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Confinement / épidémie mystérieuse : +459% de dermatoses de la main chez les hommes célibataires

CONFINEMENT / ÉPIDÉMIE MYSTÉRIEUSE – Depuis le début du confinement, une épidémie étrange frappe les hommes célibataires : on constate +459% de téléconsultations pour des dermatoses de la main. La raison en demeure mystérieuse.

Confinement : une mystérieuse épidémie de dermatose de la main frappe essentiellement les hommes célibataires

Le confinement a pour objectif de protéger les autres et de se protéger du coronavirus. Mais ce confinement voit émerger une épidémie mystérieuse :

Depuis le début du confinement, on constate une hausse exponentielle du nombre de dermatoses de la main chez l’homme. Cela représente une hausse de +459% de téléconsultations pour cette pathologie par rapport à habituellement. Et cela ne cesse de s’aggraver.

Professeur Yann Dalck, médecin-chercheur en psycho-dermatologie à Orléans

Ce problème de la dermatose de la main est généralisé dans tous les pays où le confinement est de mise. Aucun expert ne parvient pour l’heure à expliquer les raisons de cette étrange épidémie :

Nous enquêtons afin de déterminer quelle est la cause de ces dermatoses généralisées. Cela est d’autant plus étrange qu’elle frappe exclusivement des célibataires, essentiellement des hommes (96%), et quelques femmes (4%).

Autre fait notoire, cette dermatose ne touche dans la grande majorité qu’une main :

89% des patients ont la main droite touchée contre 10% pour la main gauche. On dénombre toutefois 1% des patients qui ont les 2 mains touchées.

Ce qui est d’autant plus mystérieux est que cette épidémie semble avoir émergé en plusieurs endroits simultanément. De plus, le nombre de cas est proportionnel à celui des cas Covid+.

Mais le Professeur Dalck se veut rassurant :

La dermatose est une affection bénigne de la peau. Un peu de pommade et le problème est vite résolu !

Plusieurs laboratoires mènent actuellement des enquêtes pour savoir d’où provient cette étrange épidémie de dermatose de la main.

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Les croyances religieuses bientôt reconnues comme des maladies psychiatriques

RELIGION / PSYCHIATRIE – Les croyances religieuses et autres croyances ésotériques seront bientôt reconnues comme des maladies mentales et classées comme une psychose chronique non dissociative.

Les religions et autres croyances ésotériques bientôt reconnues comme des maladies mentales.

Les religions (la foi) et l’ésotérisme reposent sur des croyances irrationnelles. De fait, elles relèvent de symptômes psychotiques, avec des troubles fonctionnels plus ou moins graves selon les sujets.

A la demande de la Fédération de Psycho-Psychiatrie Intellectuelle et Mentale (FPPIM), les croyances religieuses vont rejoindre le classement des “psychoses chroniques non dissociatives” de la CIM-11 :

Les religions et l’ésotérisme répondent à la définition de la psychose chronique non dissociative. Cette psychose est caractérisée par des idées délirantes permanentes (croyance en des forces irrationnelles) de manière systématisée (croyance durable, avec également des cultes réguliers). De plus, il n’y a pas d’évolution déficitaire ni de dissociation de la pensée et les capacités intellectuelles demeurent intactes. On les classerait dans les catégories F20.0 et F22.0 de la Classification internationale des maladies (CIM).

Grâce à ce classement des croyances religieuses et ésotériques comme maladies mentales, la lutte contre la manipulation et l’emprise mentale n’en sera que facilité, car permettant des internements d’office :

Reconnaître l’ésotérisme et la foi comme des maladies mentales permet de traiter les sujets victimes de leur croyance. Le but n’est pas d’interdire la foi, mais de contrôler les abus dus à l’emprise des religions sur les esprits humains. Toutes les croyances religieuses ne sont pas saines et peuvent entraîner des troubles allant de la croyance simple jusqu’à des troubles psychiatriques graves (dépendance, dépression, hallucinations, etc.).

Ainsi, légalement, il sera possible de retirer un individu de toute organisation religieuse, ésotérique voire sectaire s’il est déterminé que l’exercice de sa croyance porte préjudice à sa santé mentale.

Si 16% de la population mondiale n’est affiliée à aucune religion, on estime que de 30 à 50% de la population est non croyante.