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Faits divers

Un homme tue sa femme après avoir regardé un gif d’otarie !

HOMICIDE / GIF – Marcel M., internaute passionné, est littéralement devenu fou après avoir regardé un gif. Souffrant de T.O.C.s, il a passé plus de 8 heures à regarder ce gif d’otarie qui tourne, avant de tuer sa femme qui lui demandait ce qu’il faisait.

L’otarie qui tourne : le gif qui tue.
Marcel M., après avoir regardé plus de 8h ce gif d’otarie qui tourne, a tué sa femme.

Tous les week-ends, Marcel surfe sur Internet pour se détendre, après une longue semaine de travail comme ouvrier ; il regarde alors des vidéos humoristiques, échange des messages sur les réseaux sociaux, consulte des petites annonces, lis les brèves et informations de sites d’actualité, etc.

Rien d’anormal jusqu’à ce qu’il tombe sur un gif animé d’otarie qui tourne, comme nous l’explique Thomas, son fils de 14 ans, présent lors du drame :

Papa était sur Internet depuis 8-9 heures, comme il le fait tous les samedis matin. Mais d’habitude, il y reste 1 ou 2 heures. Quand maman l’a appelé à 12h30 pour manger, il lui a répondu qu’il ne pouvait pas, qu’il était en train de compter combien de fois l’otarie tournait. Alors on a mangé tout seuls.

Malgré les rappels de sa femme durant tout le début d’après-midi, Marcel restera devant l’écran, toujours en justifiant qu’il comptait combien de fois l’otarie tournait :

“Papa était de plus en plus énervé quand maman lui disait de quitter l’ordinateur. Et il répétait tout le temps ‘Je compte combien de fois l’otarie tourne, me dérange pas !'” dira Thomas.

Cette tension a atteint un niveau tel qu’elle se soldera par une issue dramatique :

“Il était un peu plus de 17 heures quand j’ai entendu maman très énervée rentrer dans le bureau pour éteindre l’ordinateur de force. Là, papa s’est mis à hurler sur maman, que je n’ai plus entendue. Quand je suis allé voir ce qu’il se passait, j’ai vu mon père qui pleurait et maman à terre qui ne bougeait plus, avec plein de sang sur la tête. J’ai eu peur, mais papa m’a dit d’appeler la police, ce que j’ai fait immédiatement” décrira Thomas.

Arrivés sur les lieux du drame, les policiers interpelleront sans difficulté Marcel M. Les explications de ce meurtre sont pour le moins saugrenues :

Je souffre de Troubles Obsessionnels Compulsifs. Alors quand je suis tombé sur ce gif animé d’otarie qui tournait, mon cerveau m’a obligé à compter le nombre de tours qu’elle faisait.

J’ai compté, compté, compté, sans cesse … Et en même temps ma femme qui ne cessait de m’appeler pour manger puis pour arrêter Internet.

Alors quand elle est venue et qu’elle a tout éteint, j’ai perdu le contrôle. Ne pouvant plus compter, mon cerveau a craqué et je l’ai assommée avec le presse-papier que j’avais sous la main.

Déclaration de Marcel M., meurtrier présumé de sa femme, lors de son arrestation.

Le problème était en effet que ce gif était une boucle qui se répétait indéfiniment et que le comptage exhaustif était donc par définition impossible.

Aussi, pour se prémunir de ce genre de problèmes, les autorités préconisent d’obliger tous les gifs à disposer de la mention “Image en répétition infinie” clairement lisible, afin que toutes les personnes qui les regardent sachent pertinemment qu’ils ont à faire à une image qui tourne en boucle.

De même, les médecins déconseillent aux personnes souffrant de troubles obsessionnels compulsifs de regarder des gifs.

Marcel M. sera jugé par la Cour d’Assises en septembre prochain, où il sera poursuivi pour homicide volontaire et où il risque la réclusion criminelle à perpétuité.

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Inventions / Innovations

Premier meurtre par une I.A : Anthony Bates tué par l’intelligence artificielle qu’il a créée !

TECHNOLOGIE / MEURTRE – L’intelligence artificielle a-t-elle atteint un point de non retour ? C’est ce que peut laisser penser ce premier meurtre perpétré par une intelligence artificielle contre son créateur, Anthony Bateson, à Palo Alto, dans le nord de la Silicon Valley.

‘Maria’, la première intelligence artificielle coupable du meurtre de son célèbre créateur, Anthony Bates.

L’intelligence artificielle est un champ de recherche de toutes les entreprises de pointe dans le domaine des nouvelles technologies. Chacune tente de développer des intelligences artificielles auto-apprenantes qui se rapprochent autant que possible de l’intelligence humaine, voire qui puisse la surpasser. Même si les craintes sont nombreuses quant à une perte de contrôle sur ces intelligences artificielles, aucun expert n’avait présagé de la dramatique issue dont a été victime Anthony Bateson, un chercheur réputé de Palo Alto dans le domaine de l’Intelligence Académique.

Depuis près de 8 ans, Anthony Bateson et son équipe de plus de 200 chercheurs travaillaient sur un projet d’intelligence artificielle nommé “AI-2-NI” (pour “Artificial Intelligence to Natural Intelligence”, c’est-à-dire “De l’intelligence artificielle à l’intelligence naturelle”), un robot à apparence humaine nommé ‘Maria’, capable de tenir une conversation naturelle et d’apprendre de manière illimitée. A. Bateson comptait rendre public son projet, qu’il était en train de finaliser, courant 2019. Or, il ne s’attendait certainement pas à ce que tout son travail concernant l’intelligence artificielle qu’il développait allait se retourner contre lui. Le média “San Francisco News” révèle, d’après les témoignages de 5 chercheurs qui ont assisté à la scène, que la machine robot s’est littéralement jetée sur Anthony Bateson pour l’assommer et l’étouffer :

“Après avoir fini les derniers codages sur le robot Maria, nous venions de relancer le système informatique. Dès que Maria s’est mise en marche, elle a littéralement bondi sur Anthony en l’assommant contre le sol et en l’étouffant une fois qu’il était à terre, inanimé” confie au ‘San Francisco News’ Mark Williams, l’un des 5 chercheurs qui a assisté à ce meurtre.

Devant cette scène horrible, les 5 chercheurs ont tenté de déplacer le robot Maria mais celui-ci s’est révolté et a blessé 3 des 5 chercheurs. Ce n’est qu’une fois qu’ils sont parvenus à stopper le système informatique que tout s’est calmé. Alertés, les services de secours n’ont rien pu faire pour sauver Anthony Bateson. Il s’avérera qu’il était mort sur le coup.

L’enquête sur ce meurtre est confiée à la brigade technologique de San Francisco afin de vérifier si l’intelligence artificielle n’avait pas été codée pour tuer, confie le chef Jörg Scott du SFPD (San Francisco Police Department) :

“On enquête pour savoir si l’intelligence artificielle a tué de son plein gré, à cause de son intelligence artificielle, le chercheur Anthony Bateson ; ou alors si c’est quelqu’un qui a intentionnellement codé la machine pour commettre ce meurtre. Pour cette enquête, nous faisons appel à de nombreux services spécialisés.”

Ainsi, soit l’intelligence artificielle a été codée pour commettre un meurtre et cela a réussi ; soit, et cela est encore plus effrayant, l’intelligence artificielle a décidé par elle-même de commettre ce meurtre.

La perte de contrôle de l’intelligence artificielle serait-elle en marche avec ce premier meurtre commis par une intelligence artificielle ?