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Economie / Emploi

Les parents de mineurs délinquants bénéficieront d’aides sociales complémentaires

AIDES SOCIALES / DÉLINQUANCE – Pour aider les parents de mineurs délinquants à pallier les carences éducatives de ces jeunes, des aides sociales complémentaires leurs seront versées.

Les parents d’enfants délinquants bénéficieront d’aides sociales complémentaires pour pallier les carences éducatives.

La délinquance des mineurs est un problème pris à bras le corps tant par les politiques que les associations :

Les mineurs délinquants sont des victimes du système. S’ils cassent, pillent, agressent, c’est parce qu’ils sont tristes et s’ennuient. S’ils agressent les policiers, c’est parce qu’ils ne les laissent pas tranquillement vaquer à leurs occupations.

Il faut aider ces pauvres jeunes qui, par leurs méfaits de quelques formes que ce soient, lancent en réalité un cri d’alerte.

Association “France Délinquance Juvénile”

Aussi, pour lutter contre cette délinquance juvénile, de nouvelles mesures vont êtres prises :

Les délinquants juvéniles sont tous des pauvres victimes. Il y a eu des manquements dans leur éducation à cause des défaillances du système. C’est pourquoi il faut remédier à ces anomalies.

Pour ce faire, des aides sociales complémentaires seront versées aux familles de ces délinquants, afin qu’elles puissent pallier aux carences éducatives dues au système défaillant.

Grâce à ces aides sociales complémentaires, les associations de lutte contre la délinquance juvénile sont convaincues que les chiffres de la délinquance des mineurs devrait chuter de manière exponentielle au cours des prochaines années.

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Education

Confinement : 92% des parents se rendent compte que ce ne sont pas les profs le problème !

CONFINEMENT / ETUDE SOCIOLOGIQUE / COMPORTEMENT ENFANTS – Avec le confinement, les parents se retrouvent tout le temps avec leurs enfants. L’occasion de découvrir qui ils sont vraiment …

Avec le confinement, les parents découvrent qui est réellement leur enfant …

Le confinement est une période inédite où parents et enfants se retrouvent ensemble 100% du temps ou presque. Il est l’occasion pour chacun de se redécouvrir. Il est surtout l’occasion pour les parents de découvrir qui est réellement leur enfant au quotidien, et non celui qu’il feint être lorsqu’il rentre chez lui le soir, ou le week-end et durant les vacances.

Ainsi, une étude de l’Institut d’Etudes Sociologiques (IES) de Paris montre que grâce au confinement, 92% des parents ont découvert qui était réellement leur enfant. Voici notamment quelques témoignages recueillis dans le cadre de cette enquête :

En passant 100% du temps avec Kevin et en l’aidant dans les cours à la maison, je me suis rendu compte que non seulement il était fainéant mais en plus qu’il ne cessait de répondre avec insolence, à moi son propre père ! (Patrick, père de Kevin en classe de 5ème)

Je croyais toujours Malaury lorsqu’elle me disait que le prof ne l’aimait pas et que c’était pour cela qu’il l’avait sanctionnée. Mais en fait, je me suis rendu compte que ma gosse était une vraie “petite conne” ! (sic) (Natacha, mère de Malaury en classe de 2nde)

J’ai remarqué, en l’aidant à faire ses devoirs sur l’ENT et sur “Ma Classe à la Maison” du CNED, que Ulysse ne comprenait vraiment rien. Et que même en lui expliquant à de multiples reprises, il n’arrivait pas à comprendre. Moi qui croyait que c’étaient les profs qui étaient mauvais, je remets désormais grandement en question les capacités mentales de Ulysse ! (Liza, mère de Ulysse en classe de 3ème)

Nous avons présenté les résultats de cette étude sur un célèbre forum d’enseignants. Unanimement, selon eux, cette prise de conscience est salvatrice :

Il aura fallu attendre le confinement pour que les parents se rendent compte que c’était leur enfant le problème ! Si enfin on pouvait nous laisser en paix et ne pas toujours contester ce qu’on fait ou défendre corps et âme leur enfant. (Sonia, professeure d’anglais)

Enfin notre profession ne va plus être dévalorisée ! Enfin, peut-être, bénéficiera-t-on d’un peu de reconnaissance ? (Romain, professeur agrégé d’Histoire-Géographie-EMC)

Certains parents se rendent enfin compte que leur enfant a un comportement insupportable. Et encore, non seulement c’est leur enfant mais en plus il est tout seul à la maison. Imaginez lorsqu’on en a 30 comme ça ! J’espère que cela éveille pleinement leur conscience ! (David, professeur d’EPS)

Les enfants au comportement le plus déplorable ont des parents les plus contestataires. Je pense que le confinement les aura bien calmés, à moins qu’ils ne se soient déjà entre-tués ! (Corinne,professeure d’arts plastiques)

92%. Une prise de conscience massive que le problème dans l’Education Nationale, ce ne sont pas les profs. Mais bien l’éducation de base prodiguée par certains parents …

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Psycho / Sexo

Vous n’aimez pas vos enfants ? C’est normal ! 77% des parents ne les supportent pas !

PSYCHOLOGIE – La fin d’un tabou vient enfin de tomber grâce à une étude de chercheurs de la fameuse université américaine d’Harvard : 77% des parents n’aiment pas leur enfant. “Assumez de ne plus les aimer, dites-leur !” conseillent les psychologues.

77% (86% en France !) des parents n’aiment pas leur enfant.

Plus besoin de culpabiliser ! Si vous n’aimez pas vos enfants, vous êtes tout à fait normaux ! C’est la fin d’une hypocrisie et d’un tabou : vous avez le droit de ne pas aimer vos enfants. D’autant plus que vous n’êtes pas seuls à ressentir cela, puisque 77% des parents sont dans ce cas ! Et cela est d’autant plus marqué dans les pays développés à économie de marché (PDEM).

L’étude menée par un collège de 275 chercheurs en psychologie de la fameuse Université d’Harvard, a été réalisée durant 5 ans sur un échantillon très représentatif :

Nous avons sondé 350.000 personnes dans 68 pays, y compris des familles monoparentales, des parents de toutes sexualités, des parents d’enfants unique comme multiples, à la ville comme à la campagne, pauvres comme riches, etc.

Selon cette étude, ce sont donc 77% des parents qui n’aimeraient pas leur enfant :

D’après nos sondages, analyses et enquêtes de terrain, nous sommes parvenus à la conclusion que ne pas aimer ses enfants est normal. 77% des parents étudiés n’aiment pas leurs enfants, à partir de 11 ans.

En effet, selon l’étude, plus les enfants vieillissent, moins les parents les aiment :

Jusqu’à 2 ans, la très grande majorité des parents (94%) aiment leur enfant, même si la charge de s’en occuper est lourde. Cela est dû au plaisir de la nouveauté, de l’enfant tant attendu qui est enfin là.

A partir de l’acquisition de la parole de l’enfant, les parents sont déjà moins nombreux à l’aimer (78%).

De 5 à 10 ans commence le désamour de l’enfant : seulement 50% des parents aiment leur enfant.

C’est à 11 ans que le divorce entre parents et enfants est le plus marqué. Avec le début de l’adolescence, les parents n’aiment plus leur enfant. Il n’y a plus que 33% des parents qui aiment leur enfant. Cela est dû à leur comportement et leurs réflexions stupides ainsi que leur violence vraisemblablement.

Et cela ne s’arrange pas avec le temps, sauf à moins voir ses enfants.

Ce désamour est beaucoup plus marqué dans les pays développés à économie de marché (PDEM) :

On constate que dans les pays développés comme les Etats-Unis, la Russie, l’Australie ou la France, donc des pays avec des cultures très différentes, les parents aiment beaucoup moins leurs enfants. Ils sont 86% à ne pas aimer leur enfant.

L’économie d’un pays a donc une influence directe sur l’amour qu’on peut porter à un enfant.

Outre les données de cette étude, les psychologues de l’étude prodiguent quelques conseils aux parents :

Assumez de ne pas aimer vos enfants. Soyez francs avec eux et dites-leur ! Rien ne sert de se voiler la face. Le fait d’être honnête est aussi bon psychologiquement pour vous que pour eux.

En conclusion, avoir des enfants est loin d’être un plaisir. Mais chut ! N’en parlons pas aux futurs parents …

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Psycho / Sexo

12% des jumeaux intervertis par leurs parents !

GÉMELLITÉ – Une étude Suédoise vient de prouver que 12% des jumeaux ont été intervertis irrémédiablement par leurs parents. En d’autres termes, le jumeau né “A “serait devenu le jumeau “B” et vice-versa !

12% des jumeaux porteraient le prénom de leur frère ou de leur soeur suite à une interversion faite par leurs parents !

Prenez des jumeaux. mettez-les côte-à-côte … Difficile de les différencier, a fortiori lorsqu’ils sont tout-petits ! Une étude Suédoise vient de prouver que 12% de ces enfants ont été intervertis de manière irrémédiable. C’est-à-dire que les parents ont pris le jumeau “A” pour le jumeau “B” et vice-versa sans jamais se rendre compte de leur méprise. Ainsi, le jumeau né “A” est devenu aujourd’hui le jumeau “B” et réciproquement.

“Généralement c’est lorsque l’un des 2 parents s’occupe des jumeaux à la suite de l’autre que l’interversion a lieu.” justifie Agneta Soren, directrice de l’étude.

“On a même pu constater des doubles interversions (qui n’ont donc aucune conséquence) voire des triples ou encore des quadruples interversions !” complète A. Soren.

Ainsi, selon cette étude, c’est donc plus d’1 duo de jumeau sur 10 qui aurait été interverti. Cette interversion n’aurait aucune conséquence jusqu’à l’âge de 7 mois :

“Une interversion de jumeau ne présente aucune conséquence sur les enfants jusqu’à l’âge de 7 mois, âge à partir duquel ils commencent seulement à reconnaître leur prénom. Mais au-delà de 7 mois, les appeler en permanence par un autre prénom que celui qui leur a été initialement donné peut leur causer des troubles de la personnalité pouvant aller jusqu’au développement de la schizophrénie à l’adolescence.” nous explique Francis Todolle, pédopsychiatre.

Heureusement, parmi les 12% de jumeaux intervertis, 98% de ces interversions interviennent avant l’âge de 7 mois :

“Les interversions ont lieu en majorité avant 4-5 mois, le temps que les parents apprennent à bien identifier chacun des 2 jumeaux” explique A. Soren.

Alors si vous êtes jumeau / jumelle, peut-être avez-vous été intervertis … Peut-être que votre frère (ou sœur) porte votre prénom et réciproquement !