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La loi interdit de déféquer dans la nature au-dessus de 1200m d’altitude

LEGISLATION – Une loi surprenante, et toujours en vigueur, est méconnue en France : l’interdiction de déféquer dans la nature au dessus de 1200m d’altitude !

Le panneau “Interdiction de déféquer” vous rappelle la loi : il est interdit de faire caca dans la nature au-dessus de 1200m d’altitude !

On savait déjà que la loi réprimait l’épanchement d’urine ou de déjections de toute sorte sur la voie publique (Article R116-2 du code de la voirie routière).

Mais en ce qui concerne la nature, alors qu’on se croyait libre d’uriner et déféquer où on voulait, il faut se souvenir de cette loi de 1973. En effet, la loi interdit de déféquer dans la nature au-dessus de 1200m d’altitude comme nous le rappelle le Colonel Karim Camoux :

“La loi est claire : elle interdit de déféquer au-dessus de 1200m d’altitude. Par contre, la loi n’interdit pas d’uriner ou de vomir.”

Quant aux raisons de cette loi, le Colonel Karim Camoux nous explique :

“Cette loi existe afin de préserver les marmottes. En effet les marmottes sont très sensibles aux déjections humaines. Certaines de ces déjections humaines présentent une telle odeur pestilentielle qu’elles mettent en péril la survie des marmottes, à l’odorat très sensible. En d’autres termes, l’odeur des défections humaines sont si puissantes qu’elles détraquent l’odorat des marmottes qui ne parviennent plus à se repérer. Cela engendre irrémédiablement leur mort, soit par empoisonnement – leur souffrance est alors atroce -, soit en étant attaquée par un prédateur”.

Il est à noter que les premières espèces de marmottes apparaissent à partir de 1200-1300 mètres d’altitude. Aussi, cette loi a été promulguée afin de préserver cette espèce, qui est une espèce protégée.

Ainsi, si vous partez en randonnée en moyenne ou haute-montagne et que vous avez besoin de déféquer, n’oubliez pas de prévoir des sacs à caca ! La vie des marmottes est en jeu !

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Les effets positifs de la déforestation

Brisbane (Australie) – Une étude australienne publiée dans la revue “Naturalia” vient prouver les effets positifs de la déforestation. Si rien n’est fait, dans 36 ans, la nature aura repris le pouvoir sur l’Homme !

Une équipe de 5 chercheurs australiens vient de rendre un rapport alarmiste sur l’état de notre planète lors d’une conférence sur le Climat qui se tenait à Brisbane en Australie. Les conclusions de cette étude sont stupéfiantes : contrairement à ce que l’on pourrait penser, la déforestation n’est pas la cause du déclin de notre planète. Au contraire, elle aiderait l’humain à garder la maîtrise de la Terre.

Dans leur rapport richement illustré de plus de 1000 pages (dont 750 pages blanches), les 5 chercheurs ont découvert que la déforestation permettait de réguler l’avancée de la Nature sur l’Homme. En effet, même si l’Homme a progressivement rogné sur la nature, cette dernière se réinvite partout. La Nature dispose d’une très forte faculté d’adaptation ainsi que l’expliquent les 5 chercheurs :

“La Nature parvient à détruire en 1 minute ce que l’humain a mis 1 an à construire. On constate que la Nature s’adapte et parvient à trouver tous les moyens pour contrer les murs de béton comme l’arbre de Canberra, cet arbre qui a poussé depuis les égouts, en plein cœur de la ville !”

Les 5 chercheurs s’intéressent alors longuement aux effets positifs de la déforestation. Ils expliquent que :

“Plus on déforeste, plus on montre à la Nature qui est le patron. La Nature ne doit pas se sentir toute puissante. L’Homme parvient à la détruire et ce sera lui qui gagnera le combat”

Déforestation en Australie
La déforestation a des effets positifs selon des chercheurs australiens, comme ici en Australie.

Ils concluent leur rapport avec 10 recommandations pour éviter que la nature ne nous gouverne :

  • Développer la ville et favoriser une stratégie d’expansion ;
  • Développer des infrastructures expansives ;
  • Prévoir un bonus écologique pour les utilisateurs des désherbants les plus féroces ;
  • Mettre en valeur les études pour devenir bûcheron ;
  • Développer la demande en bois par des politiques incitatives (réductions d’impôts, primes, etc.) ;
  • Détruire les parcs naturels ;
  • Réglementer les plantations : interdiction de planter aux particuliers, limitations pour les entreprises ;
  • Prévoir des zones de pollution ;
  • Favoriser l’élevage de xylophages et la culture de champignons qui affecteraient les arbres
  • Créer un service chargé de la lutte contre la Nature expansive

Espérons que l’Homme parvienne à garder le contrôle contre cette Nature toute-puissante !