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Trump : les arguments qui “prouvent” qu'”[il est] la personne la moins raciste au monde”

TRUMP / RACISME – Après de nouveaux propos polémiques, considérés comme racistes, Donald Trump s’est défendu de ces accusations. Il a usé de très nombreux arguments afin de prouver qu'”[il était] la personne la moins raciste au monde” ainsi qu’il l’a déclaré.

Donald Trump n’est pas raciste : 4 preuves irréfutables

Donald Trump a de nouveau essuyé des critiques de racisme après des attaques sur Baltimore et un élu noir lorsqu’il a déclaré dans un tweet :

“Le district de Cummings est un désordre dégoûtant, infesté de rats et autres rongeurs. S’il passait plus de temps à Baltimore, il pourrait peut-être aider à nettoyer cet endroit très dangereux et sale”. 

Tweet de Donald Trump, 13:14 – 27 juil. 2019.

Il avait par ailleurs invité quatre élues démocrates issues de minorités à “retourner” dans leur pays d’origine.

Face à ces propos discriminatoires, Donald Trump s’est défendu de tout racisme :

Je suis l’homme le moins raciste au monde. Et je vais vous le prouver.

1) J’ai plein d’amis noirs et mexicains. Même si je ne les vois pas souvent, c’est très utile pour moi lorsqu’ils m’accompagnent dans mes déplacements car j’ai parfois du mal à comprendre ce qu’ils baragouinent alors ils me traduisent.

2) Je vais souvent manger dans des restaurants tex-mex où on y mange très bien, même si parfois la digestion est difficile, mais je ne leur demande pas de faire de la haute gastronomie.

3) Je parle espagnol avec l’accent mexicain de temps en temps, et pas seulement pour me moquer.

4) Une grande partie de mes petites mains, femmes de ménage, cuisiniers, agents d’entretien sont noirs. Je salue leur travail, même si pour eux c’est plus facile car ils ont l’habitude de bosser dur.

On dispose donc désormais de 4 preuves irréfutables assurant que Donald Trump n’est pas raciste.

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International

Commémoration du centenaire de l’armistice du 11 novembre 1918 : Trump croyait commémorer les attentats de Paris de 2015 !

CENTENAIRE DE L’ARMISTICE / TRUMP – Le 11 novembre 2018, près de 70 chefs d’états étaient réunis à Paris pour commémorer le centenaire de l’armistice de la Première Guerre Mondiale. Parmi eux, Donald Trump. Si ce dernier a été nonchalant dès son arrivée et qu’il a snobé le Forum pour la paix, c’est parce qu’il ne savait pas à quoi correspondait le 11 novembre : il croyait commémorer les attentats de Paris du 13 novembre 2015 !

Lors de sa venue à Paris pour commémorer le Centenaire de l’Armistice de la Première Guerre Mondiale, Donald Trump croyait qu’il venait commémorer les attentats de Paris !

Dès son arrivée à Paris, vendredi 9 novembre, pour commémorer les cent ans de l’armistice marquant la fin de la première guerre mondiale, Donald Trump a adopté une attitude très provocante. Il a tweeté  :

“Le président français Macron vient de suggérer que l’Europe se dote de ses propres forces armées pour se protéger des États-Unis, de la Chine et de la Russie. Très insultant, mais peut-être que l’Europe devrait d’abord payer sa juste part à l’OTAN, que les Etats-Unis subventionnent largement !”

Dès sa rencontre avec Emmanuel Macron le lendemain, Donald Trump a modéré sa colère. Toutefois, il s’est fait remarquer en mobilisant ses propres forces de sécurité. De même, il a refusé de suivre le convoi de bus des chefs d’Etat en se déplaçant dans son propre véhicule blindé lors de la cérémonie du 11 novembre à l’Arc de Triomphe de l’Etoile.

Si Donald Trump fait bande à part, c’est non seulement pour se démarquer en tentant de mettre en exergue son indépendance et sa puissance, mais c’est aussi et surtout car il est en colère contre “les Français qui n’ont de cesse de se moquer de lui” selon une source proche de la diplomatie américaine. Et si Donald Trump était tout particulièrement fâché durant cette commémoration du centenaire de l’armistice de la première Guerre Mondiale, c’est parce qu’il a commis une terrible méprise. A la question d’un journaliste de l’agence de presse Reuters, vendredi 9 novembre juste avant son départ pour Paris, qui lui demandait quel message il voulait faire passer par sa présence à ces commémorations à Paris, il a déclaré :

“Le terrorisme est une problématique terrible à laquelle chaque Etat démocratique est confronté. Je pense toujours à toutes les victimes du terrorisme, à Paris comme ailleurs. Si je retourne en France, 3 ans après une vague d’attentats particulièrement terribles, c’est pour montrer le soutien de tous les Américains, le fait qu’on n’oublie pas et qu’on est toujours là, proche de la France et des Français”.

Au lieu d’annoncer la commémoration de l’Armistice de 1918, Donald Trump faisait référence aux attentats survenus le 13 novembre 2015 aux abords du Stade de France, dans les 10ème et 11ème arrondissements de Paris et au Bataclan.

Emmanuel Macron se serait alors moqué de cette remarque totalement non pertinente de Donald Trump :

“Il ne sait même pas pourquoi il vient !” aurait-il ironisé.

Mais cette information concernant la moquerie d’Emmanuel Macron à son encontre, qui lui serait remontée très rapidement, n’a pas du tout plu à Donald Trump. Ceci explique son comportement froid, distant voire hautain vis-à-vis du Président Français dès son arrivée à Paris.

Emmanuel Macron ne s’est pour autant pas formalisé de cette attitude de son homologue américain. Lors d’un entretien réalisé dans la soirée de samedi à l’Elysée par le journaliste de CNN Fareed Zakaria, il en a profité pour jeter à nouveau de l’huile sur le feu, via 2 piques subtilement envoyées :

“Je préfère avoir une discussion directe plutôt que de faire ma diplomatie par des tweets.

[…] De par cette discussion en face à face, je pourrai d’ailleurs mieux lui expliquer les perspectives de cette commémoration.”

Fâché par ce mépris, Donald Trump a pris la décision de ne pas participer au Forum de la paix qui a eu lieu dimanche après-midi à la grande halle de la Villette.

Malgré ces provocations et piques envoyées à distance entre Emmanuel Macron et Donald Trump, les diplomaties de chacun des 2 pays assurent que les relations entre les 2 Présidents demeurent “très cordiales”.

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Politique

Emmanuel Macron victime du Popo Challenge (Politic Challenge), lobby venant de Russie

POPO CHALLENGE – Le “Popo Challenge” (pour “Politic Challenge”) est calqué sur le Momo Challenge. Il s’agit d’un ensemble de défis politiques qui peuvent mener jusqu’au suicide. Emmanuel Macron, victime de ce challenge politique, a malheureusement succombé à un terrible burn-out.

Emmanuel Macron en burn-out à cause du “Popo Challenge” (ou “Politic Challenge”), un ensemble de défis imposés au Président, par un groupe Russe à l’origine de son élection.

Bien qu’Emmanuel Macron soit au chevet d’Angela Merkel durant 3 jours, comme nous vous le dévoilions hier, il n’en est pas moins victime d’un grave burn-out. Il a en effet été victime du challenge politique qui peut conduire jusqu’au suicide : le “Popo Challenge”. Usant du même modus operandi que le “Momo Challenge”, le “Popo Challenge” (connu également sous le nom de “Politic Challenge”), consiste en un ensemble de défis politiques à accomplir, des plus simples au début du challenge aux plus compliqués à la fin de celui-ci.

Donald Trump, première victime de ce “Politic Challenge,” semble mieux gérer les défis qui lui sont imposés qu’Emmanuel Macron. Le président Français est en effet victime d’un burn-out ayant nécessité son “retrait” temporaire.

Aussi, quels sont les défis qu’imposent ce “Popo Challenge” et qui ont engendré le burn-out du Président Macron ? Nous avons mené l’enquête en croisant les politiques américaines et françaises depuis les élections (les 2 pays sont actuellement les 2 seules victimes recensées de ce challenge) et en nous immisçant dans les méandres des groupes secrets qui président, dans l’ombre, au devenir des 2 pays. Ainsi, nous avons pu dessiner l’échelle des 9 défis du Popo Challenge que les victimes doivent accomplir durant leur mandat politique :

  • Défi n°1 : Incarner un chef impitoyable qui n’écoute pas le peuple ;
  • Défi n°2 : Multiplier les réformes à un rythme soutenu ;
  • Défi n°3 : Maintenir et développer des partenariats géopolitiques sensibles ;
  • Défi n°4 : Imposer des réformes avantageuses uniquement pour les classes titulées (haute bourgeoisie) ;
  • Défi n°5 : Imposer des réformes préjudiciables aux classes moyennes et classes populaires ;
  • Défi n°6 : Devenir impopulaire ;
  • Défi n°7 : Refermer le pays sur lui-même ;
  • Défi n°8 : Développer des partenariats stratégiques avec la Russie ;
  • Défi n°9 : Positionner des hommes d’affaires Russes dans des organes décisionnels d’entreprises, groupes ou institutions stratégiques nationaux
  • Si succès de ces 9 défis > Possibilité de réélection, avec un degré de difficulté pour accomplir ces défis accru.

Alors que Donald Trump semble se situer au défi n°7, Emmanuel Macron vient tout juste d’arriver au défi n°6. Or, très sensible à ce qu’on l’apprécie personnellement, cette impopularité semble l’avoir durement affecté, ce qui a entraîné son burn-out et son “retrait” temporaire.

Alors, est-ce qu’avec ce burn-out, Emmanuel Macron va mettre fin au Popo Challenge dont il est victime en sollicitant l’aide de ses collègues européens ? Ou au contraire va-t-il tenter d’aller jusqu’au bout de ce Politic Challenge au risque d’y laisser sa peau ?

Origines et fonctionnement du “Popo Challenge”
Le “Popo Challenge” ou “Politic Challenge” est un procédé d’intimidation politique qui provient de Russie et qui a émergé juste avant les élections présidentielles aux Etats-Unis, dès octobre 2016. Un groupe anonyme Russe (“политический вызов” abrégé “попо” / “Politic Challenge” abrégé “Popo”) assure l’élection de la personne qu’il a ciblée et demande en échange qu’il accomplisse, tout au long de son mandat, des défis de leur “Popo Challenge”.
La première victime de ce “Popo Challenge” a été Donald Trump, qui a du, doit et devra accomplir une multitude de défis dictés par ce groupe Russe à l’origine de son élection.
La seconde victime du “Politic Challenge” est Emmanuel Macron, qui a été élu Président de la France grâce à ce groupe Russe.

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Amérique

Etats-Unis : les enfants formés au maniement des armes à feu dès 7 ans

ARMES À FEU / ETATS-UNIS – Donald Trump a déclaré vendredi 4 mai devant les membres de la NRA que les enfants seraient formés au maniement des armes à feu dès 7 ans pour “éviter des hécatombes comme au Bataclan”. Il a également émis le souhait d’abaisser l’âge minimum légal à 14 ans pour acquérir des armes à feu.

Donald Trump a déclaré vendredi 4 mai 2018 que “les enfants seraient formés dès 7 ans au maniement des armes à feu”. Il envisage également d’abaisser l’âge minimum légal à 14 ans pour acheter une arme à feu.

Lors de son discours à la convention de la NRA (National Rifle Association), le lobby pro-armes aux Etats-Unis, vendredi 4 mai 2018, Donald Trump a défendu le droit de porter une arme en affirmant que les attentats du 13 Novembre à Paris auraient fait moins de morts si les victimes avaient été armées :

“Personne n’a d’arme à Paris et on se souvient tous des 130 personnes (tuées) et du nombre énorme de personnes horriblement blessées.

[…]

Elles ont été tuées brutalement par un petit groupe de terroristes qui avaient des armes. Ils ont pris leur temps et les ont tués un par un. ‘Boum, viens là; boum, viens là; boum, viens là'”

Ce discours, qui a fait réagir toute la communauté internationale et qui a choqué tout particulièrement la France et les familles de victimes, a été complété par une décision pour le moins radicale : former obligatoirement les enfants, dès 7 ans, au maniement des armes :

“Si on veut lutter efficacement contre le terrorisme, il faut impérativement assurer la formation des enfants, dès leur plus jeune âge. Pour cela, je compte imposer le maniement des armes dès 7 ans. 7 ans me paraît l’âge idéal puisque les enfants commencent à devenir responsable et à comprendre ce qu’ils font”a déclaré Donald Trump, sous les applaudissements fournis des membres de la convention.

Il a complété son discours en faisant le parallèle entre la formation aux premiers secours et la capacité à riposter :

“Dans la vie, 2 choses sont essentielles : porter secours et riposter.

Porter secours, c’est former les enfants, dès le plus jeune âge, aux gestes de premiers secours. Mais cela ne sert à rien si on ne peut pas riposter face à un meurtrier, un tueur de masse ou un terroriste !

Riposter, c’est parvenir à neutraliser le tueur. Et il n’existe aucune autre solution que celle de lui tirer dessus. La riposte doit être accessible à tout le monde. Il faut donc former les enfants au maniement des armes !” a complété Donald Trump.

Donald Trump envisage également d’aller plus loin en facilitant l’accès aux armes à feu et en abaissant l’âge légal minimal pour pouvoir accéder aux armes. Il souhaite également que cela soit généralisé dans tous les Etats des Etats-Unis :

“Outre la formation, je pense qu’il faut faciliter l’accès aux armes au plus tôt. J’envisage que 14 ans soit désormais l’âge légal auquel on pourra se procurer une arme. J’en appelle aux Gouverneurs de chaque Etat pour appliquer cette décision dès que possible.”

Ainsi, grâce à une formation à 7 ans et en permettant l’accès aux armes à feu dès 14 ans, Donald Trump veut croire que le nombre de crimes par armes à feu va se réduire. Paradoxe ou syllogisme ?

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Politique

Investiture de Trump : Hollande, invité à la Maison Blanche, préfère les Vosges

POLITIQUE – Donald Trump a été investi Président des Etats-Unis, vendredi 20 janvier 2017. François Hollande avait été invité à la Maison Blanche mais a préféré se rendre dans les Vosges, “the place to be”.

Affront de Hollande à Trump : une aubaine pour l’économie Vosgienne !

Donald Trump a été officiellement investi 45ème Président des Etats-Unis ce vendredi 20 janvier 2017. Afin de fêter cet événement, Donald Trump avait convié François Hollande. Mais ce dernier a décliné l’offre : il a préféré se rendre dans le département des Vosges.

Interrogé par les médias sur son refus de participer à l’investiture de Donald Trump, François Hollande a déclaré :

“L’avenir du monde ne se joue pas avec les Etats-Unis. Aujourd’hui, l’avenir de la planète se passe en France, et tout particulièrement ici, dans les Vosges, que ce soit à Epinal ou Châtenois par exemple. Grâce à ses industries du bois et du textile, les Vosges constituent le département précurseur de l’avenir économique de la France, de l’Europe, du Monde. Je vous l’assure, aujourd’hui, les Vosges c’est ‘The Place to be’. Les Etats-Unis, c’est déjà has-been”

Cette déclaration, dont la dernière phrase est diplomatiquement délicate (“Les Etats-Unis c’est déjà has-been”), n’a pourtant pas émoussé Donald Trump, qui, malgré son investiture, a pris le temps de tweeter :

“Je comprends que François Hollande ait privilégié de visiter 2 villes Vosgiennes, fers de lance de l’économie Française.”

Il complète même avec un autre tweet, posté 18 minutes plus tard, très encourageant :

“J’espère que les Etats-Unis pourront établir des partenariats commerciaux avec les entreprises du bois et du textile vosgiennes”.

Ainsi, la visite de François Hollande aura été très stratégique. Grâce à cet affront fait à Donald Trump en refusant son invitation à sa cérémonie d’investiture, c’est toute l’économie Vosgienne et Française qui a des chances de se développer de manière fulgurante grâce à un partenariat naissant avec les Etats-Unis.

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Amérique

Donald Trump veut privatiser les Etats-Unis pour booster l’économie

POLITIQUE AMERICAINE – Donald Trump, homme d’affaires multimilliardaire et futur président des Etats-Unis, a décidé d’opter pour une toute nouvelle organisation économique des Etats-Unis. Il souhaite privatiser l’Etat et faire de chaque citoyen un actionnaire afin de booster l’économie et responsabiliser les citoyens Américains.

Vers une privatisation des Etats-Unis pour booster l'économie Américaine. Vers une privatisation des Etats-Unis pour booster l’économie Américaine.

Donald Trump est un homme d’affaires dont la fortune est estimée à 3,7 milliards de dollars, en novembre 2016, selon le célèbre magazine économique américain Forbes.

Fort de son expérience d’homme d’affaire et suite à son élection à la Présidentielle Américaine, Donald Trump envisage de développer l’économie des Etats-Unis de manière fulgurante et pérenne en privatisant les Etats-Unis. Concrètement, cela signifie que chaque citoyen américain sera détenteur d’une part du capital de l’Etat. Selon Donald Trump, cette stratégie vise à responsabiliser les Américains :

“En rendant les Américains actionnaires de leur pays, ils se sentiront d’autant plus responsables quant à la bonne gestion financière de celui-ci. Ainsi, ils éviteront un maximum de dépenses inutiles avec l’argent ‘public’, de fraudes diverses. Avec cette responsabilisation, on constatera une diminution du gaspillage de l’argent public. En effet, tout l’argent non utilisé repartira directement dans la poche des citoyens actionnaires, ce qui stimulera les Américains à gagner toujours plus en gaspillant moins”.

Mais l’objectif de Donald Trump n’est pas seulement de permettre aux citoyens d’être acteurs responsables de leur économie, il vise également à favoriser les investissements étrangers, ainsi qu’il l’explique :

“En privatisant l’Etat, n’importe qui peut investir dans notre développement. Et étant donné que notre pays fait rêver le monde entier, on envisage que l’action en bourse de l’Etat américain explose de +1000% en 1 semaine. Cela signifie que chaque citoyen américain verra exploser son pouvoir d’achat grâce aux actions dont chacun sera détenteur !

Et grâce aux investissements étrangers, outre l’économie, c’est la condition de vie générale de chaque Américain qui sera améliorée.”

Quant aux risques de chute du cours de l’action voire de krack, Donald Trump se veut confiant :

“Nous aurons de nombreux garde-fous afin d’éviter toute chute de l’action ou toute tentative de déstabilisation économique. Ainsi, outre une réserve financière de sécurité permettant de juguler la chute éventuelle du cours de l’action, nous établirons un système sécurisant la chute hebdomadaire du cours à 10% maximum, en bloquant l’action le cas échéant.”.

Et en ce qui concerne les investissements étrangers susceptibles de troubler la politique interne américaine Donald Trump a la solution :

“Nous limiterons les actions détenues par les étrangers à 49%, ceci afin de demeurer souverain. De même, les citoyens américains n’auront pas le droit de revendre leurs actions à des étrangers.”

Pour le lancement de la privatisation de l’Etat, Donald Trump se veut rassurant :

“La privatisation prendra au moins 1 ans à réaliser entièrement. On part du principe que chaque citoyen, qui qu’il soit, se verra octroyer 10 actions dont la valeur estimée de chacune sera d’environ 20$ au lancement. Libre à chaque citoyen de les garder ou de les revendre. Toutefois, chaque citoyen devra obligatoirement conserver au moins 1 action”.

Cette décision de Donald Trump fera des Etats-Unis la première nation capitalisée au monde.

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International

Donald Trump demande des conseils capillaires à François Hollande

POLITIQUE – Alors que Donald Trump a fraîchement été élu, on s’interrogeait sur les liens qui l’uniraient avec François Hollande. Étonnamment, c’est Donald Trump qui, en premier, a demandé conseil à François Hollande …

Donald Trump téléphone à François Hollande ... pour des conseils capillaires ! (Caricature de DonkyeHotey)
Donald Trump téléphone à François Hollande … pour des conseils capillaires !
(Caricature de DonkeyHoteyCC-BY-SA)

Donald Trump, qui vient d’être élu à la Présidence des Etats-Unis, sera officiellement Président à l’issue de la Cérémonie d’Investiture du 20 janvier prochain. Alors que l’on pouvait craindre une dégradation des relations entre les Etats-Unis et la France, l’élection de Donald Trump ne convenant pas à François Hollande, un appel inattendu a eu lieu dimanche 13 novembre, à l’Elysée.

En effet, Donald Trump a téléphoné à François Hollande, appel qui a surpris tout le monde à l’Elysée :

“Quand on a reçu l’appel de Donald Trump, on a été très surpris. On croyait que le 45ème Président Américain allait exprimer son soutien concernant l’hommage aux victimes des attentats, il y a 1 an de cela.” nous explique un chargé de communication de l’Elysée.

En fait, Donald Trump souhaitait parler de tout autre chose à François Hollande, pour demander un conseil bien plus léger:

“L’appel n’avait rien de politique, il portait sur des conseils capillaires !” déclare avec humour ce chargé  de communication de l’Elysée.

Après l’Affaire du coiffeur de l’Elysée, qui avait beaucoup amusé les Américains, Donald Trump a eu besoin de prendre conseil auprès de François Hollande pour résoudre son important problème capillaire :

“Donald Trump a parlé près d’1/2 heure avec François Hollande. Il a été uniquement question de conseils capillaires et Donald Trump a demandé à rencontrer le coiffeur de l’Elysée afin qu’il résolve son problème de cheveux !” complète, très amusé, le chargé de communication de l’Elysée.

Il y a donc de fortes chances pour que la coiffure de Donald Trump devienne bientôt très tendance, grâce au coiffeur de l’Elysée.

François Hollande, bien malgré lui, vient de mettre en place une nouvelle forme de relations diplomatiques : la diplomatie capillaire !

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People

Un lien de parenté établi entre D. Trump et DSK

INTERNATIONAL – Un généalogiste espagnol, Paolo Morca, vient de déterminer un lien de parenté entre Donald Trump et Dominique Strauss-Kahn. Ce lien de parenté pourrait expliquer les similitudes entre ces 2 hommes politiques.

Trump et DSK seraient cousins !
Donald Trump et DSK seraient cousins !

Paolo Morca est un généalogiste réputé de la région de la Galice. Il est spécialisé dans l’établissement des liens de parenté des personnalités, dont les personnalités politiques. Aussi, en effectuant ses recherches généalogiques sur Donald Trump, il est parvenu à trouver un lien de parenté entre le candidat à la Présidentielle américaine et Dominique Strauss-Kahn :

“Suite à une commande qui m’a été passée, j’ai été amené à travailler sur l’ascendance de Donald Trump. Et au gré de mes recherches dans la généalogie de Donald Trump, je suis tombé sur une certaine Mme Strauss. J’ai tout de suite marqué le rapprochement.”

Suite à cette première découverte, le généalogiste pousse un peu plus loin ses recherches :

“Donald Trump et Dominique Strauss-Kahn sont parents au 8ème degré. Ce point commun se situe au niveau de cette anecdote que j’ai pu retrouver dans les archives nationales américaines :

Un parent de Donald Trump, Mike Trump, a eu des relations avec 67 femmes différentes. Mais étant donné qu’il était homme politique, personne ne s’en est insurgé outre mesure à l’époque. Parmi ces 67 femmes se trouvait Marguerite Strauss, qui elle aussi a cumulé les conquêtes masculines. Aussi, Marguerite Strauss a mis au monde sa descendance qui s’est installée en Alsace tandis que Mike Trump est demeuré aux Etats-Unis.”

Suite à cela, le généalogiste a transmis cette découverte à un généticien français Jean-Jacques Cartier qui en est parvenu à la conclusion suivante :

“Donald Trump et Dominique Strauss-Kahn sont cousins au 8ème degré. Aussi, le point commun entre eux se situe entre 2 parents aux moeurs légères, qu’on pourrait qualifier de libertines. Il est difficile d’affirmer que les moeurs soient purement génétique tant l’environnement influe sur cela. Néanmoins, au regard des affaires sexuelles similaires auxquelles sont confrontés Donald Trump et DSK, on peut supposer que la génétique est un facteur sérieux dans ces problèmes et scandales.”

Ainsi, en cas de procès dus à des scandales sexuels, Donald Trump et DSK pourront toujours faire valoir la cause génétique …