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Faits divers

Confinement dû au coronavirus : les SDF n’ont plus le droit de rester dans la rue

CORONAVIRUS / CONFINEMENT – L’allocution d’Emmanuel Macron du 16 mars 2020 oblige désormais les Français à rester confinés chez eux. Les SDF n’ont désormais plus le droit de rester dans la rue.

Confinement coronavirus : les SDF n’ont plus le droit de rester dans la rue

Emmanuel Macron a déclaré dans son allocution solennelle du 16 mars 2020 à 20h un confinement total, sans pour autant le nommer véritablement.

Parmi les directives qu’il impose, il y a celle-ci :

Dès demain midi, se promener, retrouver ses amis dans le parc, la rue ne sera plus possible.

Discours d’Emmanuel Macron. 16 mars 2020.

Ainsi, il est interdit aux Sans Domiciles Fixes de se promener et de dormir dans la rue :

Si on croise un SDF dans la rue, il sera verbalisé. M. le Président a bien dit qu’il était interdit de se promener, ou pis encore, de dormir dans la rue !

Il faut faire preuve de fermeté, nous ont informé nos supérieurs ; a fortiori après le discours de M. le Président.

Nous ferons donc appliquer la loi strico sensu, sans aucune dérogation pour qui que ce soit, a fortiori par les temps qui courent.

Jean-Pierre Vidol, Gardien de la Paix à Ventoux

Et si plusieurs SDF sont trouvés côte-à-côte, ils seront immédiatement placés en Garde à Vue :

Dans les circonstances actuelles, il est inconcevable que 2 personnes se tiennent à moins d’1 mètre l’une de l’autre, a fortiori dans la rue.

C’est pourquoi nous placerons immédiatement en Garde à Vue tous les SDF qui ne respecteront pas les règles.

J-P Vidol

Les SDF, contraints de quitter la rue, sont donc amenés à trouver des logements très rapidement. A défaut, ils écoperont d’une amende, voire finiront en garde à vue …

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Economie / Emploi

Marcel, SDF Parisien, gagne 200€ par jour en faisant la manche !

SDF et riche ! – Marcel est SDF depuis 15 ans. Mais Marcel n’est pas un SDF pauvre puisqu’il gagne en moyenne 200€ par jour. Rencontre avec ce riche SDF.

Marcel, un riche SDF Parisien : “Je gagne en moyenne 200€ par jour !”

Nous avons rencontré Marcel, un SDF qui “vit” à Montmartre depuis 15 ans :

“J’ai été viré de mon boulot et ma femme m’a quitté alors que j’avais tout juste 22 ans. Sans famille et sans ressources, j’ai tenu à peine 3 mois à aller de squats en squats tout en cherchant un emploi. Mais je n’ai pas réussi à trouver de boulot et ma situation est devenue de plus en plus critique. Alors j’ai commencé à faire la manche à Montmartre pour m’en sortir. Et cela fait 15 ans que j’y suis !”

Le choix de Montmartre a été très porteur pour Marcel, car cet emplacement touristique lui a vite permis de gagner beaucoup d’argent :

“Les premiers jours, j’étais en bas de la butte. Les gens ne me voyaient pas et j’arrivais tout juste à gagner 20-25€ au mieux. C’est quand je me suis déplacé et que je me suis installé devant le Sacré-Coeur que j’ai commencé à devenir riche !”

En effet, la position stratégique où s’est installé Marcel pour faire la manche lui a permis de récolter plus de 100€ chaque jour :

“Devant le Sacré-Coeur, on a la chance de voir passer de nombreux touristes qui prennent le temps de s’arrêter et qui nous voient et nous donnent donc un petit quelque chose. Mais il y a aussi plein de croyants qui viennent prier au Sacré-Coeur et eux ont la pitié dans le coeur et nous donnent toujours quelques euros.

Au final; dès que je me suis installé devant le Sacré-Coeur, je dois avouer que j’ai commencé à gagner gros : en moyenne 100€ par jour !”

Mais en plus de la position stratégique du lieu où il mendie, Marcel a parfait sa technique qui lui permet de gagner désormais jusqu’à 200€ par jour :

“Petit à petit, j’ai appris à mendier avec plus d’efficacité. Les dons sont plus nombreux et plus conséquents. Je gagne maintenant en moyenne 200€ par jour, parfois 300 lorsque le beau temps est au rendez-vous l’été !”

Si Marcel a décidé de rester SDF malgré ces nombreuses “oboles” qu’il reçoit, c’est parce qu’il ne veut pas quitter Montmartre :

“Montmartre est mon quartier. Je ne pourrai jamais le quitter. Si j’arrête de mendier, je serai obligé de finir dans d’autres quartiers de Paris. Non, je suis à Montmartre et j’y reste. J’arrêterai de faire la manche le jour où je trouverai un appartement à Montmartre. Pour l’instant je suis en train d’économiser pour ça.”

Selon nos estimations, entre les recettes de sa journée à mendier et ses dépenses (repas, boisson, petits extras), Marcel aurait déjà économisé plus de 200.000 €, insuffisant selon lui pour un bon appartement à Montmartre :

“J’attends d’avoir les moyens de me payer un bon appartement à Montmartre. Mes faibles revenus actuels ne me permettent pas encore d’acheter. mais d’ici 5-6 ans, j’espère pouvoir acheter mon petit chez moi … tout en continuant à mendier tellement ça rapporte facilement de l’argent !”

D’après notre enquête, 20% des SDF Parisiens gagneraient plus de 1500€ par mois. Un sujet tabou, mais une réalité qui fait réfléchir … Est-ce le sens des affaires ou alors s’agit-il d’un homme sans scrupule ?

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Politique

Un SDF Français demande la nationalité Syrienne pour devenir réfugié politique

HEBERGEMENT – Marcel, 66 ans, vit dans la rue depuis plus de 25 ans. A la recherche d’un hébergement qu’on lui refuse, il souhaite obtenir la nationalité Syrienne afin de pouvoir bénéficier du statut de réfugié politique.

Marcel, SDF, souhaite acquérir la nationalité Syrienne pour bénéficier des avantages du statut de "Réfugié politique".
Marcel, SDF, souhaite acquérir la nationalité Syrienne pour bénéficier des avantages du statut de “Réfugié politique”.

Marcel est un SDF très connu aussi bien des Parisiens qui habitent dans le 18ème arrondissement que des touristes, grâce à son très joli bouledogue et les chansons en l’honneur de son chien qu’il fredonne sans cesse à quelques pas de la Basilique du Sacré-Coeur.

Marcel est dans la rue depuis l’âge de 41 ans, suite à une perte d’emploi et à un divorce concomitant qui l’a ruiné. Depuis, il ne cesse de chercher des endroits où dormir. Malheureusement, il se voit refuser bon nombre de centres d’accueil à cause de son chien, ou à cause d’un manque de places.

Ancien libraire, Marcel est très cultivé et s’intéresse énormément à l’actualité. C’est en lisant les journaux qu’il a trouvé une information très intéressante :

“J’ai constaté que de nombreux réfugiés politiques étaient accueillis en France et bénéficiaient d’une aide et d’un suivi complet par de très nombreuses associations. Alors je me suis dit, pourquoi pas devenir réfugié politique !”

Sans la moindre hésitation, Marcel s’est rendu à l’Ambassade de Syrie en France, au 12 Avenue de Tourville, dans le 7ème arrondissement. Bien accueilli, il a fait part de son souhait d’obtenir la nationalité Syrienne :

“Quand je suis arrivé dans l’Ambassade, malgré mes vêtements déchirés et mon odeur puante, on m’a accordé énormément d’attention. Quand je leur ai expliqué que je voulais devenir Syrien, ils ont d’abord cru à une blague. Mais quand je leur ai expliqué les raisons, ils ont tout de suite compris et ils m’ont donné des conseils très utiles.”

Pour que Marcel acquiert la nationalité Syrienne, il devra vivre en Syrie au moins 8 mois consécutifs :

“Quand on m’a dit qu’il fallait que je parte vivre en Syrie, j’ai pensé tout d’abord que c’était pas possible. Mais je me suis rappelé que beaucoup d’apprentis jihadistes – j’ai vu ça dans les journaux – partent de France et se font payer tout le voyage ! Alors je vais me faire passer pour un jihadiste pour aller en Syrie gratuitement et y vivre au moins 8 mois. Comme ça, je pourrai demander la nationalité Syrienne !”

Après ce voyage et cet hébergement gratuit en Syrie financés par l’Etat Islamique, Marcel compte revenir en France et demander le statut de réfugié politique :

“Quand je reviendrai en France, j’aurai tous les papiers qui prouvent que je suis Syrien. Je serai alors reconnu officiellement comme réfugié politique et bénéficierai de tous les avantages que ce statut accorde”.

Face à cette stratégie de Marcel et à l’important risque que d’autres personnes ne la mettent en place, les services français de l’immigration ont transmis un courrier officieux à la Direction Générale de la Sécurité Intérieure dont voici un extrait que nous avons pu nous procurer :

“[…]

Nous constatons de nombreux souhaits de départ vers la Syrie de SDF et autres personnes en situation précaire. Ces voyages, financés par l’Etat Islamique, présentent un accroissement exceptionnel du risque de formation de jihadistes. Jihadistes qui reviendront en France d’ici 8 à 12 mois en demandant le statut de réfugié politique qu’on ne pourra pas leur refuser.

Pris en charge par l’Etat Islamique, ces réfugiés politiques seront autant de bombes à retardement … au sens littéral du terme !

[…]”

Le service communication de l’Etat Islamique a d’ores et déjà fait savoir que son service d’accueil personnalisé sera pleinement opérationnel d’ici décembre 2017. Ce service d’accueil personnalisé inclut le transport, l’hébergement et la constitution du dossier d’acquisition de la nationalité Syrienne. Le tout sans aucun frais …