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Economie / Emploi

Contrôle de l’argent liquide : des nanopuces GPS dans les billets à partir de 2023

MONNAIE – Le cash, ou argent liquide, est un élément essentiel de l’économie. Mais pour “contrer certaines fraudes et financements illégaux”, l’Etat souhaite pouvoir situer à tout moment où se trouvent tous les billets de banque. C’est pourquoi, en 2023, tous les billets de banque nouvellement imprimés incluront une nano-puce type “GPS”.

Des nanopuces type GPS dans tous nos billets de banque à partir de 2023 !

Le Ministère de l’Economie fait de la chasse aux fraudes (fraudes à la TVA, détournement d’argent liquide, financement du travail dissimulé, etc.) l’une de ses priorités. De même, la lutte contre les financements illégaux (trafics, terrorisme, etc.) compte parmi les priorités du Ministère.

L’argent liquide, ou cash, constitue, selon le Ministère “un moyen très pratique pour détourner de l’argent des comptabilités officielles”.

En effet, selon Robert Daval, expert en économie monétaire et bancaire :

“L’argent liquide est essentiel à toute économie tant il facilite les transactions. Toutefois, il présente un inconvénient majeur : il est intraçable. C’est-à-dire qu’une fois imprimés, les billets sont tirés par des millions de personnes dans les DAB et on ne sait pas du tout ce qu’il en advient.”

Le Ministère de l’Economie estime que :

  • “environ 8% de l’argent liquide en circulation,  sert à financer les trafics en tout genre, du petit trafic au terrorisme en passant par le grand banditisme ;
  • environ 11% des transactions en liquide sont détournées des comptabilités officielles”. Cela signifie que certains paiements dans les petits commerces, cafés, restaurants, etc. ne sont pas enregistrés dans les ventes et partent directement dans la poche du commerçant.

Aussi, après la limitation des paiements en espèces d’un particulier à un professionnel ou entre professionnels à 1 000 € et l’obligation pour les commerces de disposer d’une caisse anti-fraude depuis le 1er janvier 2018, le Ministère envisage une action qui sera selon eux “beaucoup plus efficace, et surtout, imparable” :

“Nous mettrons en place,  à partir de 2023, des nanopuces type ‘GPS’, intégrées directement dans les billets de banque lors de leur impression. Ainsi, nous pourrons savoir à tout moment où se trouve chaque billet de banque. L’objectif n’est pas tant de tracer chaque billet que d’identifier les endroits où des billets pourraient s’entasser, ce qui signifierait un risque d’argent dissimulé.” nous explique Marc Bopez, directeur de la communication à l’imprimerie de la Banque de France.

Il confirme l’imparabilité du système :

“Chaque billet sera traçable à tout moment. Evidemment, nous taisons la technologie de pointe inédite mise en place pour ce traçage, mais on confirme qu’elle est sans danger pour la santé. En outre, si un petit malin tente de désactiver le système de traçage par quelque moyen que ce soit, le billet de banque deviendra inutilisable.”

Quant au fait qu’il faille attendre 2023, Marc Bopez nous explique que :

“La technologie fonctionne très bien, même pour des billets situés dans une casemate enterrée 100m sous terre ! Quant aux épreuves (ndlr : simulation d’impression), elles sont d’excellente qualité.

Mais nous attendons 2023 pour imprimer avec cette technologie, car cela coïncidera avec le déménagement de l’imprimerie nationale de billets de Banque située à Chamalières vers la papeterie de la Banque de France située à Vic-le-Comte, papeterie qui est en cours de modernisation pour permettre la généralisation de  la mise en place de ce système sur l’ensemble de nos équipements.”

Ainsi, dès 2023, les nouveaux billets de banque seront tous équipés de nanopuces type GPS. Toutefois, les anciens billets pourront continuer à être utilisés jusqu’en 2030. Ainsi, chacune de nos transactions, par un quelconque moyen de paiement, sera connue de l’Etat …

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Vers une déclaration obligatoire de tous ses déplacements ?

LEGISLATION – Une association milite pour que les français déclarent tous leurs déplacements avant que ceux-ci n’aient lieu. Un bracelet électronique GPS à porter à la cheville deviendrait de plus obligatoire pour certaines personnes désignées par les services de renseignement.

Loi Renseignement : tous les déplacements devront être déclarés.
Vers des déplacements tous déclarés ?

Une association souhaite, pour assurer notre sécurité, que tous nos déplacements soient contrôlés :

Article 1 – Déclaration obligatoire

Tout individu devra déclarer, au moins 3 jours avant le(s) déplacement(s) prévu(s), tous ses déplacements à l’extérieur de sa propriété sur un site web dédié (ou via un formulaire à déposer en mairie). Des contrôles auront lieu aléatoirement pour vérifier que les déplacements ont bien été déclarés. A défaut, ces délits seront sanctionnés.

Pour les déplacements réguliers (travail, clubs, etc.), une déclaration de déplacement permanent sera disponible.

Pour les déplacements imprévus qui ne peuvent être déclarés au moins 3 jours avant, un service téléphonique de déplacement d’urgence est mis en place afin de donner le cas échéant l’autorisation de se déplacer.

Article 2 – Bracelet électronique GPS pour une liste d’individus définie

Afin de localiser des individus classés “sensibles”, des bracelets électroniques GPS à porter à la cheville pourront être obligatoires pour une liste de personnes désignées unilatéralement par les services de renseignement sans qu’aucun recours ne soit possible, que ces personnes aient déjà été condamnées ou non. Cette liste pourra varier à chaque heure. Tout refus de porter ce bracelet ou tout enlèvement non permis de ce bracelet sera sanctionné.

Article 3 – Respect de la vie privée

Afin de respecter votre vie privée, seules les déclarations de déplacements sont obligatoires. En aucun cas il n’est à déclarer l’objet de ces déplacements.

Article 4 – Ressortissants étrangers

Dès leur arrivée en douane, chaque ressortissant étranger se verra équipé d’un bracelet électronique couplé à une déclaration précise de tous les déplacements prévus. Ce formulaire sera disponible sur le site officiel des douanes françaises pour des déclarations préalables à l’arrivée en douane.”

L’association à l’origine de ce projet souhaite que :

“Grâce à une telle loi, garante du respect de la vie privée de chaque citoyen, notre démocratie sera beaucoup plus en sécurité. Cette loi s’appliquera évidemment aux touristes et étrangers venant en France. Un service spécial sera mis en place en douane pour placer un bracelet électronique GPS sur chaque personne pénétrant sur notre territoire. La France n’aura plus rien à craindre du terrorisme !”

Ainsi, plus aucune crainte à avoir. Big Brother is watching us !

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Il se fait greffer un GPS

Un commercial de 36 ans, souffrant de troubles spatiaux, a pris une décision radicale en accord avec son entreprise : aux frais de celle-ci, il s’est fait greffer un GPS intégré à son cerveau, dans un hôpital d’Atlanta.

Fragment de GPS intégré au cerveau
Fragment de système GPS intégré au cerveau.
( © Hôpital d’Atlanta)

Paul B. (identité changée pour préserver son anonymat) était un commercial très talentueux. Lorsqu’il a été recruté comme vendeur en concession automobile, il était toujours classé parmi les meilleurs vendeurs. Aussi, son employeur a décidé de faire évoluer la carrière de cet employé modèle en lui faisant couvrir tous les salons automobiles et autres rendez-vous de ce secteur.

Mais Paul B., à son grand désarroi, n’arrivait jamais à trouver sa route ; il arrivait toujours très en retard à ses rendez-vous. Son employeur le menaçant de licenciement, Paul B. a pris rendez-vous chez son médecin traitant. Après plusieurs semaines de tests divers et variés, le verdict est tombé : Paul B. souffre de troubles spatiaux. Cela a pour effet qu’il ne parvient pas du tout à se repérer ; par exemple, il peut passer plusieurs fois au même endroit sans jamais s’en rappeler. De plus, le fonctionnement d’un GPS lui est totalement incompréhensible.

Avec ce diagnostic, Paul B. retourne vers son employeur. Ce dernier, très au fait des dernières avancées scientifiques, décide de proposer à Paul B. une opération unique au monde : celle de lui greffer un GPS intégré à son cerveau. Paul B. a longtemps cru à une blague jusqu’au jour où son employeur et lui prennent rendez-vous chez un médecin spécialisé d’Atlanta. Là, durant plusieurs heures, le professeur Home leur explique l’opération et le fonctionnement de ce système de GPS intégré. Il explique bien que le fonctionnement est beaucoup plus simple qu’un GPS de voiture, le cerveau parvenant immédiatement à interpréter les instruction de ce GPS comme si cela était inné.

Après 1 mois de réflexion, Paul B. décide de subir cette opération chirurgicale qui sera intégralement financée par son employeur (près de 450.000 $).

Le professeur Home, durant 8 heures d’opération, parvient à intégrer le système GPS au cerveau de Paul B. D’après les informations communiquées sur le site internet de l’hôpital, le système fonctionne comme un GPS intégré aux voitures. L’avantage est que Paul B. parvient à le guider par la pensée et qu’il a l’impression que la bonne direction vient de lui, pas d’un système annexe.

Un de ses amis témoigne :

“J’ai été très surpris la première fois où on est parti en voiture avec Paul. D’habitude, il faut toujours lui dire où aller. Et là, il m’a juste demandé ‘Où veux-tu qu’on aille ?’. Je lui ai alors dit que je voulais aller à la Rue du Chat-Qui-Pêche à Paris. Ni 1 ni 2, je le vois cligner des yeux et nous voilà parti ! Et il est arrivé directement dans cette petite rue parisienne ! J’étais bluffé !”

Cette découverte scientifique exceptionnelle présente un espoir certain pour tout ceux qui disent communément “ne pas avoir le sens de l’orientation”. Néanmoins, le coût de l’opération risque d’en rebuter plus d’un.

Un chirurgien français serait en cours de formation sur ce procédé.