un radar
L’opération gouvernmentale “Parraine un radar” permet d’investir de l’argent dans un radar fixe et de récolter de l’argent en fonction des contraventions générées par celui-ci.

La sécurité routière est un engagement fort auquel tient chaque gouvernement, d’autant plus que cela lui permet de récolter près de 1 milliards d’euros de recettes dus aux contraventions chaque année. Les gouvernements successifs ne cessent de marteler leur intention, année après année, de développer toujours plus le parc de radars automatiques, en en installant de nouveaux, mais également en remplaçant les anciens radars par des radars encore plus performants tels que radars tourelles urbains (combinant franchissement de feu rouge ou de passage à niveau et vitesse) ou radars double-face (permet de distinguer les différents types de véhicules et de prendre en photo aussi bien l’avant que l’arrière du véhicule).

Aussi, devant l’investissement conséquent que représente le développement du parc de radars fixes, le Gouvernement lance un appel à l’investissement auprès des particuliers via l’opération “Parraine un radar”. Marcel Hoffmann, responsable de l’opération nous explique ce projet :

“L’opération ‘Parraine un radar’ est née d’un brainstorming lors d’une réunion de travail entre plusieurs associations de sécurité routière et des représentants de l’Etat. Nous avions pour objectif de trouver des solutions afin de développer, d’ici 7 ans, le parc de radars fixes pour atteindre 10.000 machines.

[…]

Il faut compter près de 150.000€ pour chaque radar nouvelle génération, sans compter l’entretien qui s’élève à près de 15.000€ par an. Soit un investissement d’ici 2025 de plus de 1,65 milliards d’euros !

[…]

C’est pourquoi, afin d’assurer cet investissement que ne peut supporter l’Etat, nous avons décidé de lancer l’opération ‘Parraine un radar’, où chaque particulier peut investir pour contribuer à l’achat de ces radars.”

Cela signifie que chaque particulier peut investir, à hauteur de ses moyens, dans un radar. Le retour sur investissement se fera en fonction du montant des contraventions générées par ce radar et au pro-rata de son investissement, ainsi que le détaille M. Hoffmann :

“Les particuliers peuvent investir de 100 € minimum à 10.000 € maximum, mais dans un seul radar. Ils pourront choisir l’emplacement parmi ceux que nous leur proposerons sur une carte. Leur retour sur investissement se fera à hauteur de 50% des recettes des contraventions générées par ce radar sur 5 ans, les 50 autres pourcents revenant à l’Etat. Evidemment, dans ces 50% de recettes, la répartition se fera entre chaque investisseur, au pro-rata de l’investissement de chacun. En outre, les investisseurs ne percevront ces revenus que durant 5 ans après la mise en service effective du radar. Au-delà, c’est l’Etat qui récupère 100% du montant.”

Cela est très avantageux pour l’Etat, qui limite ses investissements tout en continuant à percevoir l’argent des contraventions :

“L’Etat n’investira plus 1 seul euro dans l’acquisition de nouveaux radars. Toutefois, il continue à investir dans le Centre de traitement des contraventions automatisés de Rennes et dans l’entretien et le remplacement des radars existants en cas de dégradation notamment. Mais ce n’est pas parce qu’il n’investit plus que l’Etat ne percevra pas d’argent ; 50% des recettes des contraventions lui reviendront et après 5 ans de mise en service du radar, l’Etat récupérera l’intégralité du montant des contraventions !”

Il est également à savoir que l’investisseur n’est aucunement titulaire partiel du radar :

“Même si l’investisseur met de l’argent dans le radar, il s’agit à proprement parler d’une ‘contribution au financement’. Cela signifie que les investisseurs n’ont aucun droit sur le radar qui ne leur appartient donc pas. Celui-ci demeure intégralement propriété de l’Etat”.

Il est par ailleurs clairement indiqué que “L’investissement dans un radar fixe est soumis aux risques inhérents à l’activité d’investissement. Il ne peut être donné aucune garantie contre les pertes résultant d’un investissement réalisé dans un radar fixe, et rien ne garantit la récupération par l’investisseur de sa mise de fonds initiale.” Il faudra donc investir dans des radars susceptibles de générer un fort taux de contravention.

Alors, prêt à investir grâce aux excès de vitesse de vos concitoyens automobilistes ?