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A cause de sa très mauvaise haleine, il dérègle 2 éthylotests électroniques des gendarmes

SAINT-QUENTIN – Un automobiliste de Laon, contrôlé par la gendarmerie près de Saint-Quentin (Aisne), a déréglé malgré lui 2 éthylotests électroniques. En cause : son haleine pestilentielle.

Lors d’un contrôle d’alcoolémie à Saint-Quentin (Aisne), un automobiliste Laonnois dérègle 2 éthylotests électroniques à cause de sa mauvaise haleine.

Lors d’un contrôle d’alcoolémie mené à proximité de la ville de Saint-Quentin, dans l’Aisne, les gendarmes n’auraient jamais cru tomber sur pareil énergumène et vivre une telle mésaventure.

Lorsqu’ils arrêtent Gérard* (son prénom a été changé), ils flairent tout de suite le “bon client”, c’est-à-dire le conducteur verbalisable, vu qu’ils sentent une odeur pestilentielle se dégager de la voiture :

Après son arrêt, lorsque l’automobiliste a ouvert sa vitre de voiture, une odeur extrêmement nauséabonde nous a sauté au nez. On a rapidement cru qu’il transportait un cadavre tellement l’odeur était forte. On l’a donc fait sortir du véhicule avant de vérifier ce qui était la cause de cette odeur. Après 1/2 heure de vérifications, on se rend compte que l’odeur vient en fait de la bouche de ce monsieur !

Audrey El Ranghin, Colonel responsable du contrôle routier.

Les gendarmes décident alors de procéder à un test d’alcoolémie :

On a décidé de faire souffler l’automobiliste. L’odeur était tellement forte que j’en avais des hauts-le-cœur. Lorsqu’il a soufflé, immédiatement l’éthylotest électronique s’est mis à sonner bizarrement. En vérifiant, il était devenu complètement inopérant. On a alors sorti le deuxième éthylotest électronique de secours. Et là, rebelote ! L’éthylotest s’est déréglé.

Le conducteur ne pouvant pas être contrôlé pour son alcoolémie, il a pu repartir … Tout comme les gendarmes, quelques minutes plus tard :

Etant donné qu’on ne disposait plus d’appareils de contrôle et que l’automobiliste avait complètement détruit nos 2 éthylotests électroniques à 300€ pièce, on s’est dit qu’il fallait vite rentrer …

Suite à cette mésaventure, les gendarmes ont su s’adapter :

Maintenant, en plus des éthylotests électroniques, nous sommes équipés de brosses à dents jetables et de dentifrice pour faire face aux conducteurs à mauvaise haleine !

Un conseil : lavez-vous les dents si vous ne voulez pas devoir le faire devant les gendarmes !

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Le “Paris Plages” maison vire au drame

Une famille de Saint-Quentin (Yvelines) a décidé de créer un “Paris Plages” chez elle, autour de son pavillon nouvellement construit. Mais les événements sont vite devenus dramatiques !

Le "Paris Plages" à la maison tourne au cauchemar à Saint-Quentin
Le “Paris Plages” à la maison tourne au cauchemar à Saint-Quentin. Coda.

La famille Boulet ne se doutait pas du drame qui allait se produire chez elle. Après être allé à “Paris Plages”, Jonathan, le père de famille, décide de faire une surprise à toute sa petite famille. Il a l’idée de reproduire “Paris Plages” chez lui.

Jonathan confie son projet à une entreprise de BTP locale “Paulo Brico”. Il leur donne des consignes simples :

“Je veux que vous reproduisiez ‘Paris Plages’ dans mon jardin. Je vous laisse carte blanche !”

Le chef d’entreprise voit une aubaine dans ce projet pour raviver les finances de son entreprise. Il se renseigne alors sur le concept de “Paris Plages”. Suite à quoi, il commence à mettre en oeuvre le projet durant une semaine où la femme et les enfants de Jonathan sont en vacances.

Jonathan, chez lui au moment des travaux, se souvient bien de l’arrivée des camions de sable :

“J’étais enchanté ! Enfin mon projet se concrétisait. J’entendais les camions arriver. Le bruit des travaux me dérangeant, j’ai mis un casque et j’ai maté quelques DVD.”

Mais Jonathan est brusquement interrompu dans sa quiétude :

“Les portes de ma maison se sont mises à céder sous le poids du sable. Il y en avait partout : il rentrait par les fenêtres, le garage, le sous-sol, tout était défoncé !”

En effet, Paulo Coellisimo, PDG de l’entreprise “Paulo Brico”, suite à un incroyable malentendu, avait commandé autant de sable que pour l’événement “Paris Plages”. Il s’explique :

“Il est vrai que j’étais un peu surpris qu’un client demande à créer un ‘Paris Plages’ chez lui. Mais des demandes farfelues, j’en ai tellement que je ne me suis pas posé de questions ! Par contre, il est vrai que j’aurais du me rendre compte que la maison s’enfouissait de plus en plus sous le sable et qu’elle risquait de céder sous tout ce poids.”

Heureusement, Jonathan est sorti indemne de ce drame et conclut non sans humour :

“Au moins, à défaut d’aller à la plage, c’est la plage qui est venue jusque dans mon salon !”.

Mais les dégâts sont considérables. Le pavillon de Jonathan est bon à détruire.

“Paulo Brico” nous a confié offrir gracieusement ses services et lui vendra le sable livré à prix coûtant.