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Politique

Emmanuel Macron victime du Popo Challenge (Politic Challenge), lobby venant de Russie

POPO CHALLENGE – Le “Popo Challenge” (pour “Politic Challenge”) est calqué sur le Momo Challenge. Il s’agit d’un ensemble de défis politiques qui peuvent mener jusqu’au suicide. Emmanuel Macron, victime de ce challenge politique, a malheureusement succombé à un terrible burn-out.

Emmanuel Macron en burn-out à cause du “Popo Challenge” (ou “Politic Challenge”), un ensemble de défis imposés au Président, par un groupe Russe à l’origine de son élection.

Bien qu’Emmanuel Macron soit au chevet d’Angela Merkel durant 3 jours, comme nous vous le dévoilions hier, il n’en est pas moins victime d’un grave burn-out. Il a en effet été victime du challenge politique qui peut conduire jusqu’au suicide : le “Popo Challenge”. Usant du même modus operandi que le “Momo Challenge”, le “Popo Challenge” (connu également sous le nom de “Politic Challenge”), consiste en un ensemble de défis politiques à accomplir, des plus simples au début du challenge aux plus compliqués à la fin de celui-ci.

Donald Trump, première victime de ce “Politic Challenge,” semble mieux gérer les défis qui lui sont imposés qu’Emmanuel Macron. Le président Français est en effet victime d’un burn-out ayant nécessité son “retrait” temporaire.

Aussi, quels sont les défis qu’imposent ce “Popo Challenge” et qui ont engendré le burn-out du Président Macron ? Nous avons mené l’enquête en croisant les politiques américaines et françaises depuis les élections (les 2 pays sont actuellement les 2 seules victimes recensées de ce challenge) et en nous immisçant dans les méandres des groupes secrets qui président, dans l’ombre, au devenir des 2 pays. Ainsi, nous avons pu dessiner l’échelle des 9 défis du Popo Challenge que les victimes doivent accomplir durant leur mandat politique :

  • Défi n°1 : Incarner un chef impitoyable qui n’écoute pas le peuple ;
  • Défi n°2 : Multiplier les réformes à un rythme soutenu ;
  • Défi n°3 : Maintenir et développer des partenariats géopolitiques sensibles ;
  • Défi n°4 : Imposer des réformes avantageuses uniquement pour les classes titulées (haute bourgeoisie) ;
  • Défi n°5 : Imposer des réformes préjudiciables aux classes moyennes et classes populaires ;
  • Défi n°6 : Devenir impopulaire ;
  • Défi n°7 : Refermer le pays sur lui-même ;
  • Défi n°8 : Développer des partenariats stratégiques avec la Russie ;
  • Défi n°9 : Positionner des hommes d’affaires Russes dans des organes décisionnels d’entreprises, groupes ou institutions stratégiques nationaux
  • Si succès de ces 9 défis > Possibilité de réélection, avec un degré de difficulté pour accomplir ces défis accru.

Alors que Donald Trump semble se situer au défi n°7, Emmanuel Macron vient tout juste d’arriver au défi n°6. Or, très sensible à ce qu’on l’apprécie personnellement, cette impopularité semble l’avoir durement affecté, ce qui a entraîné son burn-out et son “retrait” temporaire.

Alors, est-ce qu’avec ce burn-out, Emmanuel Macron va mettre fin au Popo Challenge dont il est victime en sollicitant l’aide de ses collègues européens ? Ou au contraire va-t-il tenter d’aller jusqu’au bout de ce Politic Challenge au risque d’y laisser sa peau ?

Origines et fonctionnement du “Popo Challenge”
Le “Popo Challenge” ou “Politic Challenge” est un procédé d’intimidation politique qui provient de Russie et qui a émergé juste avant les élections présidentielles aux Etats-Unis, dès octobre 2016. Un groupe anonyme Russe (“политический вызов” abrégé “попо” / “Politic Challenge” abrégé “Popo”) assure l’élection de la personne qu’il a ciblée et demande en échange qu’il accomplisse, tout au long de son mandat, des défis de leur “Popo Challenge”.
La première victime de ce “Popo Challenge” a été Donald Trump, qui a du, doit et devra accomplir une multitude de défis dictés par ce groupe Russe à l’origine de son élection.
La seconde victime du “Politic Challenge” est Emmanuel Macron, qui a été élu Président de la France grâce à ce groupe Russe.

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Politique

Raison des 3 jours de repos d’Emmanuel Macron : il est au chevet d’Angela Merkel !

POLITIQUE EUROPÉENNE – Emmanuel Macron s’est mis 3 jours au repos. De nombreuses rumeurs courent autour de son état de santé. Toutefois, le repos du Président de la République est purement altruiste : il est au chevet d’Angela Merkel, déprimée par la débâcle de son parti et par son futur départ.

3 jours de “repos” d’Emmanuel Macron : il est au chevet d’Angela Merkel !

Emmanuel Macron a officiellement pris 3 jours de repos, une première pour un Président de la République. Alors que l’opposition ironise voire se scandalise, les spéculations vont bon train sur les raisons de ce repos auto-décrété : burn-out, pause familiale, stratégie de gestion de l’effort, etc.

Mais de toutes ces raisons, il n’en est rien. En fait, Emmanuel Macron ne prend pas de véritables jours de repos : il est au chevet d’Angela Merkel, complètement déprimée par les échecs successifs de son parti politique qui ont engendré l’annonce de son départ de la chancellerie à la fin de son mandat.

Selon une source très proche du Président de la République :

 “Emmanuel [Macron] est un homme sensible, altruiste. Angela Merkel est bien plus qu’une collègue politique, c’est une amie. D’un point de vue diplomatique, mais aussi et surtout personnel, il n’a pas osé officialiser le fait qu’il rendait visite, durant 3 jours, à Angela Merkel, dans son appartement de Berlin (Am Kupfergraben 6).
[…]
Angela Merkel présente un moral au plus bas. Le solide soutien d’Emmanuel [Macron] lui est indispensable.”

Ainsi, Emmanuel Macron n’est pas au repos, mais aide Angela Merkel dans une période difficile de sa vie politique : son départ annoncé. Le “couple franco-allemand” n’aura jamais aussi bien porté son nom.

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Faits divers

Val de Loire : une montgolfière et ses 5 passagers retrouvés par l’armée après avoir été “aspirés” dans les airs !

VAL DE LOIRE / ACCIDENT DE MONTGOLFIÈRE – 4 touristes et leur conducteur de montgolfière, avaient disparu ce dimanche 28 octobre au matin, le ballon ayant été littéralement aspiré dans les airs par un courant d’air chaud ascendant et une instabilité de l’air. Il a fallu l’intervention d’un hélicoptère militaire pour les retrouver. Ils ont été secourus à 3000 mètres d’altitude et la montgolfière, impossible à redescendre, a été abattue.

Destruction de la Montgolfière par l’armée, après que les militaires ont porté secours aux 5 passagers d’une montgolfière bloquée à 3000m d’altitude. (Photo : OFF-Air-Armée)

C’est une terrible mésaventure qui est arrivée à 4 touristes Allemands en vacances dans le Val de Loire, ce dimanche 28 octobre. Alors qu’ils participaient à un baptême de l’air en montgolfière, cette dernière a été aspirée dans les airs :

“Tout se passait bien jusqu’à ce qu’1/4h après le début du vol, j’ai vu la montgolfière aspirée à une vitesse surprenante et très haut dans les airs. En à peine 15 secondes, on n’a plus vu le ballon”, nous raconte Jean-Michel Tigra, suiveur de cette montgolfière.

Marie Agnus, météorologue, nous explique le phénomène d’ascendance thermique, à l’origine de l’aspiration du ballon :

“Le phénomène d’ascendance thermique est très connu en météorologie. Comme nous avons constaté une forte chute de température, l’ascendance thermique a été provoquée par l’advection d’une masse froide au-dessus d’un sol encore relativement chaud.  De plus, pour expliquer cette ascension brutale et très haute et que le conducteur ne soit jamais parvenu à reprendre le contrôle, cela signifie que l’air était très instable.

Mais cette instabilité a du survenir subitement car jamais un conducteur de montgolfière n’aurait fait voler son aéronef dans ces conditions ; ils étudient en détail la météo avant de prendre la décision de départ.”

La montgolfière a été retrouvée grâce à l’intervention rapide de l’armée, qui a envoyé 1 hélicoptère de reconnaissance “Gazelle” :

“Nous avons reçu un appel d’urgence pour intervenir sur une disparition de montgolfière à 09h35. Même si l’intervention semblait pour le moins cocasse,  nous l’avons pris au sérieux évidemment. Nous avons alors immédiatement dépêché 5 membres d’équipage dans l’hélicoptère Gazelle SA-342 afin d’assurer le repérage de la montgolfière et de pouvoir leur porter secours. Ce n’est qu’après 4 heures de vol, vers 12h30, qu’on a réussi à les retrouver grâce aux conseils avisés de nos météorologues qui ont calculé la vitesse et la direction des vents pour simuler où pouvait se trouver la montgolfière. Ils étaient déjà à plus de 150km de leur point de départ lorsqu’on les a retrouvés !” nous confie le Colonel Bellegarde, Chef des opérations de secours.

Le ballon restait en effet bloqué à une altitude de 3000 mètres et ne parvenait pas à redescendre. Il a alors fallu hélitreuiller les rescapés avant de détruire la montgolfière :

“Nous avons réussi à prendre contact avec le conducteur de la montgolfière qui nous a signifié gestuellement de son incapacité à redescendre. Alors, nous avons dans un premier temps hélitreuillé toutes les victimes, choquées et transies de froid. Ensuite, nous avons prévenu les équipes au sol que nous allions détruire la montgolfière, seul moyen de la faire redescendre, afin qu’ils sécurisent la zone de chute. Une fois tout cela fait, nous avons mitraillé la toile de la montgolfière. Cette dernière a alors chuté jusqu’au sol où elle s’est fracassée.”

Ce sauvetage fut très éprouvant pour les militaires :

“Ce sauvetage a été très difficile tant la situation était inédite. Monter en hélicoptère à 3000m d’altitude ; chercher une montgolfière telle une aiguille dans une meule de foin ; prendre contact avec le conducteur de la montgolfière  ; hélitreuiller des victimes choquées qui ne pouvaient pas bouger ; abattre une montgolfière en veillant à ce que sa chute ne cause aucun dégât. Cela a été beaucoup plus enrichissant que n’importe quel exercice tant il a fallu faire preuve d’adaptabilité et de sang-froid. Je remercie sincèrement mon équipe pour leur travail formidable, réalisé avec succès sans la moindre erreur” se réjouit le Colonel Bellegarde.

Les rescapés, choqués, souffrent tous d’une légère hypothermie et resteront en observation au moins 48 heures à l’Hôpital d’Orléans. Ils ne garderont aucune séquelle si ce n’est le souvenir de cette mésaventure.

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Loi / Justice

Trafic de pétrole entre l’Arabie Saoudite et la France : un réseau démantelé

DOUANES / TRAFIC DE PÉTROLE – Les prix des carburants en France sont si élevés que se développent, à l’instar du trafic de drogue, des trafics de pétrole, tout aussi lucratifs. Un important réseau de trafiquants de pétrole officiant entre l’Arabie Saoudite et la France vient tout juste d’être démantelé.

Un important trafic de pétrole démantelé entre Paris et Riyad par les douaniers.

La hausse des prix des carburants en France est le sujet polémique du moment. De la justification écologique de l’Etat en passant par la mise en place d’allocations carburants et la nécessité pour les transporteurs de carburants de s’équiper de routiers convoyeurs de valeurs, le débat est très virulent et concerne tout le monde. Aussi, eu égard à la valeur prise par le pétrole en France, se sont développés des réseaux de trafiquants de pétrole, à l’image des réseaux de trafiquants de drogue.

Au début du mois d’octobre 2018, un important réseau de trafiquants de pétrole a ainsi été démantelé à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle :

“Nous avons traqué pendant plusieurs mois des personnes que nous avions identifiées comme importatrices illégales de pétrole en provenance de Riyad. Après être parvenus à remonter aux têtes des réseaux en France et en Arabie Saoudite, nous avons décidé de mener une action d’envergure afin de contrôler tous les suspects qui transportaient du pétrole. Pour ce faire, nous avons procédé à l’arrestation simultanée des têtes de réseaux à leurs domiciles de Paris et Riyad pendant que nous contrôlions les suspects à la douane de Roissy.

Ainsi, au cours de nos contrôles nous avons arrêté :

  • 35 mules, c’est-à-dire des personnes qui convoyaient du pétrole dans des capsules qu’ils ont ingérées. Chacune de ces mules convoyait environ 15 litres de pétrole dans leurs intestins.

  • 15 passagers détenant des faux aliments gorgés de pétrole (en moyenne 10 litres par personne)

  • 12 passagers détenant des valises à double fond qui contenaient chacune 5 litres d’essence

  • 6 passagers qui sont arrivés avec une quantité anormale de plastiques (environ 20kg chacun) destinés à être transformés en pétrole (ndlr : en chauffant le plastique à environ 450 °C, il est possible de produire 90 kg de carburant à partir de 100kg de plastiques)” nous confie Jean-Claude Gabeloup, douanier responsable de l’opération.

La difficulté dans ce genre d’affaires est de parvenir à détecter le pétrole :

“Contrairement aux drogues pour lesquels nos chiens sont dressés à la détection, cela n’est pas le cas pour le pétrole. D’autant plus que les trafiquants parviennent à masquer l’odeur. Alors, nos investigations se font en amont et en aval. On enquête, on surveille, on identifie le réseau des pieds de la tentacule (ndlr : les acheteurs) à sa tête (ndlr : les chefs de réseau).” révèle J-C Gabeloup.

Ce coup de filet était indispensable selon J-C Gabeloup, puisqu’il permet d’éviter l’arrivée irrégulière de près de 1 tonne de pétrole illégal sur le territoire français chaque jour :

“L’opération du 5 octobre dernier nous a permis de retrouver 857 kg de pétrole importés illégalement. Cela peut paraître infime, mais quand on sait qu’en moyenne, chaque jour, c’est 1 tonne de pétrole qui arrive illégalement, et cela ne cesse de s’accroître. Plus l’Etat augmente les prix, plus le trafic de pétrole est important. Il faut agir et vite, d’autant plus qu’il est prévu une augmentation constante des prix des carburants …”

Mais ce qui inquiète le plus J-C Gabeloup, ce sont les touristes qui sont approchés pour convoyer du pétrole :

“On a eu de nombreuses remontées d’informations de touristes qui se rendaient en Arabie Saoudite et qui étaient approchés pour convoyer du pétrole entre l’Arabie Saoudite et la France en échange d’un petit pécule pouvant aller jusqu’au paiement intégral du billet d’avion.”

Les opérations douanières de contrôle d’arrivée de pétrole vont bientôt être facilitées grâce à l’arrivée de chiens formés non seulement à la détection des drogues, mais également du pétrole :

“Actuellement, 150 bergers malinois sont en cours de formation pour détecter en plus des drogues, le pétrole. Nos contrôles douaniers seront donc d’autant plus efficaces ; nous dissuadons ainsi quiconque de convoyer illégalement du pétrole.”

En effet, le convoi de pétrole illégal vous fait risquer les mêmes peines que tout autre trafic de drogue ou importation de substances illicites (5 ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende pour les petits trafiquants jusqu’à 10 ou 30 ans d’emprisonnement et 7 500 000 € d’amende pour les plus gros trafiquants).

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Loi / Justice

Des salles de police ou de gendarmerie dans les établissements scolaires

VIOLENCE À L’ÉCOLE / SÉCURITÉ – Afin d’assurer la sécurité dans les établissements scolaires, le Ministre de l’intérieur Christophe Castaner et le ministre de l’Education Nationale Jean-Michel Blanquer, ont conjointement annoncé la mise en place d’une salle de police ou de gendarmerie dans chaque établissement scolaire qui le désire.

Une salle police ou gendarmerie pourra ouvrir dans tous les établissements scolaires qui le souhaitent.

Lors d’une déclaration commune, vendredi 26 octobre, concernant le plan d’action contre les violences à l’Ecole,  le Ministre de l’Intérieur Christophe Castaner et le Ministre de l’Education Nationale Jean-Michel Blanquer ont annoncé plusieurs mesures, dont chacune ne pourra être mise en place qu’avec l’accord du chef d’établissement (principal ou proviseur).

Parmi les mesures phares annoncées dans ce plan d’action anti-violence dans les établissements scolaires, se trouve la création d’une salle de police ou de gendarmerie dans les établissements scolaires qui le souhaitent :

“Nous voulons que les établissements scolaires ne soient plus des zones de crainte, tant pour les personnels et professeurs que pour les élèves. La sérénité dans les établissements scolaires est un impératif pour de bons apprentissages et nous devons l’imposer par tous les moyens. C’est pourquoi les forces de l’ordre doivent être omniprésentes dans les établissements scolaires, sous réserve d’un besoin exprimé et d’un accord du chef d’établissement évidemment, car la grande majorité des établissements scolaires ne connaissent pas ce problème.

Nous avons donc décidé de mettre en place, dans les collèges et lycées qui le souhaitent, une salle destinée à la police ou à la gendarmerie. Concrètement, il s’agit d’une salle dont seuls le chef d’établissement, son ou ses adjoints et les forces de l’ordre auront la clé. Dans cette salle siégera un gendarme ou un policier, selon des horaires à définir pour chaque établissement, qui gérera toutes les infractions qui concernent les élèves.

Ainsi, les élèves coupables de faits répréhensibles par la loi seront immédiatement pris en charge par un fonctionnaire de police ou un militaire de la gendarmerie. Ce policier ou gendarme pourra également enregistrer les dépôts de plainte et prendre en charge les victimes.”

Ce dispositif de cellule policière intégrée à l’établissement scolaire a pour vocation d’accélérer la prise en charge des élèves commettant des méfaits répréhensibles par la loi :

“La présence d’un policier ou d’un gendarme au sein même de l’établissement permet de régler les problèmes immédiatement. En outre, cela a un effet dissuasif. Les élèves savent qu’à la moindre incartade ou infraction, ils pourront avoir à faire sans délai à un policier ou un gendarme. Et dans les cas les plus graves, le gendarme ou policier pourra intervenir très rapidement puisqu’il se trouvera sur place.”

Ainsi, grâce à ce gendarme ou policier inclus dans l’établissement scolaire, le nombre d’infractions sera forcément diminué tant par son caractère dissuasif que par une possibilité d’action immédiate qui permettra d’éviter l’aggravation et la multiplication des infractions.

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Transports

Face à la contestation sur les prix des carburants, le Gouvernement va instaurer des allocations carburants

PRIX DES CARBURANTS / ALLOCATIONS – Face à la contestation générale sur la hausse des prix des carburants, le Gouvernement a décidé de lâcher un peu de leste, non pas en diminuant les taxes, mais en instaurant des “allocations carburants” aux familles dans le besoin.

Une allocation carburants va être mise en place par le Gouvernement à compter de janvier 2019. Elle permettra de couvrir jusqu’à 33% du montant des taxes perçues par l’Etat pour les familles les plus modestes.

La grogne concernant la hausse des prix des carburants prend une telle ampleur que le Gouvernement ne pouvait pas rester sans réagir… et sans agir tout en maintenant sa ligne de conduite. Bien qu’il maintienne ces taxes et leur hausse progressive durant les mois à venir dans un souci écologique et de santé, le Gouvernement a décidé de mettre en place des “allocations carburants” :

“Nous entendons le cri de colère des conducteurs. Nous maintenons que la hausse progressive des prix des carburants est nécessaire pour dissuader les Français de prendre inutilement leurs véhicules qui sont polluants. Toutefois, nous entendons les motifs de ces Français qui sont contraints de prendre leur véhicule pour des raisons professionnelles, personnelles de besoin, et de désenclavement social. C’est pourquoi nous allons instaurer un dispositif d”allocations carburants’ pour les familles les plus modestes qui ont un besoin absolu de prendre leur véhicule.”

Concrètement, les personnes devant prendre impérativement leur véhicule pour des raisons légitimes (se rendre au travail, aller acheter de la nourriture, se soigner, participer à des réunions, rendre visite à leur famille, celles engagées dans des actions solidaires, etc.) pourront bénéficier d’une allocation carburant qui couvrira jusqu’à 33% du montant des taxes payées, sur justification du déplacement et justificatif de paiement du carburant :

“Le principe des ‘allocations carburants’ est simple. Il ne consiste pas à payer le carburant des conducteurs, mais à couvrir jusqu’à 33% des taxes que l’Etat perçoit. Le pourcentage de prise en charge, qui s’étendra de 1 à 33%, dépendra des ressources du foyer fiscal. Toutefois, l’Etat ne prendra en charge que les kilomètres réellement effectués pour des motifs légitimes. Par exemple, seront éligibles : les déplacements professionnels, les déplacements pour se nourrir et se soigner, les déplacements pour rendre visite à une personne de sa famille isolée, etc.

Les plafonds des ressources pour connaître le pourcentage auquel pourra prétendre chaque membre du foyer fiscal et la liste exhaustive des déplacements pris en charge est disponible sur le site du Ministère des Solidarités et de la Santé.

Dans tous les cas, nous ne prenons en charge que le kilométrage réellement effectué, sur justificatif (ticket de carburant et attestation de déplacement)”.

Une interface en ligne sera mise en place d’ici janvier 2018 afin que les usagers éligibles puissent demander le remboursement de tous leurs déplacements pouvant être exonérés partiellement des taxes de l’Etat :

“Afin de gérer ces remboursements de manière optimale, d’assurer la validation des remboursements et donc d’éviter toute fraude, nous allons mettre en place une application en ligne de remboursement similaire à ‘Chorus’, qu’utilisent déjà les fonctionnaires”.

Cette mesure de remboursement partiel des frais prélevés par l’Etat devrait donc être effective à compter de janvier 2018. Toutefois, charge au conducteur qui se déplace de demander systématiquement le remboursement de ses déplacements en fournissant des justificatifs (de déplacement + de paiement de carburant).

Les allocations carburants consisteront donc non pas en des chèques carburants, mais en des remboursements différés des frais de carburant.

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Politique

Vente d’armes à l’Arabie Saoudite : “On poursuit la vente mais ils doivent en faire bon usage”

ARMES / ARABIE-SAOUDITE –  Suite au meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, tué le 2 octobre au consulat saoudien à Istanbul, la France a décidé de prendre des sanctions. La vente d’armes se poursuivra, mais une clause dans le contrat contraindra l’Arabie-Saoudite à “faire bon usage de ces armes [dont] ne pas les utiliser à l’encontre de la France ou de ses alliés”.

La France poursuit la vente d’armes à l’Arabie-Saoudite mais avec une clause de “bon usage”.

Le 2 octobre, le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi au consulat saoudien à Istanbul a scandalisé la communauté internationale. L’Allemagne a menacé de suspendre ses exportations d’armes vers l’Arabie Saoudite et a demandé aux autres pays européens de procéder de même. Or, la France, troisième exportateur de matériel militaire vers Riyad après les Etats-Unis et le Royaume-Uni, est moins radicale. Il faut dire que ce marché représente 13,5% du total de ventes d’armes françaises depuis 2008.

La France se rassure :

“Le meurtre du journaliste n’a pas eu lieu avec une des armes que nous avons vendues. Et comme nous ne voulons pas faire preuve d’ingérence dans la politique de l’Arabie Saoudite, il n’est pas légitime de les sanctionner, même si le meurtre d’un journaliste est immoral.”

Alors, pour solutionner ce problème diplomatique et militaro-politique consécutif au meurtre d’un journaliste dans un consulat, la France a décidé de poursuivre la vente d’armes à l’Arabie Saoudite sous réserve qu’ils en fassent bon usage :

“L’économie française a besoin de la vente d’armes à l’étranger, y compris à l’Arabie Saoudite, qui représente 13,5% de notre marché de ventes d’armes. Toutefois, nous tenons à exprimer notre extrême mécontentement pour le meurtre intolérable d’un journaliste, à plus forte raison au sein d’une structure consulaire !

C’est pourquoi, désormais, nous incluons systématiquement une clause dans nos contrats stipulant qu’ils doivent faire bon usage de ces armes, dans une unique perspective défensive. Cela leur interdit notamment de les utiliser à l’encontre de la France ou de ses alliés ni à l’encontre de représentants politiques, diplomates, journalistes, etc.”

Grâce à cette clause, la vente d’armes à l’Arabie-Saoudite pourra se poursuivre telle qu’avant, mais engage l’Arabie-Saoudite à adopter un comportement responsable irréprochable.

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Politique

Pour lutter contre les bandes, des tournois E-Gaming de combat avec Street Fighter V

VIOLENCE – Pour lutter contre les violences des bandes de jeunes adolescents, Christophe Castaner, Ministre de l’Intérieur, a annoncé jeudi 25 octobre son intention d’organiser fréquemment, dans les zones sensibles, des tournois E-Gaming de jeux de combats tels que Street-Fighter V.

Pour lutter contre la violence des jeunes adolescents, Christophe Castaner, Ministre de l’Intérieur, préconise d’organiser des tournois e-gaming de jeux vidéos de combat tels que Street Fighter V.

Les bandes rivales de jeunes adolescents (de 11 à 15 ans) qui s’affrontent sont de plus en plus nombreuses avec des rixes toujours plus violentes qui vont jusqu’à entraîner la mort de certains d’entre eux (on dénombre plus de 250 rixes et 8 morts en 2 ans à Paris). Pour faire face à ces actions violentes qui touchent un public très jeune, le Ministre de l’Intérieur Christophe Castaner envisage d’agir sur 2 fronts :

  • Changer le plan d’action en identifiant non plus les bandes mais les individus et en octroyant des moyens supplémentaires aux forces de l’ordre ;
  • Trouver des occupations aux jeunes de ces quartiers, désoeuvrés, telles que l’organisation de tournois E-Gaming de jeux vidéos de combat.

En effet, selon Christophe Castaner il faut agir à la fois en aval du problème (durant les affrontements) et aussi en amont en prévenant ces rixes et en évitant qu’elles ne se produisent.

Aussi, le Ministre de l’Intérieur a bien compris que c’est sur ce dernier point qu’il fallait agir prioritairement :

“Il faut trouver des activités à ces jeunes adolescents, désoeuvrés, des quartiers. Pour cela, je pense qu’il faut leur proposer des choses qu’ils aiment. Et il me semble que les jeux vidéos et la violence sont 2 domaines qu’ils plébiscitent. C’est pour cela que je propose d’organiser des tournois de E-Gaming sur des jeux de combats tels que Street Fighter V. Ainsi, les jeunes pourront libérer toute leur violence dans ce jeu et se battront virtuellement, avec pour défi d’anéantir l’équipe adverse comme ils le faisaient actuellement dans la vraie vie. En clair, il s’agit de transposer la violence réelle de ces jeunes en une violence virtuelle.”

Si ce projet est concluant, le Ministre envisage d’opérer de même en prison :

“Les détenus violents seront invités à jouer contre les gardiens de prison à des jeux de combat sur console. Je suis convaincu que toutes ces personnes ont besoin de libérer leur haine. Plutôt qu’elle soit physique et réelle, autant qu’elle soit mentale et virtuelle !”

Quant à savoir si cela permettra de “guérir” les jeunes (et les détenus) de leur violence :

“Je ne suis pas psychiatre, je suis Ministre de l’Intérieur. Mon seul but est de limiter les actes de violence. Quant à ce qui se passe dans la tête de ces individus, c’est aux médecins de gérer.

[…]

Ce qu’attend la population, ce n’est pas tant des guérisons que des résultats concrets, à savoir une diminution du nombre d’actes de violence de ces jeunes”.

Ce projet de tournois E-Gaming de jeux de combat pour les jeunes devrait être mis en place d’ici quelques mois. Les résultats seront quantifiables et analysables à partir de l’année prochaine, nous garantissent les services du Ministère.

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Transports

Le transport des carburants assuré par des “convoyeurs de valeurs”

TRANSPORT DES CARBURANTS / CONVOYEURS DE VALEUR – La hausse constante des prix des carburants leur fait atteindre une valeur non négligeable. On constate désormais de plus en plus de transports de carburants effectués par des convoyeurs de fonds ou convoyeurs de valeurs.

Les transports de carburants désormais assurés par des routiers-convoyeurs de valeurs !

Les hauts prix des carburants suscitent la grogne des conducteurs, bien que le Gouvernement se défende en arguant des objectifs de santé et d’écologie. Toutefois, eu égard à la valeur prise par les carburants, de plus en plus de transports de carburants sont désormais assurés par des convoyeurs de valeurs (appelés également convoyeurs de fonds).

Jean-Paul Walter, gérant d’une société de transport routier de matières dangereuses (carburants), nous explique pourquoi il recrute désormais des “routiers convoyeurs de fonds” :

“Vue la valeur des carburants aujourd’hui et du risque accru de braquages de nos camions, je recrute désormais des routiers bénéficiant également de la qualification convoyeur de fonds. Ainsi, ces personnels sont formés pour agir à tout braquage du véhicule : ils savent comment réagir et surtout comment agir.”

Cela implique que Jean-Paul Walter s’équipe de véhicules blindés avec un équipage de 3 hommes armés à bord :

“La loi m’oblige à combiner l’arrêté du 29 mai 2009 relatif aux transports de marchandises dangereuses par voies terrestres et la réglementation relative au transport de fonds. Ainsi, outre les dispositions de sécurité du transport de marchandises dangereuses, je dois obligatoirement bénéficier d’un véhicule blindé et de la présence de 3 hommes armés à bord de mes camions.

Chacun de mes hommes est équipé d’une arme à feu de poing de catégorie B et est titulaire d’une autorisation préfectorale de port d’arme.”

J-P Walter est convaincu que toutes les sociétés de transport de carburants vont bientôt procéder de même :

“Les carburants ont une telle valeur que les braquages de nos camions ne devraient pas tarder. Certains pensent que je suis paranoïaque mais je préfère anticiper. Certes personne n’a encore été braqué, mais la tension en France est telle vis-à-vis des prix des carburants que je préfère me prémunir de toute attaque.”

Le coût du transport de ces marchandises dangereuses s’en trouve lourdement impacté :

“Le coût du transport sécurisé est 3 fois plus élevé que pour les transports de carburants traditionnels. Je suis donc obligé de répercuter ce coût sur les factures de mes clients qui les répercutent sur les usagers. Toutefois, cela est quasiment invisible pour les usagers puisque ce surcoût représente seulement 2cts d’euros par litre. C’est le prix de la sécurité et de la garantie d’avoir du carburant quoiqu’il advienne.”

L’or noir n’a jamais aussi bien porté son nom puisque aujourd’hui il est considéré comme une marchandise de haute valeur nécessitant l’intervention de routiers convoyeurs de fonds.

Ce nouveau métier de routier-convoyeur de valeurs va d’ailleurs bientôt faire l’objet d’une mention complémentaire d’1 an après le bac professionnel “Conducteur transport routier marchandises (CTRM)”.

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Transports

Hausse des prix des carburants : une action en faveur de la santé et de l’écologie

HAUSSE DES PRIX DES CARBURANTS / SANTE – Alors que de nombreux mouvements appellent à des manifestations contre la hausse des prix des carburants, le Gouvernement se défend en expliquant qu’il s’agit d’une action en faveur de la santé et de l’écologie.

La hausse des prix des carburants n’a pour seul but que la santé des Français et la préservation écologique.

De nombreux mouvements (appels à la manifestation, appels aux blocages, pétitions, etc.) appellent les citoyens à agir contre la hausse des prix des carburants. Ces hausses sont injustifiées selon les personnes qui lancent et celles qui rejoignent ces appels. Toutefois, le Gouvernement défend cette hausse en expliquant qu’il s’agit d’une action en faveur de la santé :

“La hausse des prix des carburants n’a nullement pour objectif de faire entrer de l’argent dans les caisses de l’Etat. Il a pour seul but d’inciter les conducteurs à ne pas prendre leur véhicule inutilement, à ne se déplacer avec ces véhicules qu’en cas d’extrême besoin. Ainsi, on souhaite que les citoyens préfèrent se déplacer à pied, en vélo ou par quelqu’autre moyen non polluant.”

Le rapport “Transports & Ecologie” commandé par le Gouvernement fait d’ailleurs un constat amer sur les déplacements des Français, ceux-ci étant en très grande partie “inutiles” :

“La plupart des déplacements en véhicules sont des déplacements totalement inutiles ; on constate par exemple que 38% des déplacements des automobilistes et surtout 92% des déplacements des motards consistent en des promenades. Rendez-vous compte de toute cette pollution qui pourrait être évitée ! Alors, pour inciter les gens à ne plus prendre leur véhicule, il faut agir sur le portefeuille.”

Ce rapport pointe également les personnes qui habitent dans les territoires ruraux et qui se plaignent de la hausse des prix des carburants :

“Ils n’ont qu’à acheter en ville, sinon ils doivent anticiper la charge ‘essence’. Ils le savent que l’essence est chère et qu’elle ne cesse d’augmenter. Acheter à la campagne, c’est acheter en connaissance de cause. On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre, c’est-à-dire acheter moins cher à la campagne et avoir tous les avantages de la ville ! A partir du moment où ils savent que l’essence est de plus en plus chère, qu’ils assument !”

Ainsi, la hausse des prix des carburants n’est pas à vocation économique mais purement de santé et écologique selon les conclusions de ce rapport :

“Pollueur payeur. Telle est la devise à mettre au frontispice de la politique Gouvernementale en faveur de la hausse des prix des carburants. Ceux qui polluent payent pour leur pollution. De plus, tous ces véhicules polluants, cela n’est pas bon pour la santé des citoyens qui ne font plus d’activité physique.”

Quant à l’argent récolté grâce à ces taxes sur les carburants :

“[il] ne rentre pas dans les caisses de l’Etat mais est donné sous forme de subventions aux grands groupes automobiles pour qu’ils développent des véhicules propres.”

Avec ces explications, la grogne contre la hausse des prix des carburants ne semblerait plus avoir de raison légitime d’être.