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Péter dans le lit : du bonheur partagé !

FLATULENCES – Les flatulences, ou “pets”, sont généralement mal considérées dans nos sociétés occidentales. Or, les flatulences peuvent être une source de bonheur et de bien-être non négligeables comme nous l’explique le psychologue Pierre Larquesse. Seul ou en couple, étudions les effets positifs des flatulences, notamment au lit.

Vers une nouvelle culture du pet : "Péter, c'est être libre !"
Vers une nouvelle culture du pet ? “Péter, c’est être libre !”

Pierre Larquesse vient d’être nouvellement nommé docteur ès psychologie avec sa thèse qui a bénéficié des “Mentions très honorables avec félicitations du jury”. Son doctorat a porté sur le très sérieux sujet de thèse : “Influence du soma sur la psyché : les flatulences, résurgence de l’ataraxie ?”, que l’on pourrait traduire par : “Influence du corps sur le psychologique : Est-ce que les pets peuvent (re)créer le bonheur ?”

Dans cette thèse, Pierre Larquesse commence par interroger la culture du pet dans les différentes sociétés et tout particulièrement dans les sociétés occidentales. Il en ressort que les flatulences sont aujourd’hui perçues négativement, comme une faiblesse obscène. Aussi, après avoir croisé les effets bénéfiques du pet pour la santé physique à ses atouts psychologiques pour l’individu, il en déduit la nécessité de réhabiliter le pet comme source de bien-être à partager.

En effet, pour un esprit sain dans un corps sain, Pierre Larquesse préconise à tout un chacun de péter quand bon lui semble :

“La flatulence présente de nombreuses vertus. Non seulement le corps a besoin de se libérer par ces gaz, mais cela présente également des atouts pour le psychologique : en libérant le corps, on libère l’esprit. Ainsi, il convient de pouvoir flatuler au moment où l’on en a besoin, et ce où que l’on soit”.

Mais Pierre Larquesse va encore plus loin dans son analyse, lorsqu’il préconise de partager le pet en couple. En effet, il fait état de tous les avantages que peuvent présenter les pets dans le lit par exemple :

“Lorsqu’on est en couple, on se retient de flatuler dans le lit (jusqu’à parfois ressentir des douleurs physiques !) … Même si cela devient de moins en moins vrai au fil des années qui passent dans un couple. Pourtant, je pense qu’il est important de partager ces moments de flatulences par ce qu’on pourrait appeler familièrement le ‘Pet partagé’. Partager les flatulences permet non seulement de se sentir bien soi-même mais aussi de témoigner à son conjoint(e) son bien-être et donc par là même, de le partager”.

Cela revient à dire que péter dans le lit rend heureux son conjoint ou sa conjointe :

“Encore faut-il changer de ‘culture du pet’, pour parler familièrement”.

En effet, ne tentez pas encore de péter au lit avec votre conjoint(e) ; sauf peut-être après avoir lu ensemble cet article.

Pierre Larquesse l’atteste :

“Parmi les 5 couples qui ont tenté l’expérience et que j’ai suivis durant la rédaction de ma thèse de doctorat, j’ai constaté une évolution du bien-être, un accroissement de la complicité et une solidification du couple pour chacun d’entre eux”.

Pierre Larquesse désire véritablement instaurer une nouvelle culture du pet, où le pet prendra toutes ses lettres de noblesse :

“Outre le lit, les flatulences doivent être partagées partout, tout le temps. Pas seulement avec le conjoint, mais également avec les enfants, les invités, etc.

Et cela n’empêche pas de réserver les plus belles flatulences pour sa moitié !”

Quant aux “pets qui puent” :

“Les flatulences malodorantes peuvent en effet être un tue-l’amour voire un problème dans les relations sociales. Pour cela, il faut savoir gérer ses flatulences en distinguant quand celles-ci risquent d’être malodorantes, afin de les éviter. Certes cela va à l’encontre du principe de la ‘liberté de flatuler’ que je préconise, mais étant donné que les méfaits des nuisances olfactives sont plus importants que les bienfaits des flatulences, il faut éviter ce type de flatulences”.

Ainsi, évitez les pets qui puent et autres pets foireux !

En conclusion on peut se demander quand arrivera cette “liberté de péter” où on veut, quand on veut et comme on veut. Imaginez l’ambiance au bureau, dans la rue, dans les magasins, les entretiens d’embauche et aussi l’intimité comme l’écrit non sans humour Pierre Larquesse en dernière partie de sa thèse :

“Qui n’a jamais eu envie de flatuler en plein acte sexuel ? Imaginez maintenant que les flatulences soient bien perçues : vos actes sexuels n’en seront que meilleurs !”.

Alors pétez au lit, pétez en plein acte sexuel, et pétez aussi avec vos amis ! Vive le pet !

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