Catégories
Santé / Médecine

Recommandation sanitaire après déconfinement : dénoncez tous ceux qui toussent !

DECONFINEMENT / RECOMMANDATION SANITAIRE – Dès le déconfinement effectif, tous les Français sont invités à dénoncer toutes les personnes qui tousseraient, afin de les placer à nouveau en confinement et ainsi protéger le reste de la population.

Recommandation sanitaire déconfinement : la Délégation Centrale de Santé (D.C.S) recommande de dénoncer toutes les personnes qui tousseront pour les faire confiner à nouveau.

Le déconfinement est actuellement en cours de préparation par le Gouvernement. La Délégation Centrale de Santé (D.C.S), expert désigné pour l’aspect sanitaire du déconfinement, anticipe pour éviter toute nouvelle épidémie :

Le grand risque du déconfinement, c’est qu’une nouvelle vague de contamination émerge.

Pour éviter autant que faire se peut un nouveau drame sanitaire, la D.C.S communique déjà des recommandations sanitaires de déconfinement :

Dès le déconfinement décrété, les gens vont à nouveau se croiser, se rencontrer, échanger. Parmi elles, il y aura probablement des personnes encore contagieuses. Or, il convient absolument de mettre hors circuit ces personnes contaminantes, qui seraient à l’origine de la nouvelle vague épidémique.

C’est pour cette raison que nous émettons une recommandation absolue dès les premières minutes du déconfinement effectif : que toute personne qui tousse soit immédiatement dénoncée afin qu’elle retourne en confinement, de gré ou de force.

Cette recommandation se veut avant tout préventive :

Une personne qui tousse est potentiellement atteinte du Covid-19. Par principe de précaution, il faut que cette personne soit placée en confinement pour une durée de 14 jours minimum.

La recommandation de dénoncer une personne qui tousse est radicale :

Il ne faut pas perdre de temps à faire des tests : quelqu’un qui tousse doit être placé en confinement. Point. C’est notre recommandation principale pour éviter une nouvelle vague épidémique.

Ainsi, dès le déconfinement effectif, tous les Français sont invités à dénoncer tout personne qui tousserait pour protéger le reste de la population en évitant une nouvelle contamination massive.

Catégories
Santé / Médecine

Confinement : des coiffeurs-urgentistes réquisitionnés par les Préfectures

CONFINEMENT / URGENCE CAPILLAIRE – Les salons de coiffure fermés à cause du confinement, nombreux sont celles et ceux qui se coupent ou se font couper les cheveux à la maison. Face à des drames qui peuvent avoir des conséquences psychologiques graves, des coiffeurs-urgentistes ont été réquisitionnés par les Préfectures.

Pour réparer les accidents capillaires intervenus durant le confinement, des coiffeurs-urgentistes ont été réquisitionnés par les Préfectures de chaque département.

Le confinement ne permet de se déplacer que pour des motifs légitimes, précisés par décret. Aussi, face à l’impossibilité de se rendre dans un salon de coiffure, de nombreuses personnes décident de se couper les cheveux elles-mêmes ou de se les faire couper par des personnes avec qui elles partagent le confinement.

Mais se couper les cheveux seuls ou se les faire couper par quelqu’un de la famille a souvent des conséquences dramatiques :

La coiffure ne s’improvise pas. Dans 75% des cas, les personnes qui se coupent ou se font couper les cheveux à la maison par des non-professionnels ont une coiffure ratée voire désastreuse.

Syndicat des Coiffeurs-Urgentistes de France

On constate qu’à cause du confinement le nombre d’urgences capillaires ne cesse de croître :

Depuis le début du confinement, le 15 est saturé d’appels pour des désastres capillaires. Alors, pour désengorger le 15, les Préfectures ont décidé d’ouvrir un service spécial d’urgence capillaire, un par département, pour réparer les dégâts des coiffures à domicile.

Des coiffeurs-urgentistes ont ainsi été réquisitionnés par la Préfecture pour répondre aux urgences capillaires :

Une dizaine de coiffeurs en moyenne ont été réquisitionnés par département pour intervenir sur des cas d’urgence capillaire

Ces interventions pour urgences capillaires doivent se faire très rapidement :

Si le coiffeur urgentiste n’intervient pas dans les 5 heures, le risque de suicide de la personne victime du désastre capillaire augmente de +50% par heure.

Il ne faut pas négliger les troubles psychologiques graves que peut causer une coupe de cheveux ratée.

Ainsi, en cas de drame capillaire, n’hésitez pas à contacter le service d’urgence capillaire de votre département, disponible 24h/24.

Les coiffeurs-urgentistes contribuent eux aussi à sauver des vies.

Catégories
Santé / Médecine

Confinement / épidémie mystérieuse : +459% de dermatoses de la main chez les hommes célibataires

CONFINEMENT / ÉPIDÉMIE MYSTÉRIEUSE – Depuis le début du confinement, une épidémie étrange frappe les hommes célibataires : on constate +459% de téléconsultations pour des dermatoses de la main. La raison en demeure mystérieuse.

Confinement : une mystérieuse épidémie de dermatose de la main frappe essentiellement les hommes célibataires

Le confinement a pour objectif de protéger les autres et de se protéger du coronavirus. Mais ce confinement voit émerger une épidémie mystérieuse :

Depuis le début du confinement, on constate une hausse exponentielle du nombre de dermatoses de la main chez l’homme. Cela représente une hausse de +459% de téléconsultations pour cette pathologie par rapport à habituellement. Et cela ne cesse de s’aggraver.

Professeur Yann Dalck, médecin-chercheur en psycho-dermatologie à Orléans

Ce problème de la dermatose de la main est généralisé dans tous les pays où le confinement est de mise. Aucun expert ne parvient pour l’heure à expliquer les raisons de cette étrange épidémie :

Nous enquêtons afin de déterminer quelle est la cause de ces dermatoses généralisées. Cela est d’autant plus étrange qu’elle frappe exclusivement des célibataires, essentiellement des hommes (96%), et quelques femmes (4%).

Autre fait notoire, cette dermatose ne touche dans la grande majorité qu’une main :

89% des patients ont la main droite touchée contre 10% pour la main gauche. On dénombre toutefois 1% des patients qui ont les 2 mains touchées.

Ce qui est d’autant plus mystérieux est que cette épidémie semble avoir émergé en plusieurs endroits simultanément. De plus, le nombre de cas est proportionnel à celui des cas Covid+.

Mais le Professeur Dalck se veut rassurant :

La dermatose est une affection bénigne de la peau. Un peu de pommade et le problème est vite résolu !

Plusieurs laboratoires mènent actuellement des enquêtes pour savoir d’où provient cette étrange épidémie de dermatose de la main.

Catégories
Santé / Médecine

Les alcooliques sollicités pour donner leur sang afin de fabriquer davantage de gel hydroalcoolique

CORONAVIRUS / GEL HYDROALCOOLIQUE – Dans la lutte contre le coronavirus et pour faire face à la pénurie de gel hydroalcoolique, les personnes alcooliques sont sollicitées pour donner leur sang.

Manque de gel hydroalcoolique : les personnes alcooliques sont sollicitées pour donner leur sang

La production de gel hydroalcoolique demeure toujours insuffisante pour faire face à la demande aussi bien des professionnels de santé que des particuliers soucieux de se protéger du coronavirus.

Pour contrer ce manque, les personnes alcooliques sont fortement sollicitées pour donner leur sang, l'”or rouge” ainsi que l’appelle certains médecins, à l’instar du Professeur Chauzon :

Le sang des alcooliques, riche en alcool, est un véritable “or rouge”. Grâce à ce sang, on peut pallier le manque de solutions hydroalcooliques en produisant du gel hydroalcoolique à partir de l’alcool contenu dans leur sang.

Pr. Gerard Chauzon, Hôpital Saint André (Paris).

Le sang des alcooliques présente un double avantage ainsi que l’explique le professeur :

Nous prélevons l’alcool du sang des alcooliques pour, une fois mélangé à l’eau, produire une solution hydroalcoolique (eau + alcool).

Ensuite, dès l’alcool extrait du sang, nous récupérons le sang pour assurer des transfusions sanguines. C’est donc doublement gagnant !

Le don de sang d’une personne alcoolique permet ainsi de servir 2 causes à la fois : la lutte contre le coronavirus (en produisant du gel hydroalcoolique) et contribuer aux soins des patients qui ont besoin d’une transfusion sanguine.

Contre le coronavirus, tout le monde peut agir !

Catégories
Santé / Médecine

Le Covid-19 a muté en France : impacts importants sur le cerveau !

COVID-19 – Le Coronavirus Covid-19 a muté en France et affecte de manière grave le cerveau humain ainsi qu’on peut le voir sur de nombreuses vidéos.

Mutation du Covid-19 en France : de graves effets sur le cerveau constatés !

Le virus COVID-19 semble avoir de plus graves conséquences que ce qu’on pouvait déjà constater. Une mutation semble être intervenue en France depuis samedi 14 mars. Cette mutation du Covid-19 est intervenue simultanément à l’annonce du passage au stade 3 de l’épidémie par le Premier Ministre Edouard Philippe :

Les recommandations pour éviter la propagation du coronavirus sont claires depuis samedi 14 mars et l’annonce d’Edouard Philippe de fermer tous les lieux « non indispensables » accueillant du public.

Meddy Sint, directeur de Sécurité Sanitaire France

Mais malgré ces recommandations destinées à limiter la propagation du coronavirus, on a pu constater aussi bien samedi que dimanche que de nombreux Français ne respectaient pas les consignes, ainsi qu’on peut le voir sur de nombreuses vidéos diffusées sur les réseaux sociaux notamment :

Nombreux sont ceux qui ne respectent pas le confinement et les gestes barrières pour limiter la propagation du virus. Les Français n’étant pas stupides, c’est donc forcément une mutation du Covid-19 sur leur cerveau qui leur fait perdre raison.

M. Sint, directeur de Sécurité Sanitaire France

Eu égard à cette mutation massive du Covid-19 sur plusieurs dizaines voire centaines de milliers de Français, la France a énormément de souci à se faire quant à l’avenir de la pandémie de coronavirus qui la frappe.

Catégories
Environnement

Pour lutter contre le réchauffement climatique l’ONU (COP 26) recommande aux humains de moins respirer

LUTTE CONTRE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE / COP 26 – Dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, l’ONU, dans ses travaux préparatoires de la COP 26, préconise de moins respirer.

Affiche de la COP-26 promouvant le “Respirer Moins”, pour lutter contre le réchauffement climatique

Les travaux préparatoires à la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (UNFCCC COP 26), qui se tiendra du 9 au 19 novembre 2020 à Glasgow, en Écosse, préconisent quelques actions citoyennes simples pour limiter les gaz à effet de serre, à l’origine du réchauffement climatique. Parmi ces actions à la portée de tout le monde, l’ONU propose de moins respirer :

Le dioxyde de carbone (CO2) peut mettre 200 ans à être évacué après son émission. Or, nous produisons toujours plus de CO2. On estime que d’ici un peu plus d’un siècle il y aura autant de CO2 dans l’atmosphère que lors du dernier réchauffement climatique majeur !

Extrait du communiqué “Travaux préparatoires à la COP 26”. 27 février 2020.

Ainsi, la COP26 va axer une grande partie de ses travaux sur la production humaine de CO2 :

On se concentrait jusqu’alors essentiellement sur la cause industrielle, au sens large, du réchauffement climatique. Or, force est de constater que l’humain génère une quantité de CO2 très importante. Il peut donc agir en en produisant moins.

Il existe ainsi une manière simple pour moins polluer. Méthode que chacun peut mettre en oeuvre au quotidien. Tous ensemble, oeuvrons contre le changement climatique. Et comme le dit le slogan : “Respirons moins aujourd’hui pour respirer mieux demain !”

Catégories
Santé / Médecine

Virus tueur de la tomate ToBRFV : les frontières du Finistère fermées

VIRUS TOMATE / FINISTÈRE – A cause du virus tueur de tomate “ToBRFV”, le Ministère de la Santé a décidé de fermer les frontières du Finistère.

Virus tueur de tomate ToBRFV : les frontières du Finistère fermées.

Le virus ToBRFV, surnommé “virus tueur de tomate”, a été détecté la semaine dernière dans une exploitation du Finistère. Pour faire face à l’épidémie et contrer la pandémie du virus, le Ministère de la Santé a décidé de fermer les frontières du Finistère :

Nous fermons les frontières du Finistère afin d’éviter toute propagation du virus ToBRFV, surnommé le “Tueur de tomates”.

Les Finistériens seront confinés dans leur région, sauf s’ils peuvent justifier qu’ils n’aiment pas les tomates :

Toute sortie du territoire du Finistère est interdite à quiconque. Toutefois, des exceptions existent uniquement pour les résidents qui peuvent attester qu’ils ne mangent jamais de tomates, certificat médical à l’appui. Ils devront de plus subir une quarantaine de 15 jours à Quimperlé.

Ce virus est pris très au sérieux par le Ministère de la Santé :

A côté le coronavirus Covid-19, ce n’est rien !

Bien que le virus ToBRFV soit inoffensif pour l’homme, l’objectif consiste à éviter une pandémie qui serait dramatique.

Catégories
Santé / Médecine

Coronavirus en France : “Nous allons distribuer des tracts dans la rue pour empêcher la propagation”

CORONAVIRUS / FRANCE – Le coronavirus est arrivé en France. Malgré les affiches mises en place, le très contagieux virus a déjà touché au moins 3 personnes en France. Le Ministère de la Santé a donc décidé de distribuer des tracts dans la rue pour empêcher la contagion.

Pour lutter contre la contagion du coronavirus, le Ministère de la Santé va faire distribuer des tracts dans la rue.

Contrairement à d’autres pays européens, la France a décidé de ne pas contrôler les vols en provenance de Chine, où une épidémie de coronavirus fait rage. La France s’est contentée de mettre des affiches dans les aéroports :

Bizarrement, les affiches qu’on a mises dans les aéroports n’ont pas suffi à empêcher le coronavirus d’entrer en France. A notre avis, les personnes qui avaient le virus n’ont pas lu les affichettes, d’où le fait que le virus touche aujourd’hui notre pays.

Etant donné que les mesures d’affichage dans les aéroports n’ont pas suffi, le Ministère de la Santé a décidé de prendre de nouvelles dispositions pour éviter qu’une pandémie du coronavirus ne se développe en France :

Maintenant que le coronavirus est entré en France, nous devons empêcher son développement et le risque d’une propagation. Pour cela, nous allons distribuer des tracts d’information dans la rue.

La situation est prise avec sérieux en France, premier pays européen touché par le coronavirus.

Catégories
Santé / Médecine

Dry January : les urgences de Bretagne et des Hauts de France saturées

DRY JANUARY / BRETAGNE – Le Dry January, ou Janvier sans alcool, a des conséquences dramatiques en Bretagne et dans les Hauts de France. Les services d’urgences de ces 2 régions sont tous saturés à cause d’une recrudescence de personnes en situation de delirium tremens.

Dry January : les Urgences de Bretagne et des Hauts de France saturées de patients en situation de delirium tremens

Le Dry January (littéralement “Janvier Sobre”) part d’un principe positif : ne pas boire d’alcool durant tout le mois de janvier. Mais derrière les bienfaits pour la santé attendus, se cachent des conséquences dramatiques : une recrudescence de consultations en urgence pour des personnes en situation de delirium tremens (trouble neurologique sévère lié au syndrome de sevrage alcoolique).

La Bretagne est la région la plus touchée de France, suivie de très près par la région Hauts de France avec une hausse moyenne de consultations de +510%, occasionnant un manque de lits dans les services d’urgence de ces 2 régions ; on estime à plus de 650 le nombre de lits manquants.

Eric Hart, directeur de l’Agence Bretonne de Santé, nous explique la situation dramatique à laquelle tous les services d’urgence bretons se trouvent confrontés en ce mois de janvier :

Depuis le début du Dry January – Janvier Sans Alcool, on constate chaque jour de plus en plus d’entrées dans nos services d’urgence pour des troubles neurologiques sévères de delirium tremens.

De nombreux Bretons ne sont pas habitués à vivre sans alcool. Ainsi, le sevrage qu’ils s’imposent avec le Dry January perturbent leur corps qui ressent une situation de manque. Le corps réagit alors avec de la fièvre, des tremblements, des troubles de la conscience, des délires oniriques, etc., symptômes typiques du delirium tremens.

La situation est d’autant plus dramatique que nos services d’urgence sont saturés et que nous devons les transférer dans d’autres régions de France.

Face à ce constat dramatique, l’Institut de Veille et de Recherche Européen en Santé a décidé de suspendre le Dry January dans les 2 régions les plus touchées de France que sont la Bretagne et les Hauts de France :

Devant l’accablant constat de la hausse ingérable de troubles de delirium tremens, nous avons décidé, pour des raisons sanitaires évidentes, de suspendre le Dry January dans les régions Bretagne et Hauts de France. Il est ainsi interdit d’y faire la promotion de l’événement par quelque moyen que ce soit.

De plus, nous invitons la population de ces 2 régions à ne pas suivre les recommandations du Dry January et à continuer à consommer de l’alcool comme avant, mais avec modération évidemment.

Communiqué officiel de l’Institut de Veille et de Recherche Européen en Santé. 16 janvier 2020.

Ainsi, après les fortes oppositions de l’industrie viticole et du ministre de l’agriculture, le Dry January connaît un second revers avec ces effets inattendus en Bretagne et dans les Hauts de France.

L’événement “Janvier Sobre” sera-t-il reconduit l’an prochain en France ?

Catégories
Santé / Médecine

Les croyances religieuses bientôt reconnues comme des maladies psychiatriques

RELIGION / PSYCHIATRIE – Les croyances religieuses et autres croyances ésotériques seront bientôt reconnues comme des maladies mentales et classées comme une psychose chronique non dissociative.

Les religions et autres croyances ésotériques bientôt reconnues comme des maladies mentales.

Les religions (la foi) et l’ésotérisme reposent sur des croyances irrationnelles. De fait, elles relèvent de symptômes psychotiques, avec des troubles fonctionnels plus ou moins graves selon les sujets.

A la demande de la Fédération de Psycho-Psychiatrie Intellectuelle et Mentale (FPPIM), les croyances religieuses vont rejoindre le classement des “psychoses chroniques non dissociatives” de la CIM-11 :

Les religions et l’ésotérisme répondent à la définition de la psychose chronique non dissociative. Cette psychose est caractérisée par des idées délirantes permanentes (croyance en des forces irrationnelles) de manière systématisée (croyance durable, avec également des cultes réguliers). De plus, il n’y a pas d’évolution déficitaire ni de dissociation de la pensée et les capacités intellectuelles demeurent intactes. On les classerait dans les catégories F20.0 et F22.0 de la Classification internationale des maladies (CIM).

Grâce à ce classement des croyances religieuses et ésotériques comme maladies mentales, la lutte contre la manipulation et l’emprise mentale n’en sera que facilité, car permettant des internements d’office :

Reconnaître l’ésotérisme et la foi comme des maladies mentales permet de traiter les sujets victimes de leur croyance. Le but n’est pas d’interdire la foi, mais de contrôler les abus dus à l’emprise des religions sur les esprits humains. Toutes les croyances religieuses ne sont pas saines et peuvent entraîner des troubles allant de la croyance simple jusqu’à des troubles psychiatriques graves (dépendance, dépression, hallucinations, etc.).

Ainsi, légalement, il sera possible de retirer un individu de toute organisation religieuse, ésotérique voire sectaire s’il est déterminé que l’exercice de sa croyance porte préjudice à sa santé mentale.

Si 16% de la population mondiale n’est affiliée à aucune religion, on estime que de 30 à 50% de la population est non croyante.