DON DE SPERME / PORNO – Face à la pénurie de sperme, l’industrie du cinéma pornographique a décidé d’agir. Elle a annoncé que le sperme de ses acteurs porno sera systématiquement récupéré et donné aux banques de sperme. De même, elle va inciter les spectateurs de ses films à faire don du sperme issu de leur masturbation ou de leurs relations sexuelles.
La pénurie de sperme est une réalité : le nombre de donneurs de sperme est en baisse constante. Face à cette pénurie grandissante, qui entraîne des délais d’attente de 1 à 2 ans pour les demandeurs, l’industrie pornographique a décidé de se mobiliser :
L’industrie du porno est une source phénoménale de sperme. Il nous a paru vraiment dommage de gâcher autant de sperme dans nos films de détente-excitation pour adultes. C’est pourquoi nous avons décidé de nous mobiliser en récupérant autant que faire se peut le sperme de nos acteurs.
Concrètement, cela ne change rien pour nous si ce n’est passer un peu de temps après le tournage de la scène pour récupérer le sperme.
Vitore Gasma, directeur de Porn-World, lobby international du porno.
On estime que si tout le sperme de l’industrie pornographique était récupéré, il n’y aurait plus aucun délai d’attente.
Outre les acteurs de films X, l’industrie du porno va encore plus loin en incitant les spectateurs de ses films pour adultes à récupérer le sperme et en faire don :
Nos films sont propices à la masturbation masculine ainsi qu’à l’excitation des couples, trios ou plus.
Nous allons donc insérer un bandeau informatif au début de chacun de nos films afin d’inciter nos spectateurs à ne pas gâcher le fruit de leur masturbation ou de leurs relations sexuelles, en récupérant et faisant don de leur sperme.
V. Gasma, Porn-World
Ainsi, en récupérant le sperme des acteurs porno et celui des spectateurs de ces films pour adulte, on estime que les banques de sperme recevraient en 1 journée l’équivalent de 6 mois de réserve. De quoi faire face à toute augmentation des demandes.
L’industrie du porno très engagée au service du don de sperme, il fallait y penser !