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En Chine, les personnes qui rateront leur tentative de suicide seront condamnées à la peine de mort

CHINE / SUICIDE – Après que le suicide a été déclaré illégal en Chine en 2016, le pays franchit une nouvelle étape. Les personnes qui tenteront, en vain, de se suicider, se verront condamnées à la peine mort.

En Chine, toute tentative de suicide se verra condamnée par la peine de mort.

En novembre 2016, nous vous révélions la nouvelle loi prise par la Chine interdisant les suicides (lire l’article “Le suicide illégal en Chine“). 3 ans plus tard, la Chine a décidé de frapper encore plus fort en condamnant à la peine de mort toutes les personnes qui auraient échoué à se suicider :

Le suicide est illégal en Chine depuis 2016. Toutefois, nous constatons que certains de nos concitoyens se suicident malgré tout, écopant de fait de lourdes amendes et de la perte du statut de citoyen Chinois.

Or, aucune sanction n’était prise à l’encontre de ceux et celles dont le suicide était raté. C’est pourquoi nous allons désormais condamner à mort toute personne qui échouera à son suicide.

Tao Yang, Directeur de la Grande Cour de Justice

Toute tentative de suicide se soldera donc par une condamnation à la peine de mort. De quoi en dissuader plus d’un de tenter d’attenter à ses jours !

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Transports

Pour éviter les “accidents de personnes”, des “lignes S” pour se suicider vont être créées.

“LIGNES S” / SUICIDES – Les accidents de personnes (suicides) causent d’importants troubles au trafic ferroviaire. Pour les éviter, France Rail va créer des “lignes S”, des lignes ferroviaires avec des trains sans passagers, spécialement dédiées aux suicides.

La “Ligne S” expérimentale (ligne ferroviaire réservée aux suicides) a connu un énorme succès entre la gare Paris-Nord et la gare de Luzarches, avec 45 suicides que n’ont pas eu à absorber les lignes ferroviaires traditionnelles.

Les “accidents de personnes” désignent, dans le langage ferroviaire, les accidents dus à la collision entre un piéton et un train, autrement dit les suicides. Ces accidents de personnes causent de nombreux troubles au trafic ferroviaire avec des retards s’étalant sur plusieurs heures.

Aussi, pour éviter ces troubles, France Rail va proposer des “lignes S”. Il s’agira de lignes ferroviaires spécialement dédiées aux suicides :

Les “lignes S” (“lignes suicides”) feront circuler des trains sans passagers, ce qui fait que les “accidents de personnes” n’auront aucune conséquence sur le trafic ferroviaire.

Annie Hillermann, Directrice de la Communication de France-Rail

L’objectif consiste donc à détourner les personnes désireuses de se suicider vers des lignes ferroviaires spécialement dédiées à cet effet, afin que cela n’occasionne aucune gêne aux passagers des trains.

Une première “ligne S” expérimentale a été mise en place entre la Gare du Nord à Paris et celle de Luzarches, en janvier 2019. Cette “ligne S” longe la ligne H du Transilien. Et cette expérimentation a connu un énorme succès :

La “ligne S” expérimentale entre Paris-Nord et la gare de Luzarches, nous a confortés dans notre ambition de développer le réseau des lignes S. On a en effet vu le nombre d’accidents de personnes diminuer de 68% sur cet axe. Notre ligne S a permis d’éviter 45 accidents de personnes depuis sa mise en service, car ces 45 personnes sont venues se suicider sur cette ligne qui leur est spécialement dédiée.

A. Hillermann

Les lignes “S” consisteront en des lignes de 15km environ autour des grandes agglomérations (78% des accidents de personnes ont lieu dans ce périmètre). 272 “lignes S” seront progressivement déployées pour être pleinement opérationnelles en 2024.

Grâce à ce projet, si les personnes suicidaires jouent le jeu, les “accidents de personnes” n’auront plus aucun impact sur la circulation ferroviaire, pour le plus grand plaisir des usagers du train.

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Asie / Océanie

La Chine interdit le suicide

DROIT AU SUICIDE – Alors que la Chine censure toujours ses médias et contrôle toujours ses habitants, un nouveau pas a été franchi dans la limitation des droits des Chinois avec l’interdiction du suicide, sous peine de lourdes sanctions.

La Chine interdit le suicide.
La Chine interdit le suicide.

La Chine est un pays dont on connaît la limitation des droits de ses citoyens et la censure qu’elle exerce dans tous les médias, dont Internet. Alors qu’on croyait que la Chine s’ouvrait petit à petit à davantage de droits et de liberté pour ses citoyens, une nouvelle loi vient de faire son apparition : l’interdiction de se suicider.

En effet, tout citoyen pris en train de se suicider, ou retrouvé suicidé, se verrait écoper d’une amende de près de 15000 Yuans (soit un peu plus de 2000€). En outre, il se verrait destituer de son statut de citoyen Chinois et n’aurait pas le droit à une inhumation.

Jiao Xangyu, militant en faveur du mouvement “Le droit d’avoir des droits”, exprime son mécontentement :

“Qu’on n’ait pas le droit de se suicider n’importe où, je comprends. Mais ils pourraient au moins autoriser le suicide dans des lieux prévus à cet effet !”

Nous avons contacté le Service de Propagande du Gouvernement Chinois qui nous assure avoir pris bonne note de la proposition de Jiao Xangyu. Des zones de suicide seront probablement créées, mais avec une interdiction de les fréquenter sans une autorisation préalable délivrée par les services de l’Etat sous 5 ans maximum.

 

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Jeux vidéos

Jonathan, 16 ans voulait retrouver les Pokémon au paradis

SAINT-CLOUD – Jonathan, adolescent de 16 ans fan absolu de l’application Pokemon-Go, a tenté de se suicider pour retrouver des Mewtwo au paradis.

Suicide Pokemon Go
Un adolescent accro au jeu en réalité augmentée “Pokemon Go” a voulu se suicider pour retrouver des Pokémon au paradis !

Triste histoire que celle de cet adolescent de 16 ans, Jonathan, qui vit à Saint-Cloud en banlieue parisienne. Fan absolu de l’appli “Pokemon Go”, Jonathan compte parmi les meilleurs chasseurs de Pokemon d’Ile-de-France. Devenu une star locale dans l’univers “Pokemon Go”, il devient de plus en plus stressé et dépendant au jeu comme l’explique sa petite amie Lucy :

“Jonathan a toujours été adorable. Mais dès qu’il est devenu un chasseur de Pokemon Go réputé, je l’ai senti de plus en plus distant. Il passait 10 heures par jour à chasser les Pokemon et ne m’accordait qu’1/4 heure uniquement si j’acceptais de l’accompagner dans sa chasse !”.

En fait Jonathan prend sa tâche de chasseur d’élite de Pokemon très à cœur. Il commence dès lors à s’enfoncer lentement dans un délire similaire à celui des jeunes embrigadés par Daesh.

Sur un forum de jeux vidéos qu’il a l’habitude de fréquenter, il lit ce message qui lui est tout particulièrement adressé :

"[Message de P****** - 08h14] Quand tu seras au paradis, il y aura 72 Mewtwo qui t'attendront ! ;-)"

Prenant cette blague comme un conseil, et désireux de demeurer le meilleur chasseur de Pokemon au monde, Jonathan tente de se suicider en avalant une à une ses peluches. Mais ayant les doigts trop paralysés (à force de jouer sur son smartphone), il ne parviendra pas à déchirer sa peluche géante Pikachu. C’est sa petite sœur de 12 ans qui le retrouvera prostré en train de pleurer avec Pikachu dans une main et son smartphone dans l’autre.

Mylen Rosenberg, psychiatre au Centre Hospitalier Saint-Balthazar nous explique ce qui est arrivé à Jonathan :

“Ce jeune homme s’est embrigadé malgré lui. Adepte voire dépendant au jeu, sa situation s’est aggravée par la pression qu’il s’est mise. En effet, il était considéré comme l’un des meilleurs chasseurs de Pokemon d’Ile-de-France et était très fier de ce statut. D’autant qu’à cet âge là, la reconnaissance par ses pairs est très importante. Alors il s’est malheureusement mis à prendre au premier degré toutes les blagues qui circulaient sur les Pokemon-Go. Le coup fatal a été celui de ce certain P****** (NDLR : celui qui lui a envoyé le message sur les 72 Mewtwo qui l’attendaient au paradis – voir plus haut dans l’article ). Il s’est lui-même embrigadé en s’auto-convainquant que tout ce qu’on lui disait était vrai. C’est la même sorte d’embrigadement que celle des nouvelles recrues de Daesh”.

Le gouvernement réfléchi d’ores et déjà à des moyens de prévention pour éviter l’ “embrigadement Pokemon”, de crainte que cela ne devienne un phénomène de société voire que n’éclosent des sectes Pokemon !

 

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Archives

Tentative de suicide sur autoroute : son contresens était en fait le sens de circulation !

MONT-DE-MARSAN – Henry C., 78 ans, a appris qu’il était gravement malade. Il décide de suicider en prenant l’autoroute à contresens. Malheureusement pour lui, étant donné qu’il est sénile, ce qu’il croyait être le contresens était en fait le sens de circulation normale !

a65
Autoroute A65 : voulant se suicider en roulant à contresens, un retraité sénile roule en fait dans le bon sens !

Henry C. est un paisible retraité des environs de Mont-de-Marsan. Se plaignant de douleurs violentes aux poumons, il suit une multitude d’examens. Il y a quelques jours, le verdict tombe : il est atteint d’un cancer des poumons que son état de santé ne permet pas d’opérer. Se sachant condamné, étant veuf, ayant une famille éloignée et peu d’amis, Henry C. opte pour une décision radicale : se suicider.

Ancien routier, Henry C. veut mourir au volant de sa voiture. Pour ce suicide et pour être sûr de ne pas se rater, il décide de prendre l’autoroute à contresens, ne réfléchissant pas au drame qu’il risquait d’occasionner en plus de sa propre mort. Il part dimanche matin de chez lui, s’installe au volant de sa Fiat 500 rouge toute neuve et part sur l’autoroute A65.

Lorsqu’il s’engage sur l’autoroute, perdu, il est convaincu qu’il est à contresens et que l’accident est donc inévitable. Malheureusement, Henry C. est sénile et il s’engage dans le bon sens de circulation. Très surpris que tout le monde roule à contresens comme lui, il ne lui vient même pas l’idée de faire demi-tour : c’en est loupé pour son suicide !

Il parle alors de ses sombres intentions à son voisin, Paul Carlin, qui prévient immédiatement le journal local “Sud ouest”. Nous sommes allés à sa rencontre pour qu’il nous explique ce qu’il s’est passé dans la tête d’Henry C. :

“Dimanche vers midi, j’étais vers mes vaches quand je vois Henry revenir avec sa p’tite Friate [NDLR : sa Fiat 500]. Il était tout bougon. J’lui ai fait signe de s’arrêter et je lui ai demandé ce qu’il se passait. Et là il m’a tout expliqué. J’étais sur le cul ! Alors je me suis dit, on va pas le laisser comme ça l’Henry. J’ai téléphoné au Michel [NDLR : le Maire] qui m’a dit de pas bouger. Ils ont fait venir les gendarmes et les pompiers pour emmener le pauvre Henry à Sainte-Anne. Et alors j’ai décidé de raconter toute l’histoire à Sud Ouest [NDLR : le journal local].”

Henry C. est actuellement soigné à l’hôpital psychiatrique Sainte-Anne de Mont-de-Marsan. Son état permettant les visites, les médecins ont accepté qu’on lui pose quelques questions dont nous vous retranscrivons quelques parties :

“[…]

– Henry, pourquoi un suicide sur l’autoroute ?

Je suis ancien routier. Mourir au volant me paraissait être une belle mort !

– Et les autres conducteurs ? Cela aurait été un drame si vous aviez roulé à contresens !

Ils n’ont qu’à m’éviter. Sinon c’est le destin. Là, le destin a voulu me sauver. Je suis un miraculé !

– Croire rouler à contresens et se retrouver dans le bon sens : comment avez-vous réagi ?

Je suis sûr que tout le monde était à contresens ! Je ne suis pas fou ! 

– Etre ancien routier et être autant déboussolé, ça doit être dur à vivre ?

Pas besoin de boussole, on a les GPS maintenant. J’en ai un dans ma Fiat !

– Tout à l’heure, vous nous disiez être un miraculé. Vous pouvez nous expliquer ?

Rouler à contresens sans accident, c’est un signe ! Je suis un miraculé, Dieu m’a sauvé. Je suis sûr que je suis un Ange ! Un Ange ! (NDLR : il mime les ailes avec ses bras)

– Comment allez-vous aujourd’hui ?

Bien. J’ai hâte de reprendre le volant !

[…]”

Le permis de Henry va lui être retiré. Son état de santé mentale semble assez sérieux selon les médecins qui ne croient pas en sa sortie avant plusieurs mois.

Conclusion : la sénilité d’Henry lui a sauvé la vie !