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Economie / Emploi

Les mendiants vont être équipés de TPE pour accepter les paiements par cartes bancaires

MENDICITE 2.0 – L’association “Secours Pauvreté”, qui vient en aide aux personnes en situation précaires, vient d’expérimenter les Terminaux de Paiement Electroniques (TPE) pour les sans abris afin qu’ils puissent recevoir des dons par cartes bancaires. L’expérimentation, concluante, va être généralisée dans toute la France.

Bientôt, tous les mendiants accepteront le paiement par Carte Bancaire grâce à l’association “Secours Pauvreté”.

L’association “Secours Pauvreté” est une association de lutte contre la précarité et la grande pauvreté en France. Très engagée en faveur de la préservation de la dignité humaine, cette association vient d’expérimenter une nouvelle forme de dons aux mendiants. Il s’agit d’un don par cartes bancaires. Denise Jeannin, directrice de “Secours Pauvreté”, nous explique pourquoi l’association a expérimenté ce nouveau procédé de dons aux mendiants :

“Nous avons constaté que de moins en moins de personnes faisaient des dons aux mendiants. Cela n’est pas du à un manque de générosité, mais les gens ont de moins en moins de monnaie dans leurs poches. Alors, on s’est dit qu’il fallait agir pour faire en sorte que tout le monde, à tout moment, puisse faire un don à un mendiant. On a alors tout de suite pensé à la carte bancaire et le fameux paiement sans contact : on met sa carte et en 2 secondes le paiement est assuré !”

L’expérimentation a porté sur 100 mendiants Parisiens. Ils ont chacun été équipés du matériel nécessaire pour recevoir des dons.

Ce procédé du don par carte bancaire repose exactement sur le même principe que le paiement sur les terminaux des commerçants, ce qu’on appelle les TPE (terminaux de paiement électroniques). D. Jeannin nous explique le fonctionnement :

“Dans notre expérimentation, nous avons équipé chaque mendiant d’un terminal de paiement électronique léger. Celui-ci est connecté en wi-fi en permanence. C’est notre association qui prend en charge l’intégralité des frais.

Ce terminal de paiement permet à chaque mendiant de proposer aux passants de lui faire des dons par carte bancaire. C’est exactement le même système que chez les commerçants : tout aussi simple, tout aussi sécurisé !”

Concrètement, il suffit de sélectionner la somme qu’on souhaite donner (avec un minimum de 0,50€) et d’approcher sa carte bancaire du terminal de paiement sans contact détenu par le mendiant : en 5 secondes, le paiement est assuré :

“C’est aussi rapide que de chercher une pièce dans son portefeuille !” se réjouit D. Jeannin.

L’argent récolté est automatiquement reversé aux mendiants, en liquide, sous 7 jours :

“C’est notre association qui perçoit l’intégralité des dons pour un aspect plus pratique. On sait exactement quel mendiant a reçu quel don grâce à ces TPE qui sont tous équipés d’un numéro de série différent. Un outil fourni par la banque nous indique quels dons ont été reçus par quel mendiant et on reverse ensuite à chaque mendiant 100% de ses recettes, en liquide, sous 7 jours.

Ni la banque, ni nous, ne prélevons aucun frais sur ces recettes.”

Les résultats de l’expérimentation ont été si concluants que l’association “Secours Pauvreté” envisage de généraliser ce système sur l’ensemble du territoire :

“Les mendiants équipés du dispositif ont vu leurs dons exploser de plus de 100% en moyenne ! C’est donc un énorme succès ! C’est pourquoi on veut généraliser ce dispositif sur tout le territoire.”

Mais pour ce faire, un investissement très important est requis :

“Nous avons négocié le matériel et le contrat avec une banque afin que tout nous soit facturé à prix coûtant. Mais généraliser ce système de paiement aux mendiants nous coûtera quand même environ 1 million d’euros si on souhaite équiper chaque mendiant du dispositif. Nous avons prévu un plan de financement sur 5 ans pour parvenir à nos fins”.

L’ère de la mendicité 2.0 vient de sonner ! Et vous, que pensez-vous de cette initiative ?

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Economie / Emploi

Allah Akbar : la marque déposée qui rapporte 100.000 euros par jour à l’Etat Islamique

TERRORISME / DROIT DES MARQUES – On connaît tous le “Allah Akbar” que se sont appropriés les terroristes islamistes. Mais ce qu’on sait moins, c’est que chaque citation de “Allah Akbar” dans la presse entraîne le versement de droits patrimoniaux (royalties) à l’Etat Islamique, propriétaire de la marque.

“Allah Akbar”, la marque qui rapporte 100.000 euros par jour à l’Etat Islamique.

“Allah Akbar” constitue une citation des musulmans lorsqu’ils récitent le takbîr, la prière simplifiée Allahu akbar (الله أَكْبَر) prononcée lorsqu’ils s’inclinent. C’est également le fameux cri de revendication des islamistes lorsqu’ils commettent un acte terroriste. Mais depuis 1999, date de création de l’Etat Islamique, cette organisation terroriste a déposé internationalement la marque “Allah Akbar” auprès du système international des marques dit “système de Madrid” (enregistrement et gestion des marques dans le monde entier). Ainsi, chaque citation de la marque entraîne de facto le versement de droits patrimoniaux (royalties) à l’organisation Etat Islamique, comme nous l’explique Robert Morrano, avocat spécialiste en droit des marques :

“Aux termes de l’article L. 713-1 du code la propriété intellectuelle (CPI), l’enregistrement de la marque confère à son titulaire un droit de propriété sur cette marque, pour les produits et services qu’il a désignés. La reproduction ou l’usage d’une marque, sans l’accord de son titulaire, constitue un acte de contrefaçon selon les articles L. 713-2 et L. 716-1 du CPI.”

Ainsi, pour citer “Allah Akbar” en toute légalité, chaque média doit reverser obligatoirement des royalties à l’Etat Islamique :

“La somme à verser pour chaque citation de ‘Allah Akbar’ est fixée internationalement à 5$ (environ 4,3€) par article de presse, quelque soit le nombre d’occurences de ‘Allah Akbar’ dans le-dit article. Or, on constate qu’en moyenne ce sont 20.000 citations de Allah Akbar qui parsèment la presse internationale quotidiennement, avec des pointes à 500.000 lors d’attaques terroristes” explique R. Morrano.

Ainsi, chaque attaque terroriste représente un cercle vertueux pour l’Etat Islamique : sa marque ‘Allah Akbar’ est davantage citée ce qui génère davantage de revenus. On estime ainsi qu’en moyenne ce sont 100.000 euros par jour qui sont reversés à l’Etat Islamique en royalties.

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Economie / Emploi

Marcel, SDF Parisien, gagne 200€ par jour en faisant la manche !

SDF et riche ! – Marcel est SDF depuis 15 ans. Mais Marcel n’est pas un SDF pauvre puisqu’il gagne en moyenne 200€ par jour. Rencontre avec ce riche SDF.

Marcel, un riche SDF Parisien : “Je gagne en moyenne 200€ par jour !”

Nous avons rencontré Marcel, un SDF qui “vit” à Montmartre depuis 15 ans :

“J’ai été viré de mon boulot et ma femme m’a quitté alors que j’avais tout juste 22 ans. Sans famille et sans ressources, j’ai tenu à peine 3 mois à aller de squats en squats tout en cherchant un emploi. Mais je n’ai pas réussi à trouver de boulot et ma situation est devenue de plus en plus critique. Alors j’ai commencé à faire la manche à Montmartre pour m’en sortir. Et cela fait 15 ans que j’y suis !”

Le choix de Montmartre a été très porteur pour Marcel, car cet emplacement touristique lui a vite permis de gagner beaucoup d’argent :

“Les premiers jours, j’étais en bas de la butte. Les gens ne me voyaient pas et j’arrivais tout juste à gagner 20-25€ au mieux. C’est quand je me suis déplacé et que je me suis installé devant le Sacré-Coeur que j’ai commencé à devenir riche !”

En effet, la position stratégique où s’est installé Marcel pour faire la manche lui a permis de récolter plus de 100€ chaque jour :

“Devant le Sacré-Coeur, on a la chance de voir passer de nombreux touristes qui prennent le temps de s’arrêter et qui nous voient et nous donnent donc un petit quelque chose. Mais il y a aussi plein de croyants qui viennent prier au Sacré-Coeur et eux ont la pitié dans le coeur et nous donnent toujours quelques euros.

Au final; dès que je me suis installé devant le Sacré-Coeur, je dois avouer que j’ai commencé à gagner gros : en moyenne 100€ par jour !”

Mais en plus de la position stratégique du lieu où il mendie, Marcel a parfait sa technique qui lui permet de gagner désormais jusqu’à 200€ par jour :

“Petit à petit, j’ai appris à mendier avec plus d’efficacité. Les dons sont plus nombreux et plus conséquents. Je gagne maintenant en moyenne 200€ par jour, parfois 300 lorsque le beau temps est au rendez-vous l’été !”

Si Marcel a décidé de rester SDF malgré ces nombreuses “oboles” qu’il reçoit, c’est parce qu’il ne veut pas quitter Montmartre :

“Montmartre est mon quartier. Je ne pourrai jamais le quitter. Si j’arrête de mendier, je serai obligé de finir dans d’autres quartiers de Paris. Non, je suis à Montmartre et j’y reste. J’arrêterai de faire la manche le jour où je trouverai un appartement à Montmartre. Pour l’instant je suis en train d’économiser pour ça.”

Selon nos estimations, entre les recettes de sa journée à mendier et ses dépenses (repas, boisson, petits extras), Marcel aurait déjà économisé plus de 200.000 €, insuffisant selon lui pour un bon appartement à Montmartre :

“J’attends d’avoir les moyens de me payer un bon appartement à Montmartre. Mes faibles revenus actuels ne me permettent pas encore d’acheter. mais d’ici 5-6 ans, j’espère pouvoir acheter mon petit chez moi … tout en continuant à mendier tellement ça rapporte facilement de l’argent !”

D’après notre enquête, 20% des SDF Parisiens gagneraient plus de 1500€ par mois. Un sujet tabou, mais une réalité qui fait réfléchir … Est-ce le sens des affaires ou alors s’agit-il d’un homme sans scrupule ?

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Economie / Emploi

Un Français crédité par erreur de tous les agios des banques françaises !

ERREUR BANCAIRE – Une erreur bancaire exceptionnelle a eu lieu vendredi 11 mai révèle l’Agence Française des Banques (AFB) : un Français, Lorenzo Agios, a été crédité par erreur d’un total de près de 15 millions d’euros par toutes les banques Françaises !

Lorenzo Agios peut être heureux : il a perçu par erreur 15 millions d’euros !

C’est un véritable bug généralisé qu’ont connu toutes les Banques Françaises, suite à un important dysfonctionnement du système informatique de paiement SEPA, dédié aux transactions bancaires européennes.

En effet, l’ensemble des fonds récoltés par les banques pour “frais punitifs” (les fameux “agios”) n’ont pas été perçus comme habituellement par les banques mais ont été transférés sur le compte d’un Français d’origine Italienne, Lorenzo Agios.

Marc Buisson, responsable du contrôle informatique des transactions SEPA à l’Agence Française des Banques (AFB), nous explique ce bug :

“Nous avons constaté une anomalie, Vendredi 11 mai à 10h01, sur nos système informatiques de contrôle des transactions bancaires. Toutes les banques ont crédité un seul et même compte, ce qui a immédiatement déclenché notre système d’alerte. Dès l’erreur constaté, nous avons bloqué temporairement toutes les transactions, le temps d’intervenir et de comprendre ce qu’il se passait.”

Cette interruption de tous les services de transferts bancaires a duré 2 heures afin de trouver les raisons du bug et le réparer :

“Le bug a été détecté 5 heures après les événements. Dès qu’on a constaté le bug, on a bloqué les serveurs de transferts bancaires, par mesure de précaution. On a également très vite décelé d’où venait le problème : c’est un certain Monsieur Lorenzo Agios qui était crédité. On a rapidement compris que l’erreur venait des ‘agios’ que les Banques s’octroient normalement et qui étaient versés ailleurs.

En fait, c’est une mauvaise manipulation de l’un de nos techniciens. Il a malencontreusement transformé l’opération automatique “Agios”, de perception par les banques des frais punitifs imputés aux comptes de particuliers et professionnels, en une opération de transfert vers un compte externe appartenant à un certain Monsieur Agios …

Il nous a fallu 2 heures pour tout remettre en place.”

A cause de cette interruption de tous les serveurs de transferts bancaires, qui a duré près de 2 heures, tous les virements SEPA émis-reçus ont été retardés. Les virements, qui habituellement prennent 10 secondes, risquent de prendre “jusqu’à 3 à 4 jours de retard dans les pires des cas”.

Quant à Lorenzo Agios, l’heureux bénéficiaire de ces 15 millions d’euros providentiels, il n’en revient pas :

“Je suis allé, comme chaque matin, voir mes comptes en ligne. J’ai constaté le crédit par plusieurs dizaines de banques, d’une somme totale de près de 15 millions d’euros. Je ne savais pas pourquoi j’avais tant d’argent, alors je me suis dit que j’allais tout sécuriser cet argent au cas où on me le réclame. Je l’ai immédiatement transféré sur un compte offshore. J’en suis encore tout fébrile d’en parler tant c’était inattendu, moi qui ne touche que 1600€ par mois !”

Lorenzo Agios a agi avant que l’Agence Française des Banques (AFB) ne se rende compte du bug, ce qui lui a permis d’assurer ce transfert.

Toutefois, l’article 1302-1 du Code civil est très clair :

“Celui qui reçoit par erreur ou sciemment ce qui ne lui est pas dû doit le restituer à celui de qui il l’a indûment reçu”

Ainsi, Lorenzo Agios doit restituer les sommes perçues indûment. Mais sous les conseils d’un avocat fiscaliste, il refuse de restituer l’intégralité de la somme à chacune des banques :

“L’article 1302-3 du Code civil stipule bien que la restitution ‘peut être réduite si le paiement procède d’une faute’, ce qui est le cas. Ainsi, je négocie avec chaque banque afin de percevoir un dédommagement conséquent. Et si elles refusent, je quitte la Zone Euro pour ne pas pouvoir être poursuivi judiciairement en France et je pars avec le jackpot !”.

Cette erreur de la banque en la faveur de Lorenzo Agios est mieux qu’un gain au Loto : il n’y a même pas à jouer pour gagner !

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Economie / Emploi

Dawaj Immobilier : une agence immobilière pour locataire anonymes

IMMOBILIER – Une agence immobilière d’origine Polonaise, Dawaj Immobilier, vient de faire son apparition en région Parisienne. Cette agence offre la possibilité de louer anonymement des logements.

Dawaj Immobilière : une agence immobilière de Saint-Denis spécialisée dans la location anonyme de logements.

Dawaj Immobilier est une société immobilière d’origine Polonaise spécialisée dans la location anonyme de biens immobiliers. Cette société vient de faire son arrivée en France, en région Parisienne. Son objectif est de permettre à n’importe quel locataire de louer totalement anonymement un bien immobilier.

Aleksander Nowak, responsable de cette agence basée à Saint-Denis (Sein-Saint-Denis), nous explique la raison d’être de ce type d’agence immobilière :

“En Pologne, on peut très facilement louer des biens, dont des maisons, sans avoir à jamais communiquer son identité. On a la chance en Pologne de ne pas être suivi, espionné, traqué, à notre insu, tout le temps, sous couvert de sécurité, comme c’est le cas de la plupart des pays d’Europe occidentale notamment.

C’est pourquoi on a décidé de développer notre activité en France. En effet, nos études de marché ont montré que nombreux étaient les locataires qui souhaitaient demeurer totalement anonymes, voire invisibles, pour préserver leur cadre d’intimité.”

Dawaj est un mot polonais qui signifie “donner” :

“On a appelé notre agence ‘Dawaj’ car on donne le droit aux locataires d’être anonymes, non retrouvés. On donne le droit à la préservation des libertés individuelles de toute personne” nous confie M. Nowak.

Il complète en expliquant que les raisons pour louer anonymement un logement sont multiples :

“L’anonymat est souvent demandé par des personnes qui souhaitent refaire leur vie facilement, sans risquer de se faire retrouver. C’est aussi la possibilité pour tout un chacun de faire valoir son droit à vivre en toute tranquillité, en préservant son intimité. Tout le monde n’a pas à avoir accès à votre adresse comme c’est pourtant le cas actuellement en France ; il est très facile de retrouver quelqu’un en cherchant le nom sur des annuaires et sites spécialisés sur Internet. Ainsi, grâce à la location anonyme, vous ne risquez pas d’être retrouvé puisque votre nom n’apparaîtra nulle part, pas même dans nos dossiers où tous nos locataires sont anonymés.”

Quant au risque de louer à des délinquants voire des criminels, M. Nowak balaie tout cela d’un revers de manche :

“Une agence immobilière a pour mission de permettre à toute personne de trouver un bien immobilier. Nous n’avons pas à nous occuper du profil judiciaire de nos locataires et heureusement d’ailleurs !”

Il est à noter toutefois que l’anonymat n’est pas possible pour les bailleurs :

“En France, nous n’avons pas le droit d’anonymer les bailleurs, pour des raisons fiscales évidentes.”

Ainsi, grâce à Dawaj Immobilier, vous pourrez louer des biens immobiliers totalement anonymement dans toute la région Parisienne et bientôt dans toute la France :

“Actuellement, nous proposons près de 500 biens à louer dans toute la Petite Couronne Parisienne. Mais petit à petit on va s’étendre à toute la France en étoffant notre réseau d’agences !”

Vous voilà en sécurité : désormais, personne ne pourra plus vous retrouver à votre insu !

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Economie / Emploi

Contrôle de l’argent liquide : des nanopuces GPS dans les billets à partir de 2023

MONNAIE – Le cash, ou argent liquide, est un élément essentiel de l’économie. Mais pour “contrer certaines fraudes et financements illégaux”, l’Etat souhaite pouvoir situer à tout moment où se trouvent tous les billets de banque. C’est pourquoi, en 2023, tous les billets de banque nouvellement imprimés incluront une nano-puce type “GPS”.

Des nanopuces type GPS dans tous nos billets de banque à partir de 2023 !

Le Ministère de l’Economie fait de la chasse aux fraudes (fraudes à la TVA, détournement d’argent liquide, financement du travail dissimulé, etc.) l’une de ses priorités. De même, la lutte contre les financements illégaux (trafics, terrorisme, etc.) compte parmi les priorités du Ministère.

L’argent liquide, ou cash, constitue, selon le Ministère “un moyen très pratique pour détourner de l’argent des comptabilités officielles”.

En effet, selon Robert Daval, expert en économie monétaire et bancaire :

“L’argent liquide est essentiel à toute économie tant il facilite les transactions. Toutefois, il présente un inconvénient majeur : il est intraçable. C’est-à-dire qu’une fois imprimés, les billets sont tirés par des millions de personnes dans les DAB et on ne sait pas du tout ce qu’il en advient.”

Le Ministère de l’Economie estime que :

  • “environ 8% de l’argent liquide en circulation,  sert à financer les trafics en tout genre, du petit trafic au terrorisme en passant par le grand banditisme ;
  • environ 11% des transactions en liquide sont détournées des comptabilités officielles”. Cela signifie que certains paiements dans les petits commerces, cafés, restaurants, etc. ne sont pas enregistrés dans les ventes et partent directement dans la poche du commerçant.

Aussi, après la limitation des paiements en espèces d’un particulier à un professionnel ou entre professionnels à 1 000 € et l’obligation pour les commerces de disposer d’une caisse anti-fraude depuis le 1er janvier 2018, le Ministère envisage une action qui sera selon eux “beaucoup plus efficace, et surtout, imparable” :

“Nous mettrons en place,  à partir de 2023, des nanopuces type ‘GPS’, intégrées directement dans les billets de banque lors de leur impression. Ainsi, nous pourrons savoir à tout moment où se trouve chaque billet de banque. L’objectif n’est pas tant de tracer chaque billet que d’identifier les endroits où des billets pourraient s’entasser, ce qui signifierait un risque d’argent dissimulé.” nous explique Marc Bopez, directeur de la communication à l’imprimerie de la Banque de France.

Il confirme l’imparabilité du système :

“Chaque billet sera traçable à tout moment. Evidemment, nous taisons la technologie de pointe inédite mise en place pour ce traçage, mais on confirme qu’elle est sans danger pour la santé. En outre, si un petit malin tente de désactiver le système de traçage par quelque moyen que ce soit, le billet de banque deviendra inutilisable.”

Quant au fait qu’il faille attendre 2023, Marc Bopez nous explique que :

“La technologie fonctionne très bien, même pour des billets situés dans une casemate enterrée 100m sous terre ! Quant aux épreuves (ndlr : simulation d’impression), elles sont d’excellente qualité.

Mais nous attendons 2023 pour imprimer avec cette technologie, car cela coïncidera avec le déménagement de l’imprimerie nationale de billets de Banque située à Chamalières vers la papeterie de la Banque de France située à Vic-le-Comte, papeterie qui est en cours de modernisation pour permettre la généralisation de  la mise en place de ce système sur l’ensemble de nos équipements.”

Ainsi, dès 2023, les nouveaux billets de banque seront tous équipés de nanopuces type GPS. Toutefois, les anciens billets pourront continuer à être utilisés jusqu’en 2030. Ainsi, chacune de nos transactions, par un quelconque moyen de paiement, sera connue de l’Etat …

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Economie / Emploi

Internet : la Taxe Porno se confirme

INTERNET – La pornographie étant omniprésente sur le web et ces sites générant un trafic très élevé, le Gouvernement Français envisage de plus en plus sérieusement l’instauration d’une Taxe Porno (TP). Même si celle-ci sera à la charge des prestataires de contenus pornographiques, cela risque de modifier en profondeur le paysage pornographique du web avec, potentiellement, la disparition de la Pornographie à la Française.

Bientôt une Taxe Porno sur chaque film pornographique diffusé sur Internet !

La pornographie représente près de 20% des sites web en ligne. Plus de 75% des internautes consultent au moins 1 fois par semaine une vidéo à contenu pornographique, tous âges et sexes confondus. Fort de ce constat, le gouvernement envisage d’instaurer une Taxe Porno, afin selon eux de :

“Financer la prévention et la lutte contre les IST [et] assurer une protection efficace des mineurs contre les images et vidéos pornographiques sur internet”

Selon, Rafy Sting, président de la société de production de films pour adultes “Pornoweb”, le Gouvernement ne cherche en aucun cas à financer des actions de prévention, mais cherche uniquement à prélever de l’argent sur un des loisirs préférés des Français :

“Le Gouvernement sait mettre des taxes là où il y a de l’argent à se faire. Regardez les carburants. Regardez la TVA. Regardez les impôts. Regardez les radars.
Aussi, étant donné que tous les Français et Françaises consomment à un moment ou un autre de la pornographie, leur loisir préféré en règle générale, la taxer constitue pour eux une énorme manne financière !
[…]
On n’est pas idiots, on sait très bien que le but n’est pas la prévention comme ils le déclarent, mais seulement de récolter encore et toujours plus d’argent !”

Concrètement, le gouvernement envisage d’instaurer une taxe de 0,001€ par minute de vidéo visionnée par chaque utilisateur. Cette taxe sera automatiquement imputée aux prestataires de vidéos pornographiques. Rafy Sting se plaint de cette mesure :

“0,001€ par minute de vidéo visionnée par chaque spectateur, cela représente pour mon entreprise près de 500 millions d’euros de taxe annuelle supplémentaire, qu’on sera évidemment obligé de répercuter sur le client. Cela signifie que la plupart de nos contenus gratuits ne pourront plus l’être !”

Ainsi, cette Taxe Porno sur les contenus pornographiques sur Internet marquera-t-elle la fin du porno gratuit ?

“Pour les sociétés françaises de production de films pornographiques, oui, ce sera la fin du porno gratuit sur Internet puisqu’on devra insérer des trackers sur nos serveurs qui identifieront anonymement tous les utilisateurs. Pour les autres entreprises du porno basées à l’étranger, il leur suffira de ne pas communiquer les connexions de leurs internautes afin de ne payer aucun impôt, puisque eux ne seront pas tenus d’installer des trackers sur leurs serveurs basés hors de France !” s’insurge Rafy Sting.

La Taxe Porno présente donc une faille cruciale qui risque de voir disparaître l’art du Porno Français.
Et s’il n’y a plus de Porno Français, on en connaît beaucoup qui vont ne plus savoir comment occuper leurs longues soirées …

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Sujets du concours spécial de recrutement des services du Renseignement Français (DGSI)

CONCOURS – Alors que le recrutement des services du Renseignement Français se fait essentiellement sur demande de policiers en poste ou fraîchement lauréats, un concours spécial de recrutement de la DGSI a eu lieu afin d’étoffer les effectifs. Bien que les sujets d’un tel concours soient confidentiels, notre équipe de journalistes d’investigation a réussi à se les procurer. Et il faut avouer que les sujets de ce concours “secret” nous ont surpris …

Concours de recrutement d’espions et policiers du renseignement de la DGSI : les sujets du concours spécial dévoilés malgré le “secret défense”.

La Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI) recrute des policiers du renseignement chaque année afin d’étoffer et de renouveler ses effectifs. La plupart des recrutements se font au sein des policiers en poste, sur demande ou par détachement. Mais face à un besoin croissant d’espions et autres agents du renseignement, un concours spécial a eu lieu il y a quelques jours afin d’embaucher des civils dans les services de contre-espionnage, de lutte contre la cybercriminalité, de lutte contre le terrorisme et de défense des intérêts nationaux (protection du patrimoine industriel et scientifique).

Voici les sujets du concours, selon chacune des 4 spécialités, qui consistaient en des dissertations libres d’une durée de 5 heures maximum :

Option “Contre espionnage” :

“Vous êtes à Paris. Un homme vous approche et vous demande l’heure qu’il est à Madrid. Comment réagissez-vous ?
Vous êtes à Madrid. une femme vous approche et vous demande l’heure qu’il est à Londres. Que faites-vous ?”

Option “Cybercriminalité” :

“La source du réseau est-elle plus fiable que le réseau de la source ?”

Option “Antiterrorisme” :

“Si la France vend 150 kalachnikov américaines aux forces gouvernementales Afghanes, de combien de degrés le risque d’attentat augmente-t-il ou diminue-t-il en France ? Et en Russie ?
A la conclusion de ce calcul, vous estimerez quantitativement et qualitativement les relations diplomatiques et réelles entre l’Allemagne et la Corée du Nord.”

Option “Préservation du patrimoine industriel et scientifique” :

“Quelle surveillance doit-on faire autour du patrimoine nucléaire Français ?”

 

Si l’un et/ou l’autre de ces sujets vous a inspiré, n’hésitez pas à répondre en commentaires à notre article. Peut-être un futur agent du Renseignement français sommeille en vous !

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Droit du travail : il est obligatoire de demander l’autorisation pour aller aux WC

DROIT DU TRAVAIL – Attention lorsque vous devez aller aux WC alors que vous travaillez. Il faut demander l’autorisation au risque d’être licencié pour abandon de poste !

Désormais, il faut demander l’autorisation avant d’aller aux toilettes dans son entreprise, au risque d’être licencié pour “abandon de poste”.

Marine D. était clerc de notaire dans une étude de Strasbourg. Elle a été licenciée pour “Abandon de poste”, ainsi que l’a confirmé son jugement en appel, vendredi 28 avril 2017. Le notaire qui l’employait contrôlait sa présence à chaque fois qu’elle était aux WC. Pour étayer sa défense, il a présenté 5 constats d’huissiers qui prouvaient que Marine D. n’était pas à son poste alors qu’elle devait travailler. Sauf que chacune des 5 absences de Marine D. n’était due qu’à sa présence dans les WC de l’Etude notariale.

Maître Pepit, avocat du notaire, explique la démarche de son client :

“Mon client est notaire. A ce titre, tous les actes doivent être rédigés en temps et en heure. Or, en raison des nombreuses absences de Mme D., les actes à signer parvenaient toujours en retard à mon client. Il a alors cherché l’origine de ce problème. Et à chaque fois qu’il se rendait dans le bureau de son clerc, Mme D., il ne la trouvait pas !”

En effet, Marine D. était à chaque fois aux toilettes. Elle nous explique :

“Généralement, je ne vais aux toilettes que 2-3 fois par jour. Mais c’est toujours à ce moment là que Maître G. (ndlr : le notaire) venait contrôler si j’étais à mon bureau. Alors, comme à chaque fois il ne me voyait pas, il m’a licencié pour ‘abandon de poste'”

En effet, la loi est claire, comme nous le confie Dominique Guslin-Nicut, juriste spécialisée en droit du travail :

“La loi est claire : l’employé doit toujours être à son poste, sauf cas de force majeure ou autorisation d’absence. Il ne doit donc l’abandonner sous aucun prétexte. A défaut, il est considéré en abandon de poste.

Par contre, la loi ne précisait rien pour le cas où l’employé s’absentait pour aller aux toilettes. Cette décision de justice fait donc jurisprudence : il faut une autorisation pour aller aux WC.”

Marine D. aurait donc du demander l’autorisation lorsqu’elle voulait se rendre aux WC. En outre, il est à noter que tout le temps “perdu” pour aller aux toilettes doit être récupéré :

“Avec cette décision de justice, l’employé est donc désormais tenu de demander l’autorisation avant d’aller aux toilettes. Toutefois, il est toléré que l’employé tienne un carnet de bord de ses allers et venues aux toilettes avec le temps qu’il y est resté (heure de départ et heure de retour). Mais celui-ci doit impérativement être à jour.

Et le pendant de cette nouvelle règle est que l’employé devra récupérer tout le temps passé aux toilettes.”, nous informe D. Guslin-Nicut.

Cette condamnation fait donc jurisprudence : il est désormais obligatoire de demander l’autorisation à son responsable hiérarchique lorsqu’on veut aller aux toilettes, au risque d’être licencié pour abandon de poste ! Et n’oubliez pas de récupérer en travail le temps que vous passez aux toilettes …

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Brocante : les articles “Parti Socialiste” très prisés !

BROCANTE – Le Parti Socialiste est un parti politique à la dérive depuis plusieurs années. Aussi, de nombreux articles, produits, accessoires, goodies, affiches, etc. aux couleurs du Parti Socialiste s’arrachent à des prix exceptionnellement élevés ! Et les prix ne cessent d’augmenter. Un marché est en train de se développer.

Le marché de la brocante fait la part belle au Parti Socialiste : une affiche de L. Jospin 2002 se vendait en moyenne 100€ début 2016 ; aujourd’hui, c’est en moyenne 250€ et ce sera peut-être 1500€ dans quelques mois !

Une nouvelle aubaine est en train de se dessiner dans l’univers des antiquités-brocante. En effet, on constate qu’il y a de plus en plus d’annonces de produits et accessoires siglés aux couleurs du Parti Socialiste. Et ces articles sont vendus à des tarifs toujours plus élevés.

José Miège est un antiquaire Parisien spécialisé dans les articles politiques. Il nous confie l’intérêt d’investir dans les articles du Parti Socialiste :

“Depuis le 21 avril 2002 et le retrait de Lionel Jospin de la vie politique, on a constaté un attrait certain des collectionneurs et brocanteurs pour les produits du Parti Socialiste. Ils ont senti que le déclin du Parti Socialiste était en marche et ont donc commencé à investir. Toutefois, ces collections étaient plutôt l’apanage des professionnels qui sentent le vent tourner.

On constate près de 15 ans plus tard que le Parti Socialiste est dans une situation toujours aussi critique. Et eu égard aux derniers événements avec un François Hollande qui ne convainc plus et qui se fait trahir par ses proches, l’intérêt pour collectionner les articles ‘Parti Socialiste’ n’a cessé de croître. Aujourd’hui, ce ne sont plus seulement les professionnels qui collectent les articles ‘Parti Socialiste’ ; désormais c’est le grand public. Et un véritable marché est en train de se mettre en place”

Sur le site de petites annonces Leboncoin, ce sont en moyenne 500 à 1000 articles “Parti Socialiste” qui sont mis en ligne chaque jour. Et le taux de vente est de l’ordre de 80 à 90%. De plus, ces articles se vendent à des prix toujours plus élevés comme nous l’explique José Miège :

“Comme tout antiquaire, j’écume les sites de petites annonces et de ventes aux enchères. Je constate que tous les articles se vendent de plus en plus cher. Par exemple, une affiche de Lionel Jospin pour les élections présidentielles de 2002 se vendait en moyenne 100€ début 2016 ; aujourd’hui, c’est en moyenne 250€ et on peut tabler sur 1500€ si le Parti Socialiste ne gagne pas les Présidentielles 2017 !”

Mais ce ne sont pas seulement les articles anciens du Parti Socialiste qui se vendent le mieux :

“On constate que tous les articles Parti Socialiste, y compris les plus récents, se vendent à des prix très élevés. J’ai beaucoup étudié le marché et il y en a qui sont de véritables spéculateurs spécialisés dans les articles politiques du Parti Socialiste.” nous confie José Miège.

En fonction des résultats des élections présidentielles de 2017, le marché pourra soit continuer à se développer davantage soit s’effondrer. En effet, si le candidat du Parti Socialiste est éliminé au premier tour, ce sera la fin du Parti Socialiste et donc l’avènement du marché d’articles de brocante siglés “Parti Socialiste”.